Souvenirs, nostalgie et autres petits remèdes pour vieillir sereinement
- 4 956 réponses
- 129 participants
- 188 727 vues
- 96 followers
Oiseau Bondissant
20550
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 26/08/2013 à 16:24:03Souvenirs, nostalgie et autres petits remèdes pour vieillir sereinement
Ici on se remémore le passé, on honore les mercredis après midi, l'île aux enfants et autres petites joies de l'enfance.
On met aussi en photo le sèche-cheveux moulinex de maman parce que c'était l'accessoire à la mode et on cherche la série qui passait avec Robert Conrad qu'on adorait mais dont on a oublié le nom.
Let's go
On met aussi en photo le sèche-cheveux moulinex de maman parce que c'était l'accessoire à la mode et on cherche la série qui passait avec Robert Conrad qu'on adorait mais dont on a oublié le nom.
Let's go
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
3031 Posté le 02/05/2020 à 12:34:39
cette photo de l'impérial est étrange : il n'y a plus de neige visible sur les montagnes, et aucune voile ou bateau sur le lac.
Donc soit c'est pendant le confinement (pas de voile) et très récent (arbres bien verts) et alors il est très étrange que sur une fin avril il n'y ait déjà plus de neige sur les Bauges, il faut attendre plutôt la fin juin pour les voir comme cela. Et fin juin avec cette météo le lac est farci.
bizarre
Donc soit c'est pendant le confinement (pas de voile) et très récent (arbres bien verts) et alors il est très étrange que sur une fin avril il n'y ait déjà plus de neige sur les Bauges, il faut attendre plutôt la fin juin pour les voir comme cela. Et fin juin avec cette météo le lac est farci.
bizarre
Non je ne mettrai pas de pull
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
3032 Posté le 02/05/2020 à 12:35:53
je connais bien cet axe de vue, ayant habité toute ma jeunesse à Pringy.
Non je ne mettrai pas de pull
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
3033 Posté le 02/05/2020 à 12:36:52
ça me fait plaisir de voir cette image en tout cas
Non je ne mettrai pas de pull
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
3034 Posté le 02/05/2020 à 13:06:38
Tu as raison. C'est possible que la photo date de très récemment : pas de bateaux, pas de voiture à l'accès de l'hôtel et le Colombier d'Aillon pas enneigé. Il y a eu peu de neige cette année.
L'écrin du lac, cette sorte d'entonnoir constitué par les Bauges à l'ouest et au sud et les Bornes à l'est, la silhouette bonhomme du Veyrier et la forteresse plus abrupte de la Tournette, les entrecroisements au fond du lac à commencer par la passe du roc de chère et roc des boeufs... Ça reste un panorama que j'adore
Citation de samy :
je connais bien cet axe de vue, ayant habité toute ma jeunesse à Pringy.
L'écrin du lac, cette sorte d'entonnoir constitué par les Bauges à l'ouest et au sud et les Bornes à l'est, la silhouette bonhomme du Veyrier et la forteresse plus abrupte de la Tournette, les entrecroisements au fond du lac à commencer par la passe du roc de chère et roc des boeufs... Ça reste un panorama que j'adore
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
3035 Posté le 02/05/2020 à 13:12:51
oui mais là, c'est moins que peu!
https://annecy-meteo.com/temperature-du-lac/#.U_7ZwKPvbcs
la température est déjà montée à 16°C sur avril
ce réchauffement climatique est vraiment puissant. Quand j'étais jeune les dernières stations de ski fermaient vers la fin avril
https://annecy-meteo.com/temperature-du-lac/#.U_7ZwKPvbcs
la température est déjà montée à 16°C sur avril
ce réchauffement climatique est vraiment puissant. Quand j'étais jeune les dernières stations de ski fermaient vers la fin avril
Non je ne mettrai pas de pull
[ Dernière édition du message le 02/05/2020 à 13:13:09 ]
Max_Onhoff
9704
Je poste, donc je suis
Membre depuis 9 ans
3036 Posté le 02/05/2020 à 14:04:29
Souvenirs... nostalgie... bahut... AF dédié aux musiciens ratés?... Ah ben oui, faisons le lien! Alors avec les premiers cours de musique de l'école, en 1974... et notre prof' de musique.
Bon, en préambule, voici la formule qui résume à elle seule 99% des observations de tous mes profs sur l'ensemble des bulletins d'évaluations durant ma scolarité: "Des facilités. Beaucoup trop de facilités, HELAS, car si cet élève voulait faire autre chose que d'assurer le minimum syndical et s'en donner les moyens, il serait promis à un bel avenir"
Il est vrai qu'à part un seul prof de français et une seule prof d'anglais qui m'ont réèllement donné envie de m'investir et de faire des efforts, les autres n'ont jamais réussi à allumer la moindre petite étincelle de curiosité ou d'envie; y compris en musique.
Ah oui, le prof de musique de 6ème, au fait! Incapable de me souvenir de son nom, d'ailleurs; mon esprit l'a proprement nettoyé. Avec lui aussi j'ai livré le service minimum, encouragé par mes "facilités". Il faut dire qu'à cette époque-là, on m'a découvert une oreille absolue, capable de nommer une note rien qu'à l'entendre. Un don jamais entretenu, que j'ai aussi perdu au fil des ans. Mais en ce temps-là, quand le prof nous fournissait une partition à étudier, pour la rejouer en lecture à la flûte à bec une semaine plus tard, moi, je laissais juste mon oreille mémoriser ladite partition qu'il interprétait devant nous en nous assénant un tonitruant "c'est CA que je veux entendre la semaine prochaine "
"Asséner", oui. Parce que ce prof était un peu... particulier! Imaginez-le: Le cul toujours vissé à sa chaise qu'il laissait en appui sur ses deux pieds arrière (une heure durant!), adossé au tableau noir, les deux bras en croix avec les mains posées dans la règle d'aluminium où s'entassaient les craies et le fameux tampon bois/feutre servant à effacer le tableau noir. Et là, munitions à portée (portée... huhuhu...) de mains, le carnage pouvait commencer:
- Un élève qui faisait une fausse note?... Une craie était instantanément catapultée par le sniper en direction de la fautive petite tête blonde ou brune (pas de discrimination). D'où répétition des mesures incriminées, forcément. Nouvelle fausse note, ou non respect du tempo? Le sniper décochait une craie qui cette fois-ci ne partait pas en direction du fautif, mais SUR la tronche du fautif.
- Deux élèves surpris en train de bavarder, ou de se donner des conseils sur le placement des doigts sur la flûte? Deux craies fusaient en rafale, ramenant les trublions à la consigne de ne rien dire ni faire. Qu'ils s'aventurent à chuchoter, et cette fois c'était le tampon de bois et de feutre qui partait au travers de la classe, heurtant à coup sûr le crâne de l'un ou de l'autre.
Les bosses et bleus sur les épidermes des élèves se voyant parfois un peu trop, le prof adopta une nouvelle "arme". La salle de musique jouxtant le local technique du gymnase, il s'y rendit un jour pour aller découper dans un rebut de tapis de sol en caoutchouc alvéolé une "batte" souple d'environ 5 centimètres de large sur 50 centimètres de long. Elle nous fût présentée comme le troisième étage de la fusée des sanctions, après les craies et le tampon, et affublée d'un prénom: Isabelle.
Autant dire que ce prof là, avec ces méthodes là, ne m'a jamais, mais strictement JAMAIS donné envie d'apprendre le solfège. Il m'en a même tout simplement dégoûté, en tant que langue totalement ésotérique au vocabulaire abscons, privilège de barbares voulant à tout crin greffer ça dans le crâne des minots qu'on leur confiait.
Dès lors, comment apprendre mes leçons sans l'outil du solfège? Hé bien comme je le disais, grâce à mes "facilités". Le prof jouait le morceau, je le mémorisais une semaine durant, retrouvant et jouant toutes les notes dans une séquence savamment entretenue chaque soir, et au matin du vendredi suivant je livrais ma copie en live sous le regard toujours teigneux (mais finalement satisfait) de notre bourreau institutionnel.
Sauf qu'un jour...
Ce con me refile en début de cours une partition en me disant "vas-y, machin, joue-nous Le Petit Cheval de Brassens", tout récemment étudié. Me voilà parti à interpréter le morceau, livrant le spectacle de l'éxécutant suivant consciencieusement le déroulé de la partition. Le prof se lève d'un bon, attrape Isabelle, se dirige vers mon bureau d'écolier, et en frappe la table comme si un nuage d'obus s'abattait dessus. Passées les 30 secondes de scène de guerre, l'assaillant s'arrête tout net et me hurle dans le nez "DUCON, C'EST LA PARTITION DE A LA CLAIRE FONTAINE QUE JE VIENS DE TE FILER!!!"
Ce jour-là, j'ai été démasqué, et ce prof a été l'exception aux 99% de notations que j'avais coutume de recevoir dans mes bulletins d'évaluation; lui, à compter de ce moment-là, s'est contenté systématiquement d'un "on n'en fera jamais rien!".
La flûte à bec, c'était en 1974 et 1975. En 1976, j'ai demandé une guitare électrique à mes parents. Ils avaient noté dans les deux années précédentes que j'avais un petit peu d'aisance en musique, ont parié que si je persistais avec la sinistre daube qu'ils m'ont offerte c'est que j'étais vraiment mordu.
Effectivement, j'ai persisté. J'ai fourni à mes potes de l'époque les tablatures des Beatles que je déchiffrais à l'oreille, vu que celles du commerce étaient soit fausses soit transposées (et injouables avec le disque en play-back). Ca a été un beau pied de nez à mon connard de prof de musique, mais ça a aussi été (et encore aujourd'hui) un putain de boulet à traîner, vu que rien de ce que je fais aujourd'hui n'a de trace écrite, incapable que je suis d'écrire et lire la musique.
Bon, en préambule, voici la formule qui résume à elle seule 99% des observations de tous mes profs sur l'ensemble des bulletins d'évaluations durant ma scolarité: "Des facilités. Beaucoup trop de facilités, HELAS, car si cet élève voulait faire autre chose que d'assurer le minimum syndical et s'en donner les moyens, il serait promis à un bel avenir"
Il est vrai qu'à part un seul prof de français et une seule prof d'anglais qui m'ont réèllement donné envie de m'investir et de faire des efforts, les autres n'ont jamais réussi à allumer la moindre petite étincelle de curiosité ou d'envie; y compris en musique.
Ah oui, le prof de musique de 6ème, au fait! Incapable de me souvenir de son nom, d'ailleurs; mon esprit l'a proprement nettoyé. Avec lui aussi j'ai livré le service minimum, encouragé par mes "facilités". Il faut dire qu'à cette époque-là, on m'a découvert une oreille absolue, capable de nommer une note rien qu'à l'entendre. Un don jamais entretenu, que j'ai aussi perdu au fil des ans. Mais en ce temps-là, quand le prof nous fournissait une partition à étudier, pour la rejouer en lecture à la flûte à bec une semaine plus tard, moi, je laissais juste mon oreille mémoriser ladite partition qu'il interprétait devant nous en nous assénant un tonitruant "c'est CA que je veux entendre la semaine prochaine "
"Asséner", oui. Parce que ce prof était un peu... particulier! Imaginez-le: Le cul toujours vissé à sa chaise qu'il laissait en appui sur ses deux pieds arrière (une heure durant!), adossé au tableau noir, les deux bras en croix avec les mains posées dans la règle d'aluminium où s'entassaient les craies et le fameux tampon bois/feutre servant à effacer le tableau noir. Et là, munitions à portée (portée... huhuhu...) de mains, le carnage pouvait commencer:
- Un élève qui faisait une fausse note?... Une craie était instantanément catapultée par le sniper en direction de la fautive petite tête blonde ou brune (pas de discrimination). D'où répétition des mesures incriminées, forcément. Nouvelle fausse note, ou non respect du tempo? Le sniper décochait une craie qui cette fois-ci ne partait pas en direction du fautif, mais SUR la tronche du fautif.
- Deux élèves surpris en train de bavarder, ou de se donner des conseils sur le placement des doigts sur la flûte? Deux craies fusaient en rafale, ramenant les trublions à la consigne de ne rien dire ni faire. Qu'ils s'aventurent à chuchoter, et cette fois c'était le tampon de bois et de feutre qui partait au travers de la classe, heurtant à coup sûr le crâne de l'un ou de l'autre.
Les bosses et bleus sur les épidermes des élèves se voyant parfois un peu trop, le prof adopta une nouvelle "arme". La salle de musique jouxtant le local technique du gymnase, il s'y rendit un jour pour aller découper dans un rebut de tapis de sol en caoutchouc alvéolé une "batte" souple d'environ 5 centimètres de large sur 50 centimètres de long. Elle nous fût présentée comme le troisième étage de la fusée des sanctions, après les craies et le tampon, et affublée d'un prénom: Isabelle.
Autant dire que ce prof là, avec ces méthodes là, ne m'a jamais, mais strictement JAMAIS donné envie d'apprendre le solfège. Il m'en a même tout simplement dégoûté, en tant que langue totalement ésotérique au vocabulaire abscons, privilège de barbares voulant à tout crin greffer ça dans le crâne des minots qu'on leur confiait.
Dès lors, comment apprendre mes leçons sans l'outil du solfège? Hé bien comme je le disais, grâce à mes "facilités". Le prof jouait le morceau, je le mémorisais une semaine durant, retrouvant et jouant toutes les notes dans une séquence savamment entretenue chaque soir, et au matin du vendredi suivant je livrais ma copie en live sous le regard toujours teigneux (mais finalement satisfait) de notre bourreau institutionnel.
Sauf qu'un jour...
Ce con me refile en début de cours une partition en me disant "vas-y, machin, joue-nous Le Petit Cheval de Brassens", tout récemment étudié. Me voilà parti à interpréter le morceau, livrant le spectacle de l'éxécutant suivant consciencieusement le déroulé de la partition. Le prof se lève d'un bon, attrape Isabelle, se dirige vers mon bureau d'écolier, et en frappe la table comme si un nuage d'obus s'abattait dessus. Passées les 30 secondes de scène de guerre, l'assaillant s'arrête tout net et me hurle dans le nez "DUCON, C'EST LA PARTITION DE A LA CLAIRE FONTAINE QUE JE VIENS DE TE FILER!!!"
Ce jour-là, j'ai été démasqué, et ce prof a été l'exception aux 99% de notations que j'avais coutume de recevoir dans mes bulletins d'évaluation; lui, à compter de ce moment-là, s'est contenté systématiquement d'un "on n'en fera jamais rien!".
La flûte à bec, c'était en 1974 et 1975. En 1976, j'ai demandé une guitare électrique à mes parents. Ils avaient noté dans les deux années précédentes que j'avais un petit peu d'aisance en musique, ont parié que si je persistais avec la sinistre daube qu'ils m'ont offerte c'est que j'étais vraiment mordu.
Effectivement, j'ai persisté. J'ai fourni à mes potes de l'époque les tablatures des Beatles que je déchiffrais à l'oreille, vu que celles du commerce étaient soit fausses soit transposées (et injouables avec le disque en play-back). Ca a été un beau pied de nez à mon connard de prof de musique, mais ça a aussi été (et encore aujourd'hui) un putain de boulet à traîner, vu que rien de ce que je fais aujourd'hui n'a de trace écrite, incapable que je suis d'écrire et lire la musique.
Ce que j'ai écrit? MON avis, voilà tout!
---> Dernier album en date <---
[ Dernière édition du message le 02/05/2020 à 14:16:31 ]
pontchartrain
2921
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 17 ans
3037 Posté le 02/05/2020 à 14:30:28
Citation :
incapable que je suis d'écrire et lire la musique.
Comme l'étaient les Beatles.
sqoqo
7050
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
3038 Posté le 02/05/2020 à 15:00:26
Ykar
Putain Isabelle...( me fait penser à la batte dans walking dead affublée, il me semble aussi d’un petit nom )
Putain Isabelle...( me fait penser à la batte dans walking dead affublée, il me semble aussi d’un petit nom )
Max_Onhoff
9704
Je poste, donc je suis
Membre depuis 9 ans
3039 Posté le 02/05/2020 à 15:15:33
x
Hors sujet :Citation de pontchartrain :Citation :incapable que je suis d'écrire et lire la musique.
Comme l'étaient les Beatles.
Euh... Tu es sûr de ça concernant Mac Cartney? Ca me surprend
Ce que j'ai écrit? MON avis, voilà tout!
---> Dernier album en date <---
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
3040 Posté le 02/05/2020 à 15:32:45
Heureusement que je n'ai pas connu de prof comme ça !
La musique, c'était vraiment le cours qui m'a emmerdé en 6ème (73-74 pour ma part), avec une prof sans personnalité, sans doute compétente dans sa matière mais soporifique au possible. Je crois qu'en 5ème, on n'a pas eu de prof donc cours de zique annulés.
4ème et 3ème, une nouvelle prof, Pétinot, je crois. Et les cours sont devenus passionnants ! Elle vivait la musique, bondissait derrière son piano, nous faisait partager sa passion.
Malheureusement, j'étais nul en solfège... je le suis resté.
Dans les profs qui m'ont marqué au collège : un prof de français que j'ai eu en 6ème, un autre en 4ème,une autre en 3ème, qui m'ont appris à écrire, alors que je n'aimais que lire, et une prof de maths que j'ai eu en 4ème et 3ème, qui m'a fait comprendre l'intérêt des maths, un prof de techno en 4ème, qui nous faisait décortiquer les mécanismes ("bon, on a le porte-mine au programme, on voit ça vite fait et après, on se penche sur le fonctionnement de la fusée Saturne, pas vraiment au programme").
La musique, c'était vraiment le cours qui m'a emmerdé en 6ème (73-74 pour ma part), avec une prof sans personnalité, sans doute compétente dans sa matière mais soporifique au possible. Je crois qu'en 5ème, on n'a pas eu de prof donc cours de zique annulés.
4ème et 3ème, une nouvelle prof, Pétinot, je crois. Et les cours sont devenus passionnants ! Elle vivait la musique, bondissait derrière son piano, nous faisait partager sa passion.
Malheureusement, j'étais nul en solfège... je le suis resté.
Dans les profs qui m'ont marqué au collège : un prof de français que j'ai eu en 6ème, un autre en 4ème,une autre en 3ème, qui m'ont appris à écrire, alors que je n'aimais que lire, et une prof de maths que j'ai eu en 4ème et 3ème, qui m'a fait comprendre l'intérêt des maths, un prof de techno en 4ème, qui nous faisait décortiquer les mécanismes ("bon, on a le porte-mine au programme, on voit ça vite fait et après, on se penche sur le fonctionnement de la fusée Saturne, pas vraiment au programme").
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
- < Liste des sujets
- Charte