En ce moment je lis une bio sur Jim Morrison, de Stephen Davis.
Ah, et "L'interpretation des rêves" by Freud, à mi-temps car c'est assez complexe par moment.
Le truc dans Alice au pays des merveilles c'est qu'il y a énormément de jeux de mots qui ne peuvent pas être traduits, du coup faut aller voir les notes à la fin du bouquin qui donne la version anglaise et l'explication du jeu de mot.. Sacré Lewis..
Hors sujet : Merci beaucoup, je n' ai pour l' heure fait qu' une simple lecture, mais c' est prenant et poignant. Je cours chez mes libraires favoris (la fn*c ne pourvoyant plus de véritables livres).
Citation : c'est d'un pédant ça ! tu veux peut être dire que tu ne va plus à la fnac parceque ta tête est tellement grosse qu'elle passe plus les portiques ?
Ma tête passe effectivement tout juste.
Plus sérieusement, ce que je veux dire, et avec le sens de l' exagération dont j' aime abuser, c' est que la fn*c qui s' est longtemps vantée d' avoir une politique d' agitateur culturel par le passé n' agite plus rien aujourd' hui. Pour avoir encore discuté avec certains vendeurs de la fn*c de Toulouse, employés ici depuis plus de 20 ans, les choses ont radicalement changé ces dernières années. Alors qu' elle pouvait miser sur la culture effectivement, la fn*c a choisi une politique qui en fait un clône des magasins Virgin par exemple. Les vendeurs ne sont plus -comme ce fût longtemps le cas - recrutés suivant leur connaissance spécifique d' un domaine. Certains vendeurs essaient encore de faire passer leurs coups de coeur, mais trouver la rareté qui te fait saliver est devenu impossible.
Pour parler de ce que je connais le plus, le rayon jazz par exemple perd 10 de son volume par an. Et sur un espace de plus en plus restreint, les gros artistes soutenus par les majors arrivent à occuper des rayons entiers.
Alors tu pourras certes rétorquer qu' il faut bien vendre pour vivre, et je suis d' accord, mais cela se fait au détriment de la diversité à la fn*c.