« Réserve ta dernière danse pour satan » de Nick Tosches (éditions Allia). Une tranche d’histoire de l’industrie musicale US, au début du Rock’n’Roll avec ses combines et magouilles diverses. 137 pages savoureuses, hélas trop court, on aimerait en lire plus.
En fait c’est la transposition de ses rencontres avec quelques acteurs de l’époque qui racontent comment cela se passait jadis quand les majors n’ont pas senti le potentiel à venir du R’n’R laissant le champs libre aux petites compagnies, le but étant de trouver la perle rare qui fera leur fortune. L’exemple décrit des Jaynetts est édifiant.
Je savais que Chuck Berry s’était fait magistralement entuber sur son premier succès, ce n’était pas un cas isolé.
Oui je l’ai bien apprécié. Sinon j’ai lu la conjuration des imbéciles, lol le Ignatius n’est pas banal. Lu aussi le Giraud le vin de la nuit, bah pour l’argot il fait plus fort que San Antonio
« Magellan » de Stefan Zweig (le livre de poche).
Comme pratiquement tout le monde je sais qui est Magellan, mais qui est il, comment il a préparé son expédition , et comment s’est déroulé le voyage, c’est ce que Stefan Sweig nous raconte, avec sa façon à lui d’utiliser des phrases simples avec les mots justes. Quoiqu’un peu longuet à lire, on apprend plein de choses.