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Sujet Dis moi ce que tu lis.

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Sujet de la discussion Dis moi ce que tu lis.
... et je te dirais qui tu es...

En ce moment je lis "L'ombilic des Limbes" d'Antonin Artaud, décidement (dément?) ce mec était génial!!!

Et vous c'est quoi vos lectures en ce moment???
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6371
Puisqu'on parle de l'époque des grandes découvertes, "Civilizations" de Laurent Binet.

Une uchronie réjouissante où - après la neutralisation de l'expédition de Christophe Colomb - ce sont 200 Incas menés par un Atahualpa despote éclairé et fan de Machiavel, qui conquièrent la péninsule ibérique puis l'Europe.

:bave:

« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)

6372
Citation de Point-virgule :
Dans le genre destroy, il y a le bon Please Kill Me : https://www.editions-allia.com/fr/livre/332/please-kill-me-lhistoire-non-censuree-du-punk-racontee-par-ses-acteurs


Citation :
Personne ne semble pourtant avoir la moindre honte à dévoiler ce qui fut bien souvent un mode de vie extrême, moins centré, par rapport au punk anglais, sur l'image et dédié avant tout à une certaine forme d'innocence paradoxale, refusant aussi bien les idéaux peace and love éculés des années 60 que la culture de l’argent roi qui se profilait avec l’arrivée des années 80.


Mmmhh... c'est un point de vue... pas totalement faux mais pas exact...

Du coup je pourrais recommander ce livre ou cette émission, entre plein d'autres. J'ai connu des punks anglais qui on vécu cette époque et qui m'affirmaient que le punk américain était plus centré sur l'image et moins sur la politique. Ou sur une classe sociale plus "middle class" et moins "working class". Le terme Punk est très vaste et recouvre plein de réalités différentes finalement.. :noidea:

[ Dernière édition du message le 08/08/2023 à 09:07:07 ]

6373
Le punk en tant que mode est un phénomène essentiellement anglais. Pourtant, le punk américain avait des racines plus profondes. Je suis en train de relire une grosse pile de "Best" et "Rock & Folk" du début des années 70. J'y vois que des groupes comme les Stooges, les New York Dolls et certains "garage-bands" des années 60 étaient considérés comme "punk" et il n'y avait pas d'équivalent en Grande-Bretagne.

[ Dernière édition du message le 08/08/2023 à 10:36:43 ]

6374
Odon Quelconque > Ah oui merci, Laurent Binet il faudrait que je me penche un peu plus sur ses livres. J’avais adoré « HHhH » qui narre la résistance héroïque d’une poignée de combattants tchèques durant la 2eme guerre mondiale.
6375
Citation :
Mmmhh... c'est un point de vue... pas totalement faux mais pas exact...

Oui, le quatrième de couv' des éditions Allia survend un peu le truc, mais c'est raccord avec la vibe. :mrg: Plus sérieusement, je me souviens surtout de l'image de poète, écornée, de Jim Morisson, défoncé et obscène dans un bar, raccord avec Patti Smith, plus discrète mais tout aussi obscène, de la Fun House dédiée à la dope et des débuts d'Iggy Pop, de Dee-Dee dans les parages de la prostitution, de l'ensemble fréquentant les mêmes lieux et femmes. C'est assez fascinant à lire, on a un peu l'impression d'être en coulisse entre la seringue et les billets de dollars. Quant à la véracité, bah, on sait que c'est à prendre avec du recul comme quand un ex Sex Pistols revendique la paternité de telle ou telle idée...

[ Dernière édition du message le 09/08/2023 à 16:16:16 ]

6376
Américan Desperado, de Jon Roberts et Evan Wright (Le livre de Poche).
E. Wright c’est le journaliste qui a recueilli les souvenirs de J. Roberts. Fils d’un homme de main d’une famille de NY, il comprend que sa vie suivra un chemin obscur. Magouilles, récupération de dettes, proprio de clubs de NY, jusqu’à son arrestation. Pour éviter la prison il accepte de partir au Vietnam, et intègre une unité spéciale (hallucinant de cruauté). Puis retour à NY, pour finir par se mettre ´en vacances’ à Miami. Rencontre avec des cubains, puis des colombiens, des mexicains. Trafic de drogue, argent, s*xe, violence extrême, autorités corrompues, tout y est , brut, sans détour, comme un direct dans la face. Si vous êtes fan de Tony Montana, de Michael Corleone, et des films de Scorsese, vous pouvez lire ce livre.
Pour public averti.

[ Dernière édition du message le 18/08/2023 à 02:41:58 ]

6377
Fini le Giraud. Le vin de la nuit. Faut s’accrocher et je dois avouer que pour les paragraphes les plus costauds, j’ai eu un peu de mal. Mais j’ai bien aimé, merci Ouatisit

On the internets, nobody knows you are a dog

Mes sons

[ Dernière édition du message le 18/08/2023 à 16:06:54 ]

6378
Impact, d'Olivier Norek.
Citation :
Impact, un polar sorti en 2020 adopte la forme de manifeste écologiste radical et met en scène un soldat des forces spéciales, reconverti en écoterroriste, qui décide de s'attaquer au plus grand meurtrier de tous les temps, la pollution, via un de ses représentants, le patron d'une multinationale pétrolière.
(_wikipédia).
Excellent bouquin, une histoire fictive mais basée sur des faits et données réels.
Qui inciteraient presque à passer à l'acte...

[ Dernière édition du message le 19/08/2023 à 14:32:40 ]

6379
6380
Citation de Ouatisit :
Américan Desperado, de Jon Roberts et Evan Wright (Le livre de Poche).
E. Wright c’est le journaliste qui a recueilli les souvenirs de J. Roberts. Fils d’un homme de main d’une famille de NY, il comprend que sa vie suivra un chemin obscur. Magouilles, récupération de dettes, proprio de clubs de NY, jusqu’à son arrestation. Pour éviter la prison il accepte de partir au Vietnam, et intègre une unité spéciale (hallucinant de cruauté). Puis retour à NY, pour finir par se mettre ´en vacances’ à Miami. Rencontre avec des cubains, puis des colombiens, des mexicains. Trafic de drogue, argent, s*xe, violence extrême, autorités corrompues, tout y est , brut, sans détour, comme un direct dans la face. Si vous êtes fan de Tony Montana, de Michael Corleone, et des films de Scorsese, vous pouvez lire ce livre.
Pour public averti.

Et plutôt que de crever criblé des balles, c’est une cancer du trou de cul qui en est venu à bout. Très bon le livre, quand on a pas envie de se prendre la tête. Bien mieux que le film et ça recoupe: Barry seal, Scarface, godfather, et j’en passe

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