Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
FR
EN

Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?

  • 20 569 réponses
  • 222 participants
  • 291 912 vues
  • 166 followers
Sujet de la discussion Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?
En 81, un mois avant l'élection de mitterrand, des potes m'informaient de son cancer de la prostate.

10 ans après, n'en ayant jamais plus entendu parler, je croyais que le tuyau était crevé.
un rago-myto de "ceuxquisavent" !

résultat, il avait bien un cancer de la prostate qui bien traité l'a tué 15 ans après.

alors, pour le pen, je ne me réjouis pas trop vite !...
Afficher le sujet de la discussion
4076
Quel pédigrée :eek2:

Zic et Peintures ICI Et puis Le BLOG

4077

Citation : ex nazi



mais bien sur...c'est la boulangére qui te l'as dit?
Mes coules sur tin nez cha t fro an bielle paire d lunette.
4078

Citation : Le pen est un escroc patenté , condamné plusieurs fois , il est raciste , vichyste , petainiste et violent.
Il a trempé dans un nombre incalculables d'affaires louches, de violences , d'amitiés honteuses , ex nazi , negationnistes , traficants d'armes , barbouzes , extremistes de tous poils et forcement , il a une veneration pour tous les dictateurs du monde , il a presque reussi à nous tirer une larme pour son ami vieil ami saddam.



on se demande pourquoi un personnage aussi horrible n'as jamais passé une nuit en prison. :mdr:
Mes coules sur tin nez cha t fro an bielle paire d lunette.
4079
Il est habile... C'est tout!
4080
Voilà l'étonnante prise de position du directeur de Mouvement, excellent magazine sur la création contemporaine et le spectacle vivant.

J'avoue que ça porte à réflécir.
4081

Citation : S'il y en a bien un qui est pourri , c'est lepen , et pourtant faire plus fort que chirac ou pasqua , c'est un exploit!!


C'est pas vraiment la même catégorie tout de même : Le Pen a torturé de ses mains, à Alger, et y prenait manifestement un malin plaisir. Il y a des témoignages assez effrayants là-dessus. Il était évidemment pour l'Algérie française et dans l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète, qui désobéissait à l'Etat et que De Gaulle a maté). Il est aussi pas mal soupçonné d'avoir "aidé à mourir" son pote qui lui a refilé sa fortune, les Ciments Lambert. Sans parler de l'oeil qu'il a perdu dans une baston, je crois bien que l'autre gars lui a donné un coup de couteau mais Le Pen l'a étranglé.

Ensuite ya la fois où il a truqué les élections à Assas, élections assez prises au sérieux, bien qu'étudiantes. Rocard l'a traîné devant les tribunaux, Le Pen a été condamné puis Rocard a gagné les élections.

Après il s'est assagi : il a dit que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire, fait des jeux de mots du genre "Durafour crématoire", et cogné une député PS (quel courage ! ). Dans les années 80, il vendait également tout un tas de disques de chants nazis. Polac avait dénoncé ça dans son émission Droit de réponse.

Voilà, Le Pen c'est tout ça. Plus bien sûr le discours "tous les problèmes de la France viennent des immigrés" qu'il nous sert depuis 20 ans.
:bravo:
4082
Ouais enfin cecile a toujours pas répondu a la question dans tout ca.
4083
On peut peut-être faire un parallèle entre la montée de l' intégrisme religieux dans le monde musulman et de l' extrême droite en occident : le poids conjugué de la bétise, de l' oppression des petits par des systèmes établis ou occultes, l'exploitation de la misère et de l'insécurité grandissante qui en résulte par une minorité cynique.
Dans les deux cas il y sûrement 100 pauvres types pour un salaud.
4084

Citation : C'est pas vraiment la même catégorie tout de même : Le Pen a torturé de ses mains, à Alger, et y prenait manifestement un malin plaisir. Il y a des témoignages assez effrayants là-dessus. Il était évidemment pour l'Algérie française et dans l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète, qui désobéissait à l'Etat et que De Gaulle a maté). Il est aussi pas mal soupçonné d'avoir "aidé à mourir" son pote qui lui a refilé sa fortune, les Ciments Lambert. Sans parler de l'oeil qu'il a perdu dans une baston, je crois bien que l'autre gars lui a donné un coup de couteau mais Le Pen l'a étranglé.

Ensuite ya la fois où il a truqué les élections à Assas, élections assez prises au sérieux, bien qu'étudiantes. Rocard l'a traîné devant les tribunaux, Le Pen a été condamné puis Rocard a gagné les élections.

Après il s'est assagi : il a dit que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire, fait des jeux de mots du genre "Durafour crématoire", et cogné une député PS (quel courage ! ). Dans les années 80, il vendait également tout un tas de disques de chants nazis. Polac avait dénoncé ça dans son émission Droit de réponse.

Voilà, Le Pen c'est tout ça. Plus bien sûr le discours "tous les problèmes de la France viennent des immigrés" qu'il nous sert depuis 20 ans.



lalala lala lalalalala lala lala lalalalalala lala lalalalalalalalalaaaaaaa

ba, c'est bien tout ça, on te crois puisque que tu le dit..
moi j'appele ça de la diffamation ou de la désinformation a mouton.

ps: je voterais Lepen car je suis en accords a 100% avec son programme.

le voici:

http://www.lepen2007.fr/pdf/Programmejmlp2007.pdf
Mes coules sur tin nez cha t fro an bielle paire d lunette.
4085
Le pen est pour la licence globale :8O:

Citation : la loi DADVSI sera abolie et une licence globale sera instaurée pour les échanges privés sur Internet, qui doivent rester libres.


et il a viré son couplet sur le rap et la techno :mdr:
4086
:bave: en plein chapitre "Jeunesse", il marque :

"L'Histoire de la France est trop souvent réduite a des épisodes "Honteux", comme l'esclavage, la collaboration ou la torture en Algerie"

Bon, c'est pas faux, mais ce que j'aime par dessus tout, c'est les guillemets a Honteux, comme si en fait, c'était trop coooooooooool :bave:
4087
Nicolas Sarkozy a fait un discours bouleversant sur l'utorité, j'en frissone encore :oo:
http://www.lepoint.fr/content/a_la_une/article?id=121887

"L'autorité, qui ose encore en parler ?" a lancé le ministre de l'Intérieur à environ 5.000 personnes rassemblées au parc des expositions de Perpignan. "C'est devenu un de ces mots qui peuvent vous briser une carrière politique" et "vous fait soupçonner de préparer rien moins qu'un Etat policier".

"En niant toutes les formes d'autorité, on autorise toutes les aventures. En récusant tout les manifestations de l'autorité on excuse tous les débordements", a averti le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle, pour qui la "dévalorisation" de l'autorité est, avec celle du travail, "au coeur de la crise morale que traverse la France".

Faute de rétablir l'autorité de la République, c'est la République qui risque de s'effriter, a-t-il poursuivi.

Et "quand la République s'effrite, c'est le communautarisme, c'est l'enfermement dans ses origines, ce sont les règlements de compte entre les communautés, c'est la violence qui s'installe", a ajouté Nicolas Sarkozy, qui avait auparavant rencontré des jeunes issus de l'immigration dans un quartier populaire de Perpignan. "Je n'accepterai jamais le communautarisme, la loi des bandes et la loi des voyous", a-t-il insisté.

Il a assuré que le mot autorité ne lui faisait "pas peur" - "L'autorité ce n'est pas l'autoritarisme (...) L'autorité ce n'est pas la force, c'est la légitimité", a-t-il fait valoir.

Tout au long de son discours d'une heure, il a décliné ses propositions à la lumière de ce principe d'autorité, qui impose d'abord un devoir d'exemplarité à "ceux qui doivent l'exercer".

Il faut "une République irréprochable qui inscrive ses principes dans la réalité et pas simplement sur ses monuments", a-t-il expliqué. "Comment les hommes politiques pourraient-ils avoir une autorité s'ils ne donnent pas l'exemple ? (...) S'ils ne tiennent pas leurs promesses, s'ils violent la loi qu'ils votent, s'ils ne sont pas capables de s'imposer à eux-mêmes les sacrifices qu'ils prétendent imposer autres, s'ils ne croient pas eux-mêmes à la politique ?"

"L'ORDRE AU SERVICE DES PLUS FAIBLES"

"Si l'autorité des hommes politiques est si contestée, ce n'est pas à cause de la mondialisation, c'est à cause de comportements, d'attitudes, de mensonges, d'approximations que les Français ne supportent plus", a-t-il souligné.

Restaurer l'autorité de la République, a-t-il poursuivi, c'est garantir un "Etat impartial" et l'égalité des chances mais aussi permettre à l'Etat de remplir ses missions régaliennes.

"Comment l'Etat pourrait-il avoir une autorité s'il ne se donne plus les moyens de se faire respecter, s'il est appauvri, endetté, s'il est étouffé par sa bureaucratie, s'il est aux mains d'une technocratie arrogante ?" a-t-il lancé.

Nicolas Sarkozy a de nouveau prôné la restauration de l'autorité à l'école, le renforcement de la lutte contre la délinquance et l'immigration clandestine et, de façon plus générale, il a plaidé pour la réhabilitation de "l'ordre".

"L'ordre sans le mouvement, c'est le conservatisme et je ne suis pas conservateur", a-t-il assuré. "Mais le désordre, c'est l'injustice et je ne veux pas de l'injustice."

"L'ordre est au service des plus faibles. Abaisser l'ordre c'est exposer les plus faibles. Voilà ce que les socialistes n'ont jamais compris", a expliqué le président de l'UMP. "Les ravages de l'immigration clandestine, le travail au noir, la fraude, la défaillance de l'école, la délinquance, le chômage la concurrence déloyale, ce sont des désordres dont les victimes sont d'abord dans les quartiers défavorisés, dans les familles des milieux modestes, chez ceux qui sont les moins qualifiés."

Nicolas Sarkozy a étendu la notion de République irréprochable, d'autorité et d'ordre au monde de l'économie.

"Comment les patrons pourraient-ils avoir une autorité s'ils n'acceptent pas de mettre les patrons voyous à l'index, s'ils n'acceptent pas de remettre en cause certaines pratiques choquantes et déraisonnables ?" a-t-il demandé.

"L'ordre, c'est quand on cesse de s'appauvrir en travaillant et de s'enrichir en spéculant", a-t-il ajouté. "Je veux que la production rapporte plus que la spéculation ou la rente, je veux que l'entrepreneur passe avant le spéculateur et le rentier."

:((( c'est simplement maginfique
L'autorité ce n'est pas la force, c'est la légitimité (N. Sarkozy)
4088

Citation : ba, c'est bien tout ça, on te crois puisque que tu le dit..
moi j'appele ça de la diffamation ou de la désinformation a mouton.


En fait tout les trucs que j'ai listés sont apparus plusieurs fois dans la presse (et Le Pen n'a soit pas porté plainte pour diffamation, soit perdu).

Pour l'Algérie, il se trouve que mes grands-parents y étaient, et que selon eux, ce que l'on peut lire dans l'article du Monde (3 juin 2002) ci-dessous est largement pas ce qu'il a fait de pire :

Citation : Le récit de Mohamed Abdellaoui : "Je suffoquais. Mon ventre est devenu énorme. Le Pen s'est mis debout sur moi"
LE MONDE | 03.06.02 | 10h51

Alger de notre envoyée spéciale

Mohamed Abdellaoui est un enfant de la casbah d'Alger. Il y est né en 1930 et y habite toujours. Grand, le visage bronzé et les yeux bleus, ce Kabyle n'a jamais raconté son histoire, sauf à ses huit enfants et à ses trente et un petits-enfants. Une nuit du début février 1957 - il ne se souvient plus de la date exacte, mais il sait que la "grève des huit jours" venait de prendre fin à Alger -, il est arrêté par les parachutistes au domicile familial, 4, rue du Sphinx. Il a alors vingt-sept ans et vit avec ses quatre frères et sœurs et sa mère, veuve depuis 1945. En pleine nuit, se souvient-il, on le transfère en Jeep, les mains liées dans le dos, une corde passée autour du cou, à Fort-l'Empereur, sorte de citadelle qui domine Alger. Puis il est enfermé dans un cachot, au sous-sol du bâtiment, où gisent une vingtaine de militants du FLN, qui ont tous subi la torture.

"BUREAU DE TORTURES"

Il raconte : "Le lendemain matin, la porte s'est ouverte et un jeune militaire m'a dit : "Abdellaoui Mohamed, c'est toi ?" J'ai répondu : "oui". Et le militaire a dit : "Le député t'appelle à l'Assemblée !" Sur le moment, je n'ai pas compris ce que ça voulait dire." On l'introduit dans un bureau où se trouvent deux hommes. L'un debout, qu'il identifie comme le commandant Aussaresses, l'autre assis, qu'il identifie comme le lieutenant Le Pen. "Mes "frères" prisonniers m'avaient fait leur description la nuit précédente, précise-t-il. Ils m'avaient dit que j'allais sans doute être interrogé par les "patrons". L'un, bien costaud, la peau blanche, le visage rond, avec un sourire plutôt méchant. Celui-là, m'avaient-ils prévenu, s'habille toujours en para, et c'est le lieutenant Le Pen. L'autre est plutôt grand, mince, et s'habille en treillis de couleur kakie ; c'est Aussaresses."

Comme ses "frères"le lui avaient décrit, il s'agit bien d'un "bureau de tortures". "Il y avait des fils électriques par terre et au mur, et un sac vide mouillé, étalé sur le sol", se rappelle-t-il. L'homme qu'il assure avoir identifié comme étant Jean-Marie Le Pen lui lance : "Qu'est-ce que vous connaissez du FLN ? Et "le Vieux", où il est ?" Abdellaoui répond alors : "Moi, monsieur, je ne connais rien du FLN ; je suis un ouvrier de la maison Bastos [tabac] et je travaille !" Le "Vieux", c'est son chef, Slimane Guettam, de la zone autonome des groupes armés de la casbah, qui mourra plus tard au maquis. Car Mohamed Abdellaoui est bel et bien membre du FLN.

Devant ses dénégations, l'interrogateur aurait rétorqué : "Moi aussi, monsieur, je travaille en ce moment !" Avant de lui crier : "A poil !" Une fois déshabillé, il est allongé sur le sac mouillé, après que les paras lui ont ligoté les pieds et les mains. L'un d'eux lui verse le contenu d'un bidon d'eau sur tout le corps. Puis on glisse un anneau relié à un fil électrique jusqu'au fond de son gros orteil. "Et là, ils ont envoyé la première décharge, dit-il. Jamais je n'oublierai ! Mais je leur pardonne, car un homme qui torture, c'est un homme qui perd son âme."

Les paras sont sortis. Certains regardent "timidement" par la fenêtre, se souvient-il. "Le Pen tenait un objet à la main avec lequel il s'est mis à me donner des coups", assure-t-il. A l'en croire, il ne s'agit pas de simples coups, mais de décharges électriques. L'épaule droite et l'épaule gauche sont alternativement visées, puis le menton, les oreilles, les seins, les genoux, et à nouveau les épaules. "Et ça a duré, ça a duré, raconte-t-il. Sur le moment, ça laisse des traces rouges qui ne durent pas plus de cinq à six jours, mais ça peut aussi empêcher de marcher pendant quinze jours."

L'eau ensuite. Il affirme que Le Pen lui aurait "mis une serviette sur le visage" et qu'Aussaresses aurait "versé de l'eau". "Je ne sais pas s'il s'agissait d'une serviette spéciale, dit-il, mais l'eau rentrait dans ma bouche sans s'arrêter, je suffoquais. Mon ventre est devenu énorme. Le Pen s'est mis debout sur moi. L'eau m'est sortie par la bouche et par le nez... Je suis tombé dans les pommes... Ils ont continué ensuite de me poser des questions, Aussaresses surtout. Lui avait, je m'en souviens, trois barettes sur son treillis."

Sous la "question", il finit par parler. "La souffrance est tellement forte que ce n'est pas possible de réussir à se taire, explique-t-il. Alors, j'ai donné le nom de mes camarades montés au maquis, en pensant qu'ils ne risquaient rien ; mais je n'ai pas donné celui de mon chef, non, pas celui là !" Après cette unique séance de torture, Mohamed Abdellaoui restera encore environ trois semaines à Fort-l'Empereur. Il sera ensuite transféré au camp de Beni-Messous, où il demeurera près d'un mois et demi, avant d'être envoyé dans un autre camp, celui de Paul-Cazelles. A la fin de l'année 1958, il sera libéré et reprendra ses activités au FLN.

Si Mohamed Abdellaoui parle aujourd'hui, c'est "en souvenir de [ses] camarades torturés, tués, et brûlés par Le Pen", accuse-t-il. Il n'a jamais oublié les confidences des paras de Fort-l'Empereur, qui venaient le nourrir, lui et les autres prisonniers, parfois même leur apporter des médicaments -"sans doute pour nous montrer, dit-il, que dans l'armée française, il n'y avait pas que des salauds".

Florence Beaugé

Article paru dans l'édition du 04.06.02



En fait, d'après mes grands-parents, Le Pen et ses potes s'amusaient à aller massacrer des civils avec son auto-mitrailleuse dans des villages où il n'y avait aucune activité guerrière. L'un des jeux était de couper des corps en deux.

Ca c'est de la politique appliquée ! :bravo:
4089

Citation : Nicolas Sarkozy a fait un discours bouleversant sur l'utorité, j'en frissone encore
(...)
c'est simplement maginfique


:ptdr:
4090
Comment on fait pour mettre une phrase dans sa sinature :?!:
je voudrais metter une phrase de ce discours, celle-là par exempel :"L'autorité ce n'est pas la force, c'est la légitimité"
L'autorité ce n'est pas la force, c'est la légitimité (N. Sarkozy)
4091
Trouvé :D:

drpouet = autres temps, autres meours, et puis la torture en temps de guerre, c'est malheureusement souvent indispensable, quoiqu'en disent les bienpansants. en plus lepen a eu le courage de l'assumer.

quand à ton truc de tes grands-parents, ça ne vaut pas tripette
rumeurs...
L'autorité ce n'est pas la force, c'est la légitimité (N. Sarkozy)
4092
Cecile,

Citation : je ne me sens pas concerné par ton propos,
je n'ai jamais étais raciste,
c'est toujours la meme chanson, tu vote Lepen, t'es raciste,
Alors toi aussi, amuse toi a essayer de trouver quelquonc propos raciste dans le programme du front national.



Evidemment, il serait condamné pour incitation à la haine raciale.

Ecoutes, je discute frequemment avec des electeurs du front. Ceux que je connais ont deux/trois REPRESENTATIONS qui les epêchent d'avancer dans leurs reflexions, et ils tournent en rond sur deux trois idées fixes, genre : "pourquoi que moi je cotise des cotisations pour que des étrangers y profitent des cotisations que j'ai cotisé ? " (les "étrangers" (pour eux c'est noirs/arabes, hein) ne travaillent pas et vivent des alloc)
"je prefere ma soeur a ma cousine et ma cousine a ma voisine et ma voisine a une poitou charentaise et une française à une étrangee, c'est normal"
N'as tu pas ces idées ?
Bah c'est ça le racisme, c'est normal la xenophobie. On est tous raciste. Faut juste l'integrer et se dégager de ses prénotions.

SI ta pensée est plus profonde que je le pense, essaye d'aligner plus de deux lignes cécile. C'est facile de nier et de ne pas chercher les avis contradictoirs sur internet comme je sais plus qui te le conseillais.
4093
Chapitre 1 du programme, cecile : immigration. L'immigration est donc le 1er probleme de la France. pas raciste ça. les premiers mots "à l'origine de la plupart des maux... l'immigration". Il n'ya pas besoin d'aller plus loin dans le programme, c'est pratique :ptdr:
4094

Citation : quand à ton truc de tes grands-parents, ça ne vaut pas tripette
rumeurs...


Merde, je savais bien que j'aurais pas dû leur faire confiance. Ils ont profité de ma naïveté. :??:
4095

Citation : Evidemment, il serait condamné pour incitation à la haine raciale.



non, sous entendre que quelqu'un est raciste sans fondement,
ça s'appelle de la diffamation et non une incitation a la haine raciale,
je sais pas ou tu va chercher tout ça enfin..je ne sais pas.

Citation : Ecoutes, je discute frequemment avec des electeurs du front. Ceux que je connais ont deux/trois REPRESENTATIONS qui les epêchent d'avancer dans leurs reflexions, et ils tournent en rond sur deux trois idées fixes, genre : "pourquoi que moi je cotise des cotisations pour que des étrangers y profitent des cotisations que j'ai cotisé ?



non, ça est pas une idée fixe, elle fait partie de la réalité
de la politique sociale menée ses 30 dernieres années.
Oui, j'ai la nette impression qu'on me prends le travailleur pour une tirelire.


Citation : (les "étrangers" (pour eux c'est noirs/arabes, hein) ne travaillent pas et vivent des alloc)
"je prefere ma soeur a ma cousine et ma cousine a ma voisine et ma voisine a une poitou charentaise et une française à une étrangee, c'est normal"
N'as tu pas ces idées ?



non, je n'est pas cette idée,
si certain vivent des alloc, c'est que le systeme le permet.
Ils ne sont pas hors la loi, ils profitent de se qui est proposé.

Citation : Bah c'est ça le racisme, c'est normal la xenophobie. On est tous raciste. Faut juste l'integrer et se dégager de ses prénotions.



"on est tous raciste" et c'est normal...
Desolé, je ne partage pas cette idée.

Citation : Chapitre 1 du programme, cecile : immigration. L'immigration est donc le 1er probleme de la France. pas raciste ça. les premiers mots "à l'origine de la plupart des maux... l'immigration". Il n'ya pas besoin d'aller plus loin dans le programme, c'est pratique


oui, je le pense tres sincérement.
non, je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de rastiste la dedans.
Je pense simplement que la conjoncture actuel (chomage,logement,deficit de l'etat) est ostile a toute immigration.
L'immigration que tu le veuille ou non coute et a toujours couté de l'argent
a l'etat, donc au contribuable..
Tu n'es peut etre pas contribuable toi..ça serait effectivement une bonne raison de s'en foutre.
Mes coules sur tin nez cha t fro an bielle paire d lunette.
4096

Citation :
drpouet = autres temps, autres meours, et puis la torture en temps de guerre, c'est malheureusement souvent indispensable, quoiqu'en disent les bienpansants. en plus lepen a eu le courage de l'assumer.



esperantoto :oo:
4097

Citation :
ps: je voterais Lepen car je suis en accords a 100% avec son programme.



Je lis dans le texte, hein:

- referendum pour l'abrogration de l'IVG
- retablir la peine de mort
- la preference nationale
- peines pour mineurs: ramener a 10 - 13 et 15 ans. Tu pourras donc etre poursuivi a partir de 10 ans.
- depistage du Sida obligatoire pour l'examen prenuptial, etc...

Faudra que tu me dises ce qui la dedans n'est pas choquant, et n'a rien de fasciste.

Il y a aussi les inanites econnomiques, avec des mesures qui vont dans un sens et son contraire (genre limiter les depenses publiques a 35 % du PIB, avec toutes les mesures pro natalite et autres aneries proposees, j'aimerais bien savoir comment il pretend y arriver :mdr: ).
4098
Salut. Qqs réflexions à propos de la façon dont cécile fion discute, ainsi que les électeurs en général:
L'électeur ne pense pas. Il adhère à un discours préformaté, déjà mis en forme.
Cécile aussi.
Pourquoi l'électeur préfère-t-il adhérer plutôt que penser?
Parce qu'il est conditionné, accablé par sa propre nullité qu'on n'a cessé de lui rabâcher à l'école de la république, ensuite à l'armée, ensuite au boulot, etc...
La société tout entière est organisée de façon à faire croire qu'un ordre hiérarchique est nécessaire au bon fonctionnement de l'ensemble, que penser est une spécialité relevant en quelque sorte du DON divin (oui même chez les communistes, anarchistes, etc...on croit ça), maîtrisée par quelques professionnels.
Donc, l'électeur OBEIT, ne pense pas, et borne sa "réflexion" aux réactions primaires de type purement hormonal que suscitent en lui les discours de son leader. Il CITE et ADHERE.
Cécile aussi.
Mais il n'est pas le seul. Chacun se reconnaîtra.

Personnellement, je conteste cet état de fait, parce que j'ai reconnu que le talent particulier des leaders en tout genre n'est pas de penser mieux que les autres (on aurait vu depuis longtemps les effets de leur supériorité dans ce domaine, et pour ma part je serais très heureux de laisser régler les difficiles problèmes collectifs à des gens supérieurement équipés pour ce faire!), mais de produire un discours dont la FORME suggère à l'électeur sa nullité avec une vigueur particulière, et ainsi le DECOURAGE de penser par lui-même, et l'incite à ADHERER.

On pourrait se demander plus précisément ce qui pousse certains à s'en remettre à des personnages dont l'abjection fut mille fois avérée, mais je n'en ai pas envie parce que ce serait sans doute cruel.
...Comme il serait cruel d'aller chercher dans chaque électeur, quel que soit la tendance dont il se réclame, les raisons profondes et personnelles qui le poussent à abdiquer sa responsabilité personnelle.
Car il y a invariablement, dans l'histoire personnelle de chacun plus ou moins "oubliée", des épisodes douloureux et mutilants.

Comme je l'ai déjà fait remarquer plusieurs fois, la pensée et la responsabilité personnelle face à la possibilité personnelle de faire des choix ACTIFS pour sa propre existence, sont des facultés naturelles, qu'il est mauvais (pour chacun et pour tous) de contrarier.

Voir des hommes, des femmes, "adultes", se débattre ainsi dans l'incapacité, acquise par la sournoise violence du système, d'user de facultés naturelles amputées, est un spectacle dégradant.

--------------------------------------------------------------------------------

L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

4099

Citation : un mois avant l'élection de mitterrand, des potes m'informaient de son cancer de la prostate.

tu l'as su avant miterrand? :oo:
4100
Ouf... :fou:
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours.... :oo: