Non non, c'est sans la marche à pied. Mais j'ai quasi rien à faire à ce niveau.
Pour le vélo, je me vois mal le garer dans mon appart et j'ai qu'une piece et pas de cave. (sans oublier que c'est pas vraiment plat chez moi, bonjour l'odeur de transpi au taf)
Citation : J'imagine que si le bus circule en ville, les autres véhicules ne se poussent pas pour le laisser passer.
bé voilà!
Enfin, ça me dérange pas des masses. Sauf que ça me fait partir à 8h30 et revenir chez moi à 19h45/20h. Il y a pire aussi.
J'ai une amie instit' qui se retrouve à 90 bornes. Obligée de se lever à 5h30 et elle rentre à 19h... Ca calme.
Citation :
'ai une amie instit' qui se retrouve à 90 bornes. Obligée de se lever à 5h30 et elle rentre à 19h... Ca calme.
Ici, c'est tare, il y a pas mal de gens qui partent a 6 heures de mat pour rentrer vers 23 heures... Perso, je fais du 12 heures 23 heures en ce moment
Gabou : j'ai souvent vu ça dans les reportages sur le japon.
J'ai cru comprendre que c'était en partie dû à la cherté des logements en ville qui fait que beaucoup de japonais habitent en grande banlieu, voire à la cambrousse.
Mais j'ai aussi eu l'impression que c'était aussi une question culturelle et que les hommes notamment étaient pas pressés pressés de rentrer chez eux, mais traînaient dans les bars, les karaokés et les salles de jeu jusque tard.
En Bretagne, dans les (rares) coins ouvriers, les hommes ne rentraient pas chez eux avant une certaine heure. Interdit. La maison, c'était le domaine de la femme. Après le boulot, les hommes se retrouvaient majoritairement au bistrot et ne rentraient que pour le dîner. ça a été comme ça jusque dans les années 70, parfois.
En Espagne (ou en tous cas en Catalogne de ce que j'en ai vu), les gens (homme et femmes, là) ne rentraient pas forcément chez eux après le taff, mais allaient souvent se retrouver dans les bars à tapas. J'ai entendu récemment que cette habitude était en perdition. Dommage.