Comme d'hab, quoi que cette fois ils semblent conscients que le pole ouvrier et son savoir faire est un peu tout ce qui peux les aider a garder le cap.
D'ailleur si on suit mot a mot la logique de ce qui filtre en ce moment (j'ai a peu prés 5 mail/jour de suivit de l'histoire), les chinois devraient s'asseoir sur leur usine d'A320 pour quelques temps, vu que le 320 est un fond de commerce, que la direction veux supprimer les doublons innutiles pour produire rapidement des valeurs sures sur des sites pilotes.
Par contre du coup pour assurer le partenaria ils pourraient bien récuperer le 350.
Mais j'ai l'impression qu'eux même ne savent pas trop par quel bout le prendre, y'a trop d'effets d'annonce et de contre-annonce en ce moment.
Mais bon, faut savoir que Boeing n'est pas vraiment perrene non plus, ça se sait moins, mais ils ont des problèmes structuraux assez graves sur le 787
Better to be hated for who you are, than loved for who you are not
Will Zégal
75166
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
45412Posté le 04/10/2006 à 19:35:09
J'en ai entendu parler.
De toutes façons (dans les médias), il y 20 ans, pas grand monde ne donnait cher de la peau d'Airbus.
Il y a 10 ans, plus personne ou presque ne mettait un kopeck sur la peau de Boeing.
aujourd'hui, Airbus serait moribond et Boeing le roi du pétrôle.
Citation : Je me trompe où dans cette affaire c'est encore une fois les ouvriers, les intérimaires et les sous-traitants qui vont morfler des conneries des dirigeants ?
Généralement dans ces cas là ce sont surtout les sous-traitants (en particulier les sociétés de service) et les intérimaires qui servent de "variable d'ajustement" comme ils disent dans leur langage politiquement correct (c'est moins odieux que les frappes chirugicales remarque). C'est moins une question de niveau hiérarchique ou de qualificattion, que de contrat facile à rompre (quand il suffit de ne pas les renouveler, évidemment c'est simple...)
Mais l'une des principales causes du problème est que l'euro est trop cher par rapport au dollar, donc c'est pas uniquement de la faute des dirigeants d'Airbus.