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Sujet Comment vous gérez vos femmes ?

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Sujet de la discussion Comment vous gérez vos femmes ?
...

Citation : Tu passes trop de temps sur AF !



Citation : Tu as pris du poids !



Citation : C'est toujours moi qui fait le ménage !



Citation : Tu ne me laisse jamais conduire !



Citation : Je veux un enfant !


...


Vos techniques pour passer outre, minimiser, négocier... Bref comment vous faites pour éviter le pire sans trop faire de sacrifice ?




edit : si un modérateur sympathique veut bien rajouter le point d'interrogation manquant au titre de ce thread déjà mal écrit je l'en remercie d'avance.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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4101
Tu as des enfants jim@ster?
4102
ouaip... une gamine de 6 ans icon_facepalm.gif

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

4103
Aïe... Courage alors....

Le plus dur c'est pas la chute... C'est l'impact!!!! 

4104

Citation :

ouaip... une gamine de 6 ans 

  icon_confused.gif

enfin, le dialogue a pas l'air d'etre rompu entre vous, c'est ce qu'il y a de plus important à garder en tete: la petite...

si il y a separation, on n'est pas obligé de( et on ne doit pas, à la limite) faire semblant de rester ami si c'est pas le cas, mais faut surtout pas tomber dans la situation inverse...

c'est pas simple tout ça, les sentiments( bon ou mauvais), enfant, surtout au debut( et le debut dure longtemps des fois icon_facepalm.gif)...

enfin, je vais arreter là pour pas te plomber icon_volatilize.gif

re-courage( et essayer de garder du recul, eviter les reactions epidermiques)

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks

En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

4105
ptain spadbol :|

J'ai eu à faire le choix moi aussi, il y a quelques années : soit je sacrifiais ma vie, pour assurer le bonheur de mes gosses, soit au contraire je pensais à moi d'abord et je niquais en conséquence l'enfance de mes gamins.
Après de longs mois de réflexion j'ai finalement choisi. J'ai décidé que j'avais fait mon temps, que quoi qu'il en soit j'avais eu droit à ma part de bonheur, sans conteste possible, et que d'autre part j'avais fait des gamins pour les assumer et sûrement pas pour les laisser tomber. Et que donc c'était leur vie qui passait avant la mienne, tout simplement.
Voilà pourquoi je me suis volontairement éteint il y a quelques années... sans beaucoup d'espoir de revoir le soleil briller. En tous cas, pas si je m'accroche toujours à mes idéaux.
Certes, j'aurais pu me barrer et partir refaire ma vie. Il y en a plein qui l'ont fait, qui ont planté sur place femme et enfants pour s'en aller renaître ailleurs. Moi je n'aurais jamais pu assumer un nouveau bonheur tout en sachant pertinemment que derrière moi, il y avait peut-être un petit garçon et une presque jeune fille qui pleureraient en silence mon absence. Au-delà de ça, il y a également plein d'autres choses à prendre en considération dans cette décision, parce que ma situation n'est pas la même que celle des autres, que la tienne... plein d'autres choses qui au final ont fait que moi, j'ai jugé que je devais rester, là où d'autres à ma place n'auraient pas hésité. Et je ne regrette pas d'être resté pour mes enfants.
Ce que je regrette par contre, ce sont ces visions terrifiantes que j'ai parfois, lorsque mon blues cogne vraiment trop fort, sur ce sacrifice que je me suis infligé et ces renoncements que j'ai du faire, parce que rester impliquait pour ma part faire des croix définitives sur beaucoup, beaucoup de choses... Je n'ai qu'une vie, et jsus en train de jouer une partie que je sais nulle à l'avance... Je ne saurai jamais avec certitude si j'ai fait le bon choix (pour eux) ou le mauvais (pour moi). Je ne sais même pas si je me reprocherai, une fois vieux, d'avoir ainsi totalement ignoré, néantisé, rabaissé ma personne, et gâché 40 années de ma vie pour un idéal pas forcément juste. Je sais juste qu'aujourd'hui ma galère est certains jours cruelle, les autres jours simplement très difficile à vivre. Est-ce que je tiendrai jusqu'à la majorité de mon petitou? je ne le sais même pas. Est-ce que je suis un abruti complet ou au contraire un modèle d'abnégation? impossible de juger. Je n'ai je pense pas le recul nécessaire.

Au final, moi je n'ai pas de conseils à te donner. Ni de te dire de faire pareil que moi, ni de te dire de ne surtout pas faire pareil que moi. Personne n'a pour toi de solution clé en mains. Je t'ai juste livré mon expérience, un peu pour m'exorciser, un peu pour la partager en espérant réduire ma peine, mais la solution pour toi je l'ai pas.

Courage mec. ;) Pense à ta fille. Désolé de te dire ça, je n'ai rien contre toi tu le sais, mais elle vaut dix milliards de fois plus que toi. Enfin, ça c'est ce que je pense des miens...

[ Dernière édition du message le 05/11/2013 à 15:58:18 ]

4106
:((
merci beaucoup pour ton témoignage, da', et saches que tu as toute mon estime.
Aujourd'hui, il est bien sûr trop tôt pour savoir ce qui va arriver, mais je suis assez d'accord avec ta façon de penser.
Même si j'ai encore une lueur complètement absurde d'un espoir ridicule. Le rêve d'un retour, et même d'une relation encore meilleure.
Pour l'heure, j'alterne entre périodes d'"oubli" et crises d'angoisse.

Et oui, ma gamine vaut bien mieux que tout ce que j'ai pu faire, ou vouloir. Sans aucune hésitation.

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

4107
Vous allez me faire chialericon_cry.gif
Traumax, tu voudrais bien faire l’hélicoptère avec ton chibre pour nous faire marrer s'il te plait.

[ Dernière édition du message le 05/11/2013 à 16:10:40 ]

4108
J'ai bien pensé faire un truc lol, mais il faut se rendre à l'évidence, le lol n'est pas obligatoire partout, tout le temps. Il est même indésirable parfois.
4109
Citation :
Le rêve d'un retour, et même d'une relation encore meilleure.

Avec un psychanalyste de couple, la chose est possible. Il faut juste qu'elle soit voulue par les deux.
Dans mon cas, elle ne l'était pas.
4110
Citation :
Dans mon cas, elle ne l'était pas.

je l'ai suggéré aussi, même réponse que pour toi :(

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus