Les potins mondains

Alors que les places étaient en vente hier, la chanteuse a réussi à afficher complet en une minute !

Les frais de service exigés par Ticketmaster aux États-Unis ont déjà fait l’objet d’une poursuite judiciaire au milieu des années 1990. Non pas de la part d’amateurs de musique près de leurs sous… mais plutôt du groupe Pearl Jam.

La formation grunge de Seattle souhaitait à l’époque que ses billets soient vendus au maximum 18 $, somme jugée raisonnable pour son public d’adolescents. 

Or, l’entreprise détient des contrats d’exclusivité avec la plupart des grandes salles de spectacle et des producteurs, dénonçait la poursuite. Situation qui donne à l’entreprise «un pouvoir immense» sur les prix des billets, ajoutait-on.

«Il est pratiquement impossible pour un groupe de faire une tournée dans les grandes salles des grandes villes [américaines] sans faire affaires avec Ticketmaster», déplorait Pearl Jam, à l’époque.

Pour ces raisons, le groupe a accusé Ticketmaster de pratiques illégales et d’abus de monopole.

La dispute s’est rendue jusqu’en Cour suprême. Mais le plus haut tribunal américain a finalement refusé d’entendre la cause, affirmant que seuls les clients «directs» de Ticketmaster (les salles de concert) auraient pu intenter une telle poursuite.

Pendant les procédures, le groupe, boycotté par Ticketmaster, n’a pu avoir accès aux principales salles de concert des États-Unis. Pearl Jam a dû se résoudre à présenter ses spectacles dans des hippodromes, de petits arénas ou des champs.

On rapporte qu’après avoir perdu sa croisade, la formation musicale a dû faire bien des courbettes pour revenir dans le giron du géant de la vente de billets…

Doumé ? Ange ? Dominique ? On se donne rendez vous à 6h demain au port de Bastia. Doumé, tu prends la mallette noire, avec la "pâte" dedans. Ange, n'oublie pas les petits stylos métalliques... On va aller faire un petit voyage aux Etats-unis en prévision de la tournée des Muvrini.

Sinon les gars moi je vous ferais pas payer l'entrée de mes concerts. gratos pour tout le monde mais amenez la bière

Philippe Berre, l'escroc qui a inspiré le film «A l'origine» avec François Cluzet dans son rôle, a récidivé. Le journal Sud Ouest raconte que cet homme de 56 ans, natif de Paris, a été interpellé dimanche par les gendarmes déployés à Charron (Charente-Maritime) et placé en garde à vue à la brigade de Marans.

Philippe Berre est expert dans l'art du subterfuge. Selon Sud-Ouest, il s'est procuré un 4 x 4 de l'Office nationale des forêts dont il a changé la plaque d'immatriculation. Sous un faux nom, il a ensuite affirmé avec aplomb être un fonctionnaire du ministère de l'Agriculture. Il avait au préalable pris contact, voire même établi des contrats, avec des entreprises en BTP du département en vue de réaliser des travaux à Charron. Certaines avaient déjà envoyé les engins... qui ont dû être décommandés par la préfecture. Le préfet de Charente-Maritime, Henri Masse, avait été alerté par des élus locaux, inquiets du comportement étrange de Philippe Berre.

Un homme «sympathique», selon le maire de Charron

«il était habillé en civil, comme un ingénieur et je n'avais aucune raison de me méfier, témoigne le maire de Charron, Jean-François Faget, qui qualifie l'arnaqueur de «sympathique». Durant quelques jours, il était au poste de commandement, il a tourné avec son véhicule, il a transporté des hauts fonctionnaires, il s'est rendu utile mais n'a jamais eu aucun contact avec les sinistrés».

En 1997, dans le village de Saint-Marceau (Sarthe), il avait ainsi redémarré les travaux de l'A28, une tranche de vie qui a servi de trame au film «A l'origine» de Xavier Giannoli. Des faits qui lui avaient valu une peine de cinq ans d'emprisonnement.

cinq ans d'emprisonnement.

2010 : Pink Floyd vient d'engager une nouvelle procédure contre la major afin de stopper la vente de ses morceaux individuellement sur Internet, via iTunes et autres sites de téléchargement. Le groupe, pionnier du principe de concept-album, veut contraindre EMI à ne vendre ses oeuvres qu'en intégralité, sans les dépecer titre par titre, afin de respecter l'architecture de ses réalisations.