[SONDAGE] Quel est votre niveau d'aptitude en théorie musicale. Sur une idée de toilb ?
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- 1 Mauvais (je dois sans arrêt calculer la note suivante, je ne peux pas lire en rythme.) (42 - 24%)
- 2 Piètre (Je déchiffre lentement la clef de sol, mais en rythme.) (33 - 19%)
- 3 Moyen ( clef de SOL lu parfaitement, FA assez bien, rythme composés de double croche, déchiffrage à vue du premier cycle de votre instrument. Dictée tonale à une voix) (21 - 12%)
- 4 Nul ( Ah les notes ce ne sont pas simplement des fractions sur 20 ) (18 - 10%)
- 5 Assez bon (Clef de Sol FA UT 3, rythme composé de triple croche, ternaire dans le binaire avec facilité, Déchiffrage à vue du second cycle de votre instrument. Dictée à deux voix.) (18 - 10%)
- 6 Bon (Clef de SOL FA UT 1 et 3, j'harmonise à 4 sons dans les règles académiques,Déchiffrage à vue du troisième cycle de votre instrument. Dictée à trois voix) (15 - 9%)
- 7 M'en bat la race, je traîne sur AF parce que je suis passionné de voiture, ou d'autres chose. (14 - 8%)
- 8 Presque nul( J'étais super bon, quand mon pote m'écrivait les noms des notes avant l'intérro.) (6 - 3%)
- 9 Très bon ( Les 7 clefs sans latence, théorie musique contemporaine, toute l'harmonie connue, quintolet sur des quatruple croche ? Facile. Dictée atonale, j'entend tout ) (5 - 3%)
- 10 Excellence ( Diplômé du CNSM en écriture et contrepoint, J'improvise des fugues à 4 voix ) (3 - 2%)

Anonyme

Je remets le choix des réponses ici puisqu'il disparaît une fois le vote consumé !
Citation :
Nul ( Ah les notes ce ne sont pas simplement des fractions sur 20 )
Presque nul( J'étais super bon, quand mon pote m'écrivait les noms des notes avant l'intérro.)
Mauvais (je dois sans arrêt calculer la note suivante, je ne peux pas lire en rythme.)
Piètre (Je déchiffre lentement la clef de sol, mais en rythme.)
Moyen ( clef de SOL lu parfaitement, FA assez bien, rythme composés de double croche, déchiffrage à vue du premier cycle de votre instrument. Dictée tonale à une voix)
Assez bon (Clef de Sol FA UT 3, rythme composé de triple croche, ternaire dans le binaire avec facilité, Déchiffrage à vue du second cycle de votre instrument. Dictée à deux voix.)
Bon (Clef de SOL FA UT 1 et 3, j'harmonise à 4 sons dans les règles académiques,Déchiffrage à vue du troisième cycle de votre instrument. Dictée à trois voix)
Très bon ( Les 7 clefs sans latence, théorie musique contemporaine, toute l'harmonie connue, quintolet sur des quatruple croche ? Facile. Dictée atonale, j'entend tout )
Excellence ( Diplômé du CNSM en écriture et contrepoint, J'improvise des fugues à 4 voix )
M'en bat la race, je traîne sur AF parce que je suis passionné de voiture, ou d'autres chose.
J'ai repris les critères de toilb, que j'ai un peu étayés.
Ne pouvant pas écrire tout ce qui se rattache à un niveau plutôt qu'un autre, à vous de plus ou moins vous situer. Mais je pense qu'il y a assez d'indications. Evidement, pour passer à un niveau suivant il faut connaître ce qu'il y a dans le précédant.
Et parce que certains peuvent être compositeurs sans avoir un niveau exceptionnel en instrument à vous d'oublier volontairement certains des critères pour vous placer.
A vous de jouer.
Le topic sera sans doute amené à dévier sur l'utilité (oui/non/bof) que la théorie musicale apporte à la musique. Ca tombe bien c'est pour cela qu'il a été crée, afin d'éviter de polluer d'autres sujets.
[ Dernière édition du message le 13/05/2012 à 02:16:21 ]

newjazz

Pas totalement convaincu par ta démonstration, en tout cas en dehors de la musique classique.
Oui enfin le niveau de complexité n'est franchement pas le même entre la moyenne des morceaux pops et une oeuvre de Bach. Je rejoins complètement Darinze là-dessus.
Je pense même que dans le rock et la pop, il y a plus d'artistes qui n'ont jamais écrit une seule de leur chanson sous forme de partition que le contraire. Et c'est bien l'enregistreur ( et leur mémoire) qui était leur outil de compo.
Après tu peux considérer l'ensemble de la pop à des grilles de 4 accords redface2 , mais c'est pas gentil.
Ce n'est pas une question de manque de gentillesse, ce sont des faits. En termes de complexité, une grille d'accords de rock aussi évoluée soit-elle n'a rien à voir avec le résultat d'une analyse harmonique d'une sonate de Chopin.
Après, qu'on s'entende bien, je n'émets aucun jugement de valeur, personnellement j'ai autant de plaisir à écouter du rock que du classique. Je parle uniquement de la manière dont ces musiques sont construites.
A titre personnel,déjà, pour jouer une reprise, si je dois choisir entre l' enregistrement et la partition, je prend l'enregistrement automatiquement : beaucoup plus d'infos à relever. Même un fichier midi contient plus d'infos qu'une partoche!
C'est un point de vue.
Mais là, je dirais qu'une partition, c'est comme un livre,il faut savoir lire entre les notes. Et surtout, la partition te laisse libre d'interpréter le morceau comme tu le souhaites, sans influence d'une précédente interprétation.

Djardin

Je dirais pareil que Darinze.
quand on veut pouvoir composer, donc inventer un truc et le faire jouer par d'autres après, l'écrire me parait le plus simple.
Disons que de toutes mes expériences, se retrouver avec un gars incapables d'improviser, c'est horrible : ça bloque, il ne joue que ce qui est écrit.
d'un autre côté, jouer avec un gars incapables de structurer ses idées en les écrivant, et incapables de lire (pas spécialement une partition, juste une grille), j'ai trouvé ça très relou. l'impro, ça va pour un boeuf, mais pas pour composer un truc.
Pour ne tout faire que de mémoire, je pense que c'est faisable si tu reste dans un cadre logique, genre que tu sais que forcément l'accord suivant devrait être un tel. donc une bonne connaissance en théorie et en solfège pour avoir une idée des harmonies. Mais, comme Darinze, ce n'est que mon point de vue.
mais bon, là le débat tourne sur l'écriture, alors qu'on peut faire du solfège sans écrire, juste en sachant comment se fait tel ou tel truc, accord, gamme, etc.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

newjazz


piergynt

Mais maintenant que j'ai bien pu trouver l'inspiration, il me faudrait sans doute remettre du solfège dans mes morceaux.
J'suis plutôt jazzeux, et j'bosse beaucoup en m'inspirant de morceaux que je reprends à ma sauce, mais depuis plusieurs mois, je sens que je stagne... Probablement parce que je me cantonne à jouer ce que je connais... Je rêve de pouvoir improviser sur des grilles monstrueuses !!
En même temps, j'ai déjà pu observer quelques fois des pianistes purement classique, méthodiques, solfégeux !! qui regardaient mes mains, et essayaient de comprendre harmoniquement ce que je jouais... en me le demandant à la fin, sauf que, je n'en sais rien !!

=LouF=

C'est vraiment intéressant comme échange en tout cas.
Je rappelle que mon histoire de préférer l'enregistrement à la partition ne concerne pas la musique classique. le solfège (l'écriture) a été fait pour elle au départ, il a évolué en fonction d'elle, ils sont enchainés à vie.
Pour le reste, donc, je vous rejoins sur la nécessité d'avoir un minimum de connaissance théorique pour écrire les grilles d'accords et les comprendre harmoniquement, c'est à dire connaitre les notes des accords, savoir différencier les tensions dans l'accord et dans la grille, improviser dessus, etc. Sans ça, la communication entre musicien est pauvre, c'est pas top.
Mais ce sont des outils de Jazz au départ, qui s'étendent dans la pratique à l'ensemble des musiques non classiques.
Amha, les deux styles les plus complexes harmoniquement en non-classique sont le Jazz et le métal, et il doit y avoir une proportion égale de lecteur à vue/non lecteur chez eux.
Je pense même que ça influence assez fort l'approche musicale d’être plutôt un lecteur ou un improvisateur. Mais leur moyen de communication principal est plutôt la grille que la partition en général.

Anonyme

Mais je veux juste ajouter. "Putain les mecs, il faut arrêter de catégoriser comme des brutes. La modernité, nous permet beaucoup de chose utilisons les. Le savoir des anciens nous permet une autre approche très valable aussi. Ouvrez vous à tout ce qui se fait. C'est ça qui libère, pas de s'enfermer dans des catégories en disant j'ai décidé que c'était mieux alors je reste coincé dessus. Chaque approche à son utilité et excelle plus ou moins bien selon ce que l'on veut en faire !"

[ Dernière édition du message le 14/12/2012 à 14:31:44 ]

Anonyme

Amha, les deux styles les plus complexes harmoniquement en non-classique sont le Jazz et le métal, et il doit y avoir une proportion égale de lecteur à vue/non lecteur chez eux.
J'ai commencé, par ça et je l'ai abandonné à cause de sa pauvreté justement. Mise à part quelques perles pas du tout représentative du "métal" en général. Dans le métal si tu as 2 notes différentes tu es content déjà

Même la pop est foutu d'avoir 3 ou 4 sons différents en même temps !
[ Dernière édition du message le 14/12/2012 à 14:32:32 ]

Djardin

C'est plus ou moins la conclusion où on était arrivé : les deux(lecture-oreille) sont utiles et se complètent
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme

[ Dernière édition du message le 14/12/2012 à 14:46:37 ]

=LouF=

Minstr_L> ouais, je parle du métal comme ça, c'est par prévention, avant qu'il y ai un rageux qui déboule pour le défendre.
Je voulais plutôt dire le "prog" en général, mais j'ai l'impression qu'il touche plus au métal aujourd'hui, c'est tout. Notez qu'il y a aussi d'autres styles très complexes en rock, mais c'est plus au point de vue rythmique qu'harmonique que ça se passe.

Anonyme



the bubble

moi perso grâce à cette formation j'ai des connaissances moyennes dans les deux domaines, oral et écrit. j'ai aussi une formation classique bien sûr.
Pour en revenir au bon usage des instruments, mon propre accordeur m'a bien fait comprendre que le niveau d'aptitude de l'instrumentiste détermine la qualité de l'instrument à acheter donc inutile d'acheter un steinway modèle d pour un amateur...il ne saura pas le maitriser. Enfin sachez qu'à partir du troisième cycle, il est recommandé aux élève d'avoir un queue de 1.78 pour pouvoir "étudier" correctement. donc pour en revenir aux voitures, inutile d'acquérir une ferrari en espérant la conduire comme un dieu sans être pilote...à moins de se tuer!

newjazz

Enfin sachez qu'à partir du troisième cycle, il est recommandé aux élève d'avoir un queue de 1.78 pour pouvoir "étudier" correctement.
Sur le fond, je suis d'accord, plus l'instrument est de qualité et mieux c'est, tout en veillant à ne pas forcément s'endetter à vie pour un Steinway ou un Bösen si on ne compte pas aller plus loin qu'un certain niveau, souvent déjà honorable.
Ok pour tout ça.
Mais... recommander (sous-entendu, "sans ça vous n'y arriverez pas" ) un "queue" pour des élèves de 3ième cycle, c'est juste du gros mouarf!
Personnellement, ce genre d'argument me semble plus à même de faire fuir les élèves que le "grand méchant solfège", qui ne réclame pas de débourser des fortunes mais juste de consentir à faire un minimum d'effort intellectuel.
[ Dernière édition du message le 15/12/2012 à 16:12:09 ]

the bubble

Ok pour le piano j'ai un peu (beaucoup) éxagéré. On va dire pour passer un dem ou voire faire ses études au cnsm? c'était de la provocation face à l'idée qu'on peut tirer un bon son d'une radouille.
ceci dit, je suis d'accord avec bose et steinway, qui ont même une réputation pas forcément justifiée face à d'autres marques.
Je dis ça et en même temps, j'ai des parents d'élèves qui ont acheté des pianos de début de moyenne gamme chez les japonais ou voire dits "bas de gamme". ils seront plus tranquilles avec ceux la qu'avec les chinois en abondance certifiés par "machin" avec mécanique "truc". après si pour certains les chinois sont suffisant dans une utilisation peu fréquente, pourquoi pas? En même temps, chacun peut prendre ce qui lui convient.
[ Dernière édition du message le 15/12/2012 à 19:09:57 ]

newjazz

Ce n'est pas une question d'effort intellectuel, ça je suis pour. c'est de remettre la théorie dans son contexte, avec son histoire. c'est ça le fm. la théorie pure c'est du solfège
Oui, je suis d'accord avec la distinction que tu fais entre solfège et formation musicale.
Ok pour le piano j'ai un peu (beaucoup) éxagéré. On va dire pour passer un dem ou voire faire ses études au cnsm? c'était de la provocation face à l'idée qu'on peut tirer un bon son d'une radouille.
Là aussi, je te rejoins beaucoup plus. Pour le passage à des études vraiment diplômantes ou au niveau d'excellence du CNSM, je suis d'accord qu'il est nécessaire de passer au piano à queue.
ceci dit, je suis d'accord avec bose et steinway, qui ont même une réputation pas forcément justifiée face à d'autres marques.
Quand je disais "Bösen", je ne pensais pas à Bose mais à Bösendorfer.


the bubble


piergynt

Il est évident que sans solfège, aucun compositeurs "classique" n'auraient pu atteindre des sommets de compositions..
Je reste cependant persuadé qu'il ne faut rendre le solfège obligatoire pour l'enseignement d'un instrument, tout le monde n'a pas vocation a devenir professionnel, ou même un bon amateur..

newjazz

Après tout est une question de méthode d'apprentissage, et de prof.
Parce que c'est vrai que personnellement, si j'ai un souvenir pas trop mauvais des cours de solfège de mon enfance, c'est que nous avions dans notre petit conservatoire de banlieue une perle: un professeur d'un certain âge, nommé Alphonse Masselier, certainement plus de ce monde aujourd'hui, contrebassiste de son état, et qui dans ses jeunes années avait notamment accompagné le grand Django...
[ Dernière édition du message le 19/12/2012 à 12:53:03 ]

piergynt

Nous n'avions pas Alphonse, mais une prof très stricte ce qui a fait abandonné l'étude de la musique à quasiment tous les ado !!...

Anonyme

Je sais, je radote avec l'analogie entre solfège et alphabet, mais ça me paraît d'une telle évidence. Après, un peu fatigué de voir toujours agité le chiffon rouge du "c'est que pour l'élite".

piergynt

Je remarque simplement que je trouve dommage qu'à l'adolescence nous étions 2 sur une classe de 12 à passer le cap du solfège !! ( et pourtant j'suis pas un bosseur, mais simplement en aimant ça, je retenais suffisamment ).
Certains se sont retournés vers l'école de musique privée, qui enseignait sans solfège... et du rock en plus !!!
Pour ce qui est de l'analogie entre alphabet et solfège, on peut ne rien connaitre au solfège et être un mélomane très avertis...

Anonyme

Pour ce qui est de l'analogie entre alphabet et solfège, on peut ne rien connaitre au solfège et être un mélomane très avertis...
J'aimerai savoir ce que tu entends par "très avertis."
L'analogie avec l'alphabet coule de source évidement. La musique est un langage, les notes en sont l'alphabet, la rythme est sa ponctuation. Mais une ponctuation étrange qui se comprend dans lien avec l'harmonie. L'harmonie, sous entendu "les enchaînement harmonique" en sont la syntaxe. Le contrepoint serait l'art de l'éloquence.
Une putain de langue je vous dis.
Le solfège, nouvellement appelé "formation musicale" est la discipline qui cherche à initier aux pratiques sus-citées. Rien d'autre.
Il faut arrêter d'avoir l'esprit bloqué en pensant que le solfège est une finalité, que néni.
Alors on peut toujours répondre que on peut faire de la poésie sans comprendre une langue. Par simple imitation de son, voir même d'improvisation de sonorités ainsi que de verset aux pied srythmés.
Mais faut pas déconner, ça sera jamais du Baudlaire. Pire le sens donné ne sera qu'aléatoire.
Pour parler de notre langue.
Dire que lire n'apprend pas à parler avec éloquence me semble une grosse connerie. Oui, nous pouvons tout aussi bien apprendre en écoutant les grands maître doué d'une parole fluide, aux nuances si précises qu'elles en sont orgasmiques.
Mais, c'est si rare, que les bons vieux bouquins bien écrit restent tout de même bien plus pratique.
Ne vous trouvez-vous pas plus intelligent, plus à l'aise avec les mots, plus nuancé dans vos propos lorsque vous lisez beaucoup ?
Bein, je soutiens que c'est le cas en musique aussi. Et que pour aller plus loin, chercher à l'écrire et à confronter les rapports émotionnel et logique que l'harmonie nous apporte, ne peux faire que du bien.
Dernière partie dédié à ceux qui pensent que se formater le cerveau nuit à la créativité. Ne riez pas les autres, j'en ai croisé un paquet de comme ça. Moi je leur répond qu'il est bien illusoire de croire pouvoir faire quelque chose de neuf, si l'on a pas conscience de ce "format" de ce "cadre" justement.
En fait ceux-là préfère se bercer d'illusions, fermer les portes des expériences musicales afin de se croire ingénieux. Quel temps perdu ! Ou alors ce sont des lâches, car oui, la musique c'est dur, très dur même. Et on ne créer pas à partir du néant.
C'est cette accumulation d'expérience faite tout aussi bien de l'oreille ( écoute musicale) ou de l'oeil ( écoute musicale intérieure) pour ce qui est rare à entendre; qui permet de vous forger un instrument intérieur valable. Et devinez quoi? Ces expériences sonores sont mises en lien par une science théorique qui ne sont rien d'autre que les traités de théorie musicale, d'harmonie et de contrepoint.
Alors oui, il peut exister d'autre moyen de mettre en lien ces expériences. Seulement aucune pour l'instant ne vas aussi loin et est aussi performante que celle de la formation classique.
1000 années d'évolution tout de même. Faut pas négliger non plus.
[ Dernière édition du message le 19/12/2012 à 16:23:45 ]

Anonyme


c'est beau

piergynt

Je connais plusieurs personne comme ça, qui sont impressionnant de culture musicale ( très impressionnant !! ) et qui n'ont aucune connaissance de la théorie musicale, ni de la pratique d'un instrument.
...aucune pour l'instant ne vas aussi loin et est aussi performante que celle de la formation classique
Et je suis complètement d'accord, je dis simplement, que tout le monde n'a pas ambition à devenir un grand interprète, ni même à avoir un grand niveau,.. j'ai toujours trouvé dommage que certains abandonne la musique seulement pour le solfège...
Et lorsque j'ai dû improvisé, j'ai dû faire beaucoup d'effort pour me sortir du carcan théorique et travailler bien plus avec mes oreilles.
Je crois que finalement, on ne parle pas de la même chose : je ne dis pas que sans solfège, on peut composer un réquiem, je dis simplement, que le solfège ne me semble pas devoir être obligatoire.
Ou peu-être : qu'il est dommage d'apprendre le solfège à un niveau beaucoup plus élevé que son instrument ( alors qu'apprendre les 2 en même temps serait mieux ).
Il est vrai que le jour ou j'ai pu accéder à des cours d'harmonisation, ce fût très intéressant, et la finalité du solfège était là... Mais combien ont arrêtés avant d'arriver là ??

Anonyme

Je connais plusieurs personne comme ça, qui sont impressionnant de culture musicale ( très impressionnant !! ) et qui n'ont aucune connaissance de la théorie musicale, ni de la pratique d'un instrument
Pour faire l'analogie avec le cinéma, il me semble que tu décris là toute la différence entre un critique et un réalisateur de films...
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