Qu'est-ce qui vous fait peur automatiquement ?
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Milk
Et un de plus, un !
Alors nous traîterons ici des phobies, des stress, des petites flippes et des grosses frayeurs qu'on doit combattre chaque jour.
De la plus anodine à la plus extravagante, postez ici vos terreurs secrètes que vous n'oseriez avouer nulle part ailleurs qu'au pub ;)
Hors sujet : Allez va maintenant, petit thread, grossir les rangs de la série "automatiquement". Longue vie à toi et grossis vite et bien. Snif
Alors, pour commencer, ma phobie à moi, c'est ça :
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cyar
Anonyme
le dernier "il a copié".
[ Dernière édition du message le 15/04/2014 à 15:33:08 ]
TheStratGuy
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Anonyme
Les lépidoptères,
Les lépidoptères, les coléoptères
Tu peux les laisser voler, eux,
ça craint pas
Les chiens, les chats
Tu peux les faire rentrer
Tu peux les caresser
Eux ils aiment ça
Les lions, les panthères
Sont malheureux loin de leur terre
Tu devrais les plaindre
C’est la misère
C’est des vautours
Dont il faut te méfier
Ils te tournent autour
Et sont sans pitié
Ils sont comme nous
Ils nous ressemblent trop
Ils regardent ton goûter
Veulent te le bouffer
Ils se posent sur ton épaule
Ils se poussent de l’épaule
Et ils se trainent à tes pieds
Il faut te méfier
Ça craint
Les femmes hippocampes
Les anguilles filantes
Sont impressionnantes
Mais elles ça craint pas
Les petits lapins nains
Et les souris galantes
Même les tortues géantes
Elles sont pas méchantes
C’est des vautours dont
il faut te méfier
Ils sont dégueulasses
Dans leur propre mélasse
Ils puent du bec
et mangent de l’avarié
Ils ont l’avarice
Jusqu’au fond du gosier
Ils s’engueulent sur leur arbre
Et se taisent quand tu passes
Ils guettent ton dos tourné
Pour tout te piquer
Ils sont pas dans leur assiette
Mais ils sont dans la tienne
Ils sont pires que des hyènes
Ils te guettent
ça craint
Ils avaient des têtes d’anges
Et c’est peut être la seule morale
Car du monde animal
C’est eux qui sont la fange
Ils auraient pu être chouette
Ils auraient pu être grand-duc
Et au fond s’ils sont rien d’autre
Que des petits trous du c
Alors si tu les croises
Passe ton chemin
Laissent les s’occuper
Du menu fretin
Alors si tu les croises
Passe-moi le vin
Passe-moi le pain
Evite qu’ils s’assoient
À notre table
Et protège tes copains
Parce que ça craint
Ça craint
Parole de C'est Con Mais C'est Bon:
Une vie sans te parler, c'est long
Sans toi à mes coté, c'est long.
Une vie à commencer, une vie à terminer,
C'est con, on a eu juste le temps de s'aimer.
Je vie de tes pensées, c'est bon
Tu vie dans mes pensées, allons bon.
Une vie à ramasser, ce que tu m'as laisser,
C'est bon, on a eu juste le temps de s'aimer.
L'absence nous a laissé, tout con
On c'est rassembler, tout con.
On a tous pleuré, on a même chanté,
Qu'on a juste eu le temps de t'aimer, c'est con
On a juste eu le temps de t'aimer, c'est con
On a juste eu le temps de t'aimer, allons bon.
[ Dernière édition du message le 15/04/2014 à 15:46:41 ]
Traumax
Anonyme
Nonobstant, ses romans restent très bons.
Le 1er que j'ai lu, je l'ai par hasard et à reculons, en espérant que ça soit de la merde et que je puisse le jeter au feu après 10 pages. Je l'ai lu d'une traite, c'était La Possibilité d'une île.
Le film éponyme, réalisé par H. lui même, semble avoir été fait pour la seule gloire du lol en revanche.
Anonyme
C'est une expérience très très puissante, effets garantis.
Apéro, barbec' avec des amis, chez moi samedi soir.
Pas mal de boissons, des joints qui tournent et moi... aux manettes derrière la plancha.
Je venais d'encaisser une n-ième latte de clope marrante et je servais les premières guez'... ma dernière gorgée datait de plusieurs minutes... j'avions la bouche bien sèche.
J'ai alors chopé un bout de merguez (demi-phalange), qui trainait dans l'plat que je venais de déposer, histoire de m'assurer de leur cuisson, toussa.
Et là...
Et là... bouche pâteuse, sèche... impossible d'avaler la guez'... pire... la voilà qui me fait une fausse route... le bout d'guez' coincée dans la gorge.
J'ai commencé à étouffer... doucement... à tenter de prendre de l'air... et plus ça allait, plus j'étouffais, moins je prenais d'air... et moins je voyais comment j'allais me rattraper.
Plus ça allait, plus le sentiment d'étouffement se faisait fort...
Ça clignotait de partout à l'intérieur, warning de tous côtés... je ne voyais vraiment pas comment j'allais me récupérer... je ne voyais pas d'issu au truc qui ne cessait d'empirer.
Pendant quelques secondes, qui m'ont semblé durer une éternité, je me suis dit (avec une certaine lucidité de l'esprit) que j'allais clamser là, au milieu de mes potes.
Mon corps souffrait et se battait, mais mon esprit était encore bien lucide et réfléchi... et je me suis vraiment dis que j'allais y passer.
Et puis, je ne sais pas comment, peut être après que je me sois penché en avant, mes voies respiratoires se sont dégagées... l'air a afflué de nouveau.
Mes potes qui pensaient au départ que je déconnais, étaient tous debout ... et j'ai repris mon souffle doucement... sans parler... sans dire un mot... en mode au ralenti, calme... histoire de refaire tourner la machine sans la perturber... histoire d'assurer chaque inspiration.
Au delà, de la souffrance physique que ce genre d’expérience procure, c'est vraiment l'expérience spirituelle de se sentir partir sans trouver d'issu, qui m'a marqué.
J'ai eu la peur de ma vie. Vraiment.
newjazz
Et la toux-réflexe ne s'est pas déclenchée?
j-master
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
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