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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Agentcarotte



Lonewolf


Dom Janvier


Lonewolf


Agentcarotte



Dom Janvier



Agentcarotte


Dom Janvier

Citation : Quatre frères et soeurs vivent avec leur mère. L'ainé, Akira, s'occupe de ses jeunes frères et soeurs, chacun d'un père différent. Un matin d'hiver, leur mère disparaît et les enfants commencent à vivre seuls.
ah ouai.
Génial.
Ca donne envie.


Dom Janvier



Agentcarotte



Marcus Brody

Un bon film même si c'est pas leur meilleur...

Dom Janvier



Agentcarotte


lowweek

C'est un film années 80 avec Chuck Norris. Bon ouais je vous vois venir, mais un petit Chuck avec mon frangin, c'est l'assurance d'une soirée bien débile.

Le scénar : un ex-flic que tout le monde croit mort après avoir été descendu par un collègue véreux infiltre un groupe mafieux italien à Miami pour la CIA et pour créer une guerre des gangs avec les canadiens et les iraniens !


Mais là, ce film est incroyable : plans pas raccord, histoire sans queue ni tête, un pack d'injure racistes anti-arabes, violence sans raison, monuments de bons sentiments entre deux pétages de gueule, acteurs qui meurent dans des mimiques grotesques. Le tout sans rythme, mal réalisé, etc... Un pur navet, même pas cool à mater.

Mais pour moi, l'ultime navet reste Le Jour et la nuit de Bernard-Henry Levy : perso pitoyables, acteurs perdus dans la non-mise en scène, trucages bien moches, pleins de plans pas raccord, de dialogues sans aucun sens et la fin la plus ridicule du cinéma. Merci BHL.




YanLowFreq

bansouaaaaaar.
qui pourrait m'aider à me souvenir du nom de ce réalisateur qui faisait des films burlesques, souvent avec un décors "Na$is d'opérette", et des gros seins. Je ne crois pas que c'est Russ Meyer, mais un peu le même genre...
Lui même figurait dans ses films déguisé en hitler ...
Il est mort y'a pas longtemps je crois.
Ca vous dit klk chose ?
D'autre part, je recherche aussi quelques titres de films burlesques , genre l'équipe qui faisait "Y'a-t-il un pilote pour sauver la Reine", mais pas cette équipe là... je pense à un titre qui ressemble à "Agent secret" dans les 80's... avec deux scènes en particulier :
- une scène ou un type jette des livres dans une biblithèque et ils se rangent tout bien, c'est normal, c'est filmé à l'envers, et on voit d'ailleurs un chien qui marche donc à l'envers sur le plateau

- une autre scène où l'on voit un téléphone au premier plan et des gens aux deuxième plan loin derrière. Puis les gens s'approchent du téléphone et en fait le téléphone est énooooooorme pour truquer la perspective...
et tout le film est une suite de gros gags bien lourds

dites - moi que tout ça existe bien est que c'est pas une réminescence de ma vie antérieure sivoupli .


Marcus Brody

Citation : Ben oui vu que c'est pas leur film...
oups pardon je croyais...

Anonyme

Il a su éviter les images désormais "classiques" de l'horeur de la shoa, en s'attachant à rendre l'urgence de l'action (informer le monde) avec les images de trains vides qui reviennent inlassablement.
Costa Gavras ne laisse place a aucune équivoque quand à la complaisance voire à la culpabilité de l'Eglise , et il a sûrement raison. Même si certains chrétiens ont tentés de faire bouger les choses comme son héros (Kassovitz) meurtri dans sa foi devant de telles horreurs impunies et surtout non condannées par l'autorité suprême des Chrétiens : le Pape
Les personnages principaux : le lieutenant SS et le prêtre jésuite (Kassovitz) ont une interprétation très sobre. Le parallèle du fils (jeune prêtre) qui se révolte par rapport à l'autorité du père (paternel et Papal) est habilement souligné.
Un film très réussi et qui posent les bonnes questions de la bonne façon.

Milk


Pour ta première question, là tout de suite, je vois pas.

Marcus Brody

Citation : "Amen" Costa Gavras
Il a su éviter les images désormais "classiques" de l'horeur de la shoa, en s'attachant à rendre l'urgence de l'action (informer le monde) avec les images de trains vides qui reviennent inlassablement.
Costa Gavras ne laisse place a aucune équivoque quand à la complaisance voire à la culpabilité de l'Eglise , et il a sûrement raison. Même si certains chrétiens ont tentés de faire bouger les choses comme son héros (Kassovitz) meurtri dans sa foi devant de telles horreurs impunies et surtout non condannées par l'autorité suprême des Chrétiens : le Pape
Les personnages principaux : le lieutenant SS et le prêtre jésuite (Kassovitz) ont une interprétation très sobre. Le parallèle du fils (jeune prêtre) qui se révolte par rapport à l'autorité du père (paternel et Papal) est habilement souligné.
Un film très réussi et qui posent les bonnes questions de la bonne façon.
Pas mieux Tal... J'ai bien aimé ce film !

Agentcarotte

LE film est tres tres mauvais, mais regardez ce bijou:



Anonyme


Tib-tib



Edd El Manouche


Sinon, on a enfin trouvé l'idéal de mélopia!


Agentcarotte


Number-6

Citation : Sinon, on a enfin trouvé l'idéal de mélopia!




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