Citation : JO: abandon du relais de la flamme olympique à Paris
[2008-04-07 17:32]
PARIS (Reuters) - Le relais de la flamme olympique dans les rues de Paris a été abandonné sous la pression des manifestations organisées par les défenseurs des droits de l'homme et du Tibet, a annoncé la préfecture de police.
La décision a été prise par les organisateurs alors que la flamme venait de passer devant l'Assemblée nationale et se dirigeait vers le Stade Charléty, derrière étape du relais, a précisé un porte-parole.
La flamme olympique a été définitivement enfermée dans l'autocar où elle avait mise en sécurité à plusieurs reprises le long du trajet.
Citation : j'ai une cliente, qui est tres tres jolie...mais tres tres bete aussi
hier, elle c'est vautré comme une merde juste devant le mag où je bosse...
eh eh
Concernant le passage de la flemme à Paris, morceau choisi du journal de France 2:
Pleine bagarre, le caméraman est en plein dedans, cerné de bleus. Il se prend une mandale d'un crs:
"on est journaliste, connard!"
"on s'en fout", et le CRS lui en recolle une.
Citation : Pleine bagarre, le caméraman est en plein dedans, cerné de bleus. Il se prend une mandale d'un crs:
"on est journaliste, connard!"
"on s'en fout", et le CRS lui en recolle une.
Citation : Bruno Girodon, 45 ans, filmait une relayeuse handicapée peu après le départ de la flamme olympique vers 13h30 quand il a été "pris à partie par les forces de police", a indiqué le chef du service des JRI de france 2, Roger Motte.
M. Girodon, qui s'est présenté comme JRI, a été "mis à terre et frappé à la tête", a indiqué M. Mottte.
Il a "perdu connaissance une dizaine de secondes", s'est relevé et a tenté de recommencer à travailler avant d'être conduit à l'hôpital.
M. Girodon, qui va "vraisemblablement porter plainte", a été "touché à l'épaule, qui n'est pas cassée, mais a été immobilisée".
Le journaliste porte aussi "des traces sur le front", a précisé M. Motte.
Il a pu quitter l'hôpital lundi soir après avoir passé des radios.
Selon M. Motte, le journaliste doit être interrogé mardi par l'Inspection générale des services (IGS, "police des polices" ) qui a ouvert une enquête administrative.