Sujet de la discussionPosté le 09/04/2003 à 15:17:17Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
J'ai fait ça pour sauver ma mère (84 ans) d'une fausse route. Sauf que dans la position dans laquelle elle s'était penchée au dessus de la cuvette des WC dans l'espoir d'expulser son morceau de viande toute seule, je n'ai pas pu placer mes mains de la façon préconisée, mais trop haut... résultat, le morceau est bien parti, mais je lui ai pêté deux côtes (en fait juste fêlé bien comme il faut, mais ça fait d'abord "crac" bien comme il faut, puis mal bien comme d'habitude).
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Alx33
22727
Vie après AF ?
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40504Posté le 30/05/2016 à 10:30:06
Ykar : je connais pas les stats, mais assez souvent quand on utilise cette méthode on casse/fele des cotes. Après entre la mort ou des cotes cassées, le choix est vite fait.
Le toubib qui m'a fait passer le secourisme disait toujours qu'un bon massage cardiaque, c'est 2 côtes cassées (sauf chez les nourrissons, avec lesquels il faut vraiment faire gaffe). Il ne disait rien pour Hemmlich
Idem avec le massage cardiaque. Il vaut mieux le faire pas parfaitement et en cassant des côtes que de ne rien faire.
Je suis aussi secouriste du travail et dixit le formateur: c'est pas la peine d'y aller comme un boeuf au point de casser des côtes, le massage cardiaque doit etre appuyé mais proportionné au gabarit de la personne massée.
Pour la manoeuvre de Heimlich, elle doit etre faite sous les cotes, donc si bien executée, aucun risque de les casser. De faire gerber, par contre, très probable.
Ykar : je connais pas les stats, mais assez souvent quand on utilise cette méthode on casse/fele des cotes. Après entre la mort ou des cotes cassées, le choix est vite fait.
J'ai pas trop pris le temps de mesurer les probabilités et les risques colatéraux . J'avais aussi une troisième voie, c'était de ne rien faire et de toucher l'héritage, mais une fois encore je suis trop bon