Sujet de la discussionPosté le 09/04/2003 à 15:17:17Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Le dopage c’est du off-label use, donc en gros des trucs totalement légaux mais prescrits pour des usages pas forcément légaux. Bref c’est la responsabilité du médecin et forcément le off-label use pour le dopage ça reste incroyablement ridicule comparé au off-label use classique pratiqué couramment et tout à fait légal. Au final non on ne design par des drogues spécialement pour les sportifs, ils se servent dans la même
pharmacie que tout le monde.
En quelque sorte. En gros quand un labo veut obtenir une autorisation de mise sur le marché il ne fait pas seulement pour une molécule mais en fait la molécule, la posologie, le type de patient et la condition ciblée. C’est que les autorités sanitaires autorisent explicitement. Maintenant un médecin peut à sa discrétion prescrire une molécule pour un autre dosage, type de patient ou condition que celle sur l’etiquette (d’ou le off-label), avec le consentement éclairé du patient. Exemple super fameux: le viagra.
[ Dernière édition du message le 21/02/2018 à 19:24:40 ]
Al1_24
2000
AFicionado·a
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45514Posté le 21/02/2018 à 19:27:53
Je viens de vérifier les préconisations du Propanolol, qui est un béta-bloquant, pour y découvrir qu'il pouvait aussi être prescrit "en prévision de manifestations à type de palpitations liées à une manifestation stressante transitoire (trac)". C'est nouveau, ça n'y était pas il y a une dizaine d'années, et pourtant ça fait bien longtemps que c'était l'un de ses usages. Exemple de "off label use" devenu officiel.