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Qu'est ce qui vous fait plaisir automatiquement?

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Sujet de la discussion Qu'est ce qui vous fait plaisir automatiquement?
En opposition au "Qu'est ce qui vous agace automatiquement?"... et en esperant ke ca a pas été deja fait... sinon je l'efface direct (>j'suis droit moi!)


je commence ?

- trouver un riff qui sonne térrible
- une jolie demoiselle qui te fait un sourire ds le métro...
- se faire une bonne déspé losrk'il fait bien chaud...
- se réveiller à coté de celle (celui) k'on aime
- être vendredi soir

voilou
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54521
failli lire capitaine caverne.....:facepalm:

Tant de bêtises concentrées dans de si petits êtres...

FELD

CHOC WAVE

CHOC WAVE

Clip Sonichou On Love You

54522
Citation de Didrop :
failli lire capitaine caverne.....:facepalm:

pareil :facepalm:

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze  .  Clip SONIC ON LOVE YOU

EcEcoutez Sonic "On Love You"

54523
Les Compagnons c'est très exigeant, au-delà de l'exigence d'excellence c'est tout un mode de vie, une philosophie. Il faut vraiment être sûr de son choix.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

54524
Exactement, c'est bien en cela que je dis que c'est la plus belle école du monde. Elle enseigne bien plus que de simples techniques de travail. Elle façonne toute une vie de travail.

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze  .  Clip SONIC ON LOVE YOU

EcEcoutez Sonic "On Love You"

54525
Citation :
Il faut vraiment être sûr de son choix

D'après mon pote qui est maître d'apprentissage chez les compagnons, le taux d'élèves qui accèdent au compagnonnage reste constant.
Mon ex-gendre qui n'a pas été au bout a quand même de l'or dans les mains et d'ailleurs gagne remarquablement sa vie pour un "travailleur manuel".
Ne pas s'engager à la légère, certes, mais si on lâche au bout de quelques années, celles-ci n'auront tout de même pas été vaines.

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* * * * ===========  Le Festival Interceltique de Lorient 

================ en tout confort avec un Home-Studio

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54526
Oui bien-sûr l'expérience sera conservée quoi qu'il en soit.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

54527
Pareil, j'ai une connaissance qui les a quittés – pour un mode de vie bien plus radical – mais qui y a appris beaucoup et en a toujours parlé avec respect bien qu'il soit un virulent critique du monde du travail, de la société et de la civilisation.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 13:07:32 ]

54528
Plaizauto

Deux concerts en deux jours avec mon groupe de jazzeux swing, vendredi et samedi (oui, là c'était la fete de la musique mais ça faisait des années qu'on ne la faisait plus avec mon groupe de rock).
On a fait guincher plein de gens et ça c'est encore plus cool !
Un peu crevé tout de même le lendemain :mrg:

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54529
J'ai fait samedi ma meilleur fête de la musique depuis très longtemps, peut-être ma meilleure fête de la musique tout court.

Récit à venir.

En attendant, un petit article extrait de courrier international :

Citation :
Vu d’Australie. Non, les Français ne sont pas “juste des Italiens de mauvaise humeur”
De passage à Paris et en Italie, l’écrivain australien Roby D’Ottavi s’est confronté aux stéréotypes à l’égard des Français. Mais contrairement à ses craintes, ces derniers se sont avérés sympathiques, particulièrement les jeunes, “plus ouverts” et “inclusifs” que leurs aînés. À l’inverse, il a trouvé les Italiens rencontrés lors de son voyage beaucoup moins accueillants.

Quand vous pensez à la France, vous pensez à quoi exactement ? À l’arrogance ? Aux croissants ? Peut-être à Gainsbourg et à sa cigarette. Moi, je pense à Owen Wilson qui marche le long de la Seine*. Il faut dire que je regardais Midnight in Paris [film de Woody Allen sorti en 2011] à 16 ans, au lieu de sortir et de faire ce que font les adolescents normaux : se bourrer la gueule et vomir sur le canapé du copain.

Peut-être pensez-vous à ce côté dédaigneux qui a longtemps été associé aux Parisiens. Emily in Paris, la série qui a cartonné sur Netflix, a donné à fond dans ce cliché, au point que l’un des personnages de la troisième saison affirme :
Les Français sont juste des Italiens de mauvaise humeur.”

Lors d’un récent voyage en France et en Italie, deux pays que je visitais pour la première fois, j’étais curieux de voir si cette affirmation était vraie. Je suis arrivé à Paris plein de préjugés, convaincu que les Français seraient distants et allergiques aux touristes. Ma compagne et moi, nous nous attendions à être raillés pour nos tentatives de commander des cafés, notre recours excessif aux tote bags et nos chaussures de sport démodées. Au lieu de cela, nous avons eu droit au “bonjour” le plus cordial que j’aie jamais entendu.

Une jeunesse ouverte à la diversité
Cela s’est produit dans une boutique chic, très au-dessus de nos moyens. Et pourtant, l’assistante commerciale* a été incroyablement gentille. Elle nous a aidés à trouver quelque chose dans notre budget (un porte-clés) et a complimenté mon amie pour sa veste, lui demandant si elle était vintage (ce qu’elle était).

Dans le métro, le moment était enfin venu de rencontrer les sinistres Parisiens qui vous poussent et vous bousculent… Eh bien, non. Même au sommet du Printemps, sublime grand magasin, je me suis dit que ma compagne et moi avions vraiment l’air de touristes, à photographier nos cafés et la tour Eiffel. Au lieu de cela, un Parisien nous a simplement dit : “C’est une belle vue, hein ?

Juste à côté de notre hôtel du IXe arrondissement, il y avait un bar tenu par un monsieur nommé Robert. Je ne comprenais pas pourquoi il était si gentil. Ma petite amie m’a soufflé : “Tes cheveux ressemblent beaucoup à ceux de [l’acteur irlandais] Paul Mescal, ces temps-ci… Il te prend peut-être pour lui ?” Le gérant nous a fait visiter son bistrot, nous a montré la cuisine, nous a proposé des shots tout en bavardant avec nous, comme si nous étions non seulement des Parisiens, mais des amis (ou comme disent les Français, des potos**). Il était dans cet état d’esprit longtemps avant que je ne lui dise que je m’appelais aussi Robert. Une révélation qui, vous l’imaginez, méritait qu’on trinque une nouvelle fois.

Je l’ai interrogé sur le stéréotype qui veut que les Français soient des “Italiens de mauvaise humeur”. Robert n’en était pas étonné, mais remarquait que ce défaut social était “en voie de résolution” grâce aux jeunes Parisiens. Pour lui, le vieux stéréotype français correspondait à des générations plus âgées, plus “conservatrices”. Il employait des gens qui n’étaient pas nés à Paris, et encore moins en France. Le fait qu’ils aient grandi dans la diversité les rendait plus ouverts, plus inclusifs.

En Italie, une jeunesse déconsidérée
J’ai pu observer cette évolution dans le Quartier latin, portée au paroxysme. De l’autre côté de la Seine*, le Ve arrondissement est un patchwork de différentes cultures, toutes liées et interconnectées. On y trouve des pizzerias appartenant à des Italiens qui viennent de descendre du bateau et qui servent tous les types de porc qu’on trouve sous le soleil toscan, juste à côté d’une boutique de kebab halal. C’est un quartier fascinant, pas très différent de Sydney Road [grand axe commerçant], à Melbourne… Quoiqu’un peu plus beau, sans vouloir vous offenser.

Cette situation m’a fait penser au tronçon italien de notre voyage. Nous avons passé beaucoup de temps dans une petite ville des Marches, Ascoli Piceno. J’adore ce bourg, mais ses habitants m’ont rappelé davantage les Français stéréotypés que les vrais Français. À Ascoli, rien n’a changé, depuis peut-être les années 1970.

Si vous vivez sur place, vous êtes prioritaire. Vous obtenez les plus beaux morceaux de viande, les meilleurs services de santé, le meilleur expresso. Beaucoup de jeunes quittent Ascoli. Ils vont à Bologne, Milan, Modène ou Rome. Certains émigrent vers l’étranger. Je connais un ancien habitant qui travaille à Lygon Street [une rue de Melbourne où de nombreux Italiens se sont installés]. Mais il semblerait que cette petite ville des Marches soit assez contente de sa situation, tandis que les cultures évoluent et que la commune reste sur la touche. Le contraste était frappant. Paris est une ville qui a été redéfinie par sa jeunesse, tandis qu’en Italie la jeunesse est déconsidérée, tenue pour quantité négligeable et rapidement expédiée par bateau vers l’étranger.

Peut-être n’est-il pas juste de comparer une ville qui compte un peu plus de 45 000 habitants avec une métropole planétaire de 2,1 millions d’habitants [et près de 11 millions dans son unité urbaine]. En définitive, les stéréotypes sont très paresseux. En tant qu’Aussie [australien] à l’étranger, j’ai été en butte à mes propres stéréotypes. Les Australiens, ai-je appris, sont indéniablement détendus, excessivement familiers, obsédés par la bière et incapables de séjourner ailleurs que dans une auberge de jeunesse.

J’ai dû avoir l’air sacrément peu Aussie. Je n’aime même pas la bière.

* En français dans le texte.

** En français approximatif dans le texte.


Triple plaiz : une bonne image des Français (nous qui aimons tant nous fustiger) et un pan dans la face des boomers, des réacs et des racistes pour qui la jeunesse et les étrangers sont le naufrage de la France.

Au passage, cela me rappelle que dans mon voisinage :
- la quasi totalité des enfants et adolescents (forcément mal élevés, n'est-ce pas) me disent bonjour. Ceux, rares, qui ne le font pas spontanément me répondent gaiement quand je leur dit bonjour
- une grande partie des personnes "d'âge moyen" ne disent pas spontanément bonjour (sauf les voisins qu'on croise depuis des années), mais c'est exceptionnel qu'ils ne répondent pas à mon bonjour
- une bonne partie, voire la majorité des personnes âgées doit être sourde puisqu'elle ne répond jamais au "bonjour", même ceux qu'on croise depuis des années.

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54530
Témoignage intéressant qui redore un peu le blason des parisiens et de leur ville.

Citation :
En définitive, les stéréotypes sont très paresseux.


Les stéréotypes ont la vie dure, c'est cela que l'on dit on bon français monsieur :oops2: :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?