L'adresse email, c'était par tchat, mon collègue se trouvant dans un autre open-space... NB : bureaux parisiens typiques d'appartement aménagé en plusieurs open-spaces d'une dizaine de personne environ (ça dépend si on tasse des stagiaires dans un coin ou pas).
L'open space, c'est bien si c'est un petit open space, genre 10-20 personnes, qui bossent sur le même projet. tu peux afficher les infos aux murs, faire une réunion au milieu, te passer des infos. Mais à partir du moment où deux projets (ou deux parties distinctes d'un même projet) sont mélangés, là, c'est la merde.
Pour le gars qui participe à la conversation téléphonique, on le fait régulièrement. Quand on en a marre de répéter aux gens qu'ils ont des bureaux fermés (bande de chefs privilégiés) et des salles de réunions pour téléphoner, et qu'ils continuent à passer leurs appels au milieu de tout le monde. On braille "téléphone" dès que ça sonne, puis on réponds aux phrases ou on les répète. bref, une bonne équipe de champions.
au taf, j'ai été pris en photo à mon insu par un "collègue" d'un service différent du mien et mon supérieur hiérarchique (sans me dire qui a pris la photo) s'en est servit pour m'avertir verbalement;
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
Anonyme
65640
1999Posté le 06/06/2014 à 07:55:01
A priori et vite fait : à moins que sur la photo tu commettes un acte très grave et relevant de la loi pénale Française, ça fleure bon le jugement en ta faveur aux prud'hommes si t'avais des sanctions (autres qu'une avertissement verbal, qui n'a absolument aucune valeur légale).
En gros, combo violation de vie privée + dénonciation calomnieuse + sanction à l'emporte pièce sans motif valable.