Ouais, y a toujours des petits malins qui tentent leur chance mais à moins d'avoir un bateau très rapide (genre cata course-croisière capable d'avaler 400 milles par jour) et un système météo performant c'est jouer avec le feu.
Le plaisanciers font souvent le trip en deux temps : descente sur Madère, ou Canaries, ou Cap-Vert à la belle saison (l'été), et départ pour le Brésil ou les Antilles à partir de novembre.
Le convoyeurs professionnels quittent en général la France beaucoup plus tôt et ne font qu'une courte halte technique aux Canaries. Mais c'est bien souvent baston dans le golfe de Gascogne.