Enfin , disons que , soit je bois à haute dose et il se passe rien , soit je bois à TRES haute dose et là :
- soit je suis ultra hysterique et exuberant . Là , c'est marrant , je cours partout , je vais discuter avec tout le monde , je suis ecroulé de rire pour un rien , je me prends des patates apr un avocat fonsdé etc.
- soit c'est la depression . Mais genre , hard de chez hard . Style , grosse grosse boule dans la gorge et hyper conscience de tout ce qui merde dans ma vie .
Bref , dans un cas comme dans l'autre , je finis toujours par regretter les quelques verres en plus qui m'ont fait passer de la haute dose à la tres haute dose . Enfin , dans le deuxieme cas , je le regrette un peu plus , en fait ...
Heu , ha , sinon , pour revenir sur ce que tu disais , non , ca ne disparait pas forcement quand t'as cuvé . Tu le ressens moins violemment , peut être . Mais quelqu'un qui part en delire depressif parce qu'il est bourré , ne fait qu'exprimer des choses enfouies en lui quand il est sobre .
Zap >
Citation : shirow> Dis toi que c'est le meilleur rôle. Que tu ne peux éprouver que des regrets sur ce qui ne dépend pas de toi. Les regrets s'estompent avec le temps.
L'autre personne, si tant est qu'elle ait une conscience et du coeur, éprouve des remords. C'est elle qui décide, uniquement elle qui pourrait changer le cours des choses, elle qui se sent fautive de ne pouvoir t'apporter plus, etc. Les remords restent avec le temps. C'est usant.
Si je vais chez un osteopathe, j'y resterais trop longtemps. J'ai le dos en vrac, le poignet qui va couçi-couça, le cou qui est un noeud de nerfs…etc… Heureusement que je suis pas un nerveux pasque je suis sur que ce serait pire.
Ben moi je veux bien l'adresse du meilleur, mais j'espère qu'il a beaucoup de temps, parce que tout est à revoir: dos (lombaires, cervicales), épaules, poignets, chevilles, et surtout les genoux...