Quel moment d’émotion lorsqu’il raconte que, bien qu’il palpe plus de 10 fois le salaire de ses interlocuteurs, il a “su rester simple et garde dans son bureau un poster de Nadal.”
Ayant été responsable de groupe dans un gigantesque open space pour SFR, je confirme la totale véracité de ce qui y est marqué. ca m'a fait zarbi de lire ça, ça m'a replongé 15 ans en arrière.
- j'ai mal dormi,
- je suis malade,
- j'ai passé une journée au taf à n'absolument rien comprendre. J'ai même des doutes à savoir en quelle langue m'ont parlé mes collègues...
- en plus ce projet est grave à la bourre, grave de la merde et grave avec une ambiance pourrie,
- j'ai plus de voix. donc les entretiens téléphoniques que je devais faire, c'est loupé !
- répète en duo ce soir, parce que les autres membres de groupes ne se motivent pas. chouette. (alors que c'est eux qui ont voulu continuer quand on a proposé d’arrêter le groupe !)
- alerte à la pollution, et ces glandus de toulousains sont toujours seuls dans leur diesel pour faire moins de 2 kms,
- mon voisin fume des machins qui puent partout dans l'immeuble (mais si je descend lui dire, vu mon énervement actuel je me sert de sa clope pour lui crever les yeux),
- son gamin à la con crie et court et fait du bordel,
- mon autre voisin joue du jazz à la trompette.