Ces titres dans les médias :
« Les G&M’s », « Les Pirellis », « Les Contis »…
Non seulement ces gens se crèvent à la tâche pour des patrons qui se foutent d’eux, mais en plus les journalistes les baptisent du nom d’une entreprise dont ils ne partagent assurément pas les valeurs.
[ Dernière édition du message le 11/01/2018 à 16:30:50 ]
Anonyme
65640
86245Posté le 11/01/2018 à 19:02:56
A côté de ça, quand une affaire éclate chez un énorme annonceur, les médias n'hésitent pas à donenr un nom inexact : Orange devient France Telecom, Lactel devient Lactalis.
[ Dernière édition du message le 11/01/2018 à 20:40:48 ]
Al1_24
2026
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
86249Posté le 12/01/2018 à 00:29:06
Il me semblait que Orange et France-Telecom c'était comme SNCF et Réseau Ferré de France, un découpage réclamé par la Commission Européenne entre le service et le réseau, ce qui permet de faire circuler d'autres trains que ceux de la SNCF sur les lignes françaises et à Bouygues et consorts d'utiliser les fils de FT pour vendre leurs services (Idem électricité et gaz)
Chaque opérateur est propriétaire de son réseau. Il se trouve qu'Orange, en tant qu'opérateur historique et ancien monopole, est propriétaire de la boucle locale (le dernier km de câble entre le répartiteur et chez toi). Il est tenu de la louer aux autres opérateurs à un tarif régulé.
Ce n'est pas un réseau public comme pour le transport d'électricité ou de trains.