Sujet de la discussionPosté le 07/01/2015 à 21:29:32Charlie Hebdo 7 janvier 2015 - Paris 13 novembre 2015
Je ne trouve pas les mots...juste envie d'exprimer ma tristesse ici-même.
D'ailleurs j'ai une demande solennelle à faire aux responsables d'AF : mettre le logo du site en berne, un ruban noir, une marque, un signe de solidarité, ce que vous voulez mais quelque chose.
On vient assassiner mon enfance, mon présent, mon avenir?
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
Youtou> A part mon grand père et mon arrière grand mère, non. Grand père réfugié politique arrivé sans connaitre un mot de français ceci dit (), c'est dire si ça faisait partie des moeurs à l'époque.
Sinon, non. Enfin pas aussi flagrand quoi.
Par ex, j'ai un collègue qui buterait bien tout les arabes, sauf que finalement après discussion détaillée, sur les 12 qu'on a dans le service, y'en a plus que un qui doit mourir parce que "lui, il est gentil, donc,ça va" ou "elle est bonne, donc ça va". re-
Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.
Anonyme
65640
5980Posté le 10/03/2016 à 11:13:24
Ha ben c'est pas faux, en même temps ça illustre parfaitement la potentielle incompétence du secteur privé quant à assumer la gestion d'un secteur régalien comme la sécurité des citoyens.
Là ça parle de complot, parcequ'on veut pas voir la vérité en face : l'incompétence et le jmen foutisme a probablement couté la vie à des dizaines de personnes.
Dès le début, perso j'avais trouvé zarbi que les terroristes rentrent dans le bataclan comme dans un moulin, et jme suis souvenu de pas mal de boites et lieux de concerts parisiens absolument mal sécurisés.
Faut pas oublier que le même soir, des types ont tenté de rentrer dans le stade de France pour faire péter, mais n'ont pas pu, on pourrait croire que c'est de la malchance, mais nan, c'est juste un bête protocole de sécurité ultra basique qui a été appliqué à la lettre qui a été appliqué (ce soir là faut dire aussi qu'il y avait Hollande et Merkel présents), avec intervention de la force publique française pour superviser les protocoles.