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Futurs débutants en electronique, qu'est-ce qui vous freine ?

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Sujet de la discussion Futurs débutants en electronique, qu'est-ce qui vous freine ?
Bonjour à tous,

ce message s'adresse avant tout aux "vrais" débutants, ceux qui n'ont jamais touché à l'électronique et qui souhaiteraient s'y mettre.

J'ai un projet que je ne peux pas développer en détail ici par respect envers la charte AudioFanzine, mais ça ne m'empêche pas de poser quelques questions à vous, futurs bricoleurs en puissance.

Mon projet, purement à destination des débutants, est "critiqué" sur un point qui me gêne un peu : on me dit que plus personne ne bricole de nos jours. Ce n'est pas le sentiment que j'ai, au travers des nombreux échanges que je peux voir sur le site AudioFanzine et dans les courriers que je reçois chaque jour.

Je suis bien d'accord sur le fait que le pécule mensuel, non extensible, doit être partagé entre nécessités quotidiennes réelles et divers abonnements de "loisir" (TV, téléphone, etc). Mais cela est-il une raison valable pour dire qu'on ne peut pas se lancer dans l'électronique ?

Je souhaiterais recueillir vos avis sur la question, et notamment sur ce qui vous freine :
- manque d'argent (les montages de base reviennent à quelques euros) ?
- peur de ne pas y arriver (tout cela à l'air si complexe) ?
- manque d'informations sur le strict nécessaire pour pouvoir commencer ?
- peur de se bruler ?
- autres ?

Par avance, merci à ceux qui répondront à ce message, en argumentant la ou les raisons principales qui les empêchent de se lancer pour de bon.

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Hors sujet : Mais d'un autre coté un "professionnel" doit être capable de trouver une solution même quand il n'y a pas d'instrumentation dédié.



Je pense que c'est relativement faux. Professionnel ou pas, il y a des outils pour faire des mesures. Si on les a pas, on peut juste avoir une idée du truc, mais on peut pas faire des miracles.
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Perso j'aimerais bien me lancer – un p'tit monome maison, une pédale, ce genre de chose.
La théorie n'est pas un problème, en tout cas de ce que j'ai vu. Les lois physique ne sont pas ultra complexe à ce niveau, et les lois logique encore moins.
Le temps, mon dieu, les journées sont longues – et les projets qui m'intéresse assez limité.

Par contre les finances ne peuvent pas suivre. Fer à souder, testeur, composant... Je ne parle même pas d'un oscilloscope ou ce genre d'outil qui peuvent être aussi utile. Alors effectivement ce sont des outils qu'on ne va pas racheter tout les jours, mais l'investissement de base est vraiment trop élevé (actuellement) pour moi.
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Citation : les finances ne peuvent pas suivre. Fer à souder, testeur, composant... Je ne parle même pas d'un oscilloscope ou ce genre d'outil qui peuvent être aussi utile. Alors effectivement ce sont des outils qu'on ne va pas racheter tout les jours, mais l'investissement de base est vraiment trop élevé (actuellement) pour moi.

Le fer à souder n'est pas facile à faire soi-même, ni l'oscilloscope, c'est vrai. Mais un petit générateur BF, un petit ampli BF, un petit testeur de transistors, une petite alim ajustable, sont faciles à réaliser et bien utiles. Quant aux composants, il ne faut pas hésiter à faire de la récup sur de vieux postes radio ou des jouets HS (même des récents à bas coût utilisent encore des composants traditionnels et peu de CMS).

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Un petit truc en passant. J'ai un fer a soudé 30 watts (trop élevé pour de l'électronique). J'ai mit un variateur pour lumière et me voila propriétaire d'un fer à température variable pour quelque $ca.
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Merci pour l'astuce :clin:
Une autre solution consiste à intégrer dans le fer, une diode de puissance en série avec le 230 V, qui ne laisse passer qu'une alternance sur deux. La puissance moyenne du fer passe ainsi à 15 W, et avec un petit inter câblé en parallèle sur la diode pour la court-circuiter, on peut revenir aux 30 W quand nécessaire.

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Hé, j'ai récupéré chez mes voisins un fer Weller WECP-20 et un oscillo Tektronix 464 ! :8O: :aime:

Bon, l'oscillo est bien bien vieux, mais j'ai quand même réussi à visualiser le signal du test-tone de mon cable tester (qui n'est pas du tout sinusoidal ni carré, si j'ai bien tout réglé) ! Mais cela n'aura pas été sans mal : j'ai surtout visualisé du rayonnement parasite 50Hz au début ! :mdr:

Me voila paré ! :mdr: :boire:
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Regardes plus du côté de la sonde que de l'oscillo dans ton cas je pense. Une bonne sonde ne coute pas trop cher en plus il me semble.
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Bah, justement, des sondes, il y en avait plein, certaines avec rien au niveau du connecteur coaxial, d'autres avec un gros cylindre ou gros cube avec des trucs écrits du genre '300MHz 30pF', certaines avec une pince croco pour la masse, et d'autres non...

Pour du BF/Audio, je suppose que toutes celles avec le gros bloc ne sont pas adaptées...
La sonde qui va bien, c'est quoi ? Une toute simple, connecteur coax à un bout, pointe de touche/crochet à l'autre bout, et une pince croco pour la masse (ou pas?) ?
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Déjà avec une petite pince de mise à la masse en bon état. Après, bloc ou pas, ça ne veut pas dire grand chose sans spécifications.
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Tout dépend de l'endroit où tu fais ta mesure. S'il s'agit d'un point "peu sensible" (impédance faible ou moyenne), la sonde ne sert alors que de pointe de touche, si tu la place en position 1:1. S'il s'agit d'un point "sensible" (impédance élevée, oscillateur à FET ou autre du genre), mieux vaut passer en mode 10:1 pour bénéficier de l'impédance max du système de mesure "oscillo + sonde". Dans ce deuxième cas, il est important de calibrer la sonde si elle dispose d'un réglage (à faire avec un générateur de signal carré, parfois intégré à l'oscilloscope avec sortie dispo sous forme d'un petit contact assez discret).

Sinon, sans plus de détails concernant ces sondes, on ne peut pas trop dire.

Voici donc une nouvelle interrogation de "débutant déjà bien équipé".
Merci :bravo:

Sens-tu le frein se relacher ?

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Hors sujet : je passe en HS pour ne pas pourrir plus longtemps le thread !

c'est ça les sondes avec "bloc" : http://toronto.en.craigslist.ca/tor/bfs/1105565942.html



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Citation : Tout dépend de l'endroit où tu fais ta mesure. S'il s'agit d'un point "peu sensible" (impédance faible ou moyenne), la sonde ne sert alors que de pointe de touche, si tu la place en position 1:1. S'il s'agit d'un point "sensible" (impédance élevée, oscillateur à FET ou autre du genre), mieux vaut passer en mode 10:1 pour bénéficier de l'impédance max du système de mesure "oscillo + sonde". Dans ce deuxième cas, il est important de calibrer la sonde si elle dispose d'un réglage (à faire avec un générateur de signal carré, parfois intégré à l'oscilloscope avec sortie dispo sous forme d'un petit contact assez discret).



alors, on va voir si j'ai compris ou je suis à la masse :clin:

sur un point peu sensible d'impédance faible, l'impédance, disons moyennement élevée de l'oscillo, fait que celui-ci ne va pas "pomper" trop de courant au circuit, et donc la mesure ne pas va trop perturber le fonctionnement de celui-ci...

sur un point à impédance élevée, l'impédance de l'oscillo va faire que le courant va aller aussi bien voire plus volontiers dans le système de mesure que dans le circuit, d'où perturbations...Avec les sondes "spéciales", on augmente et on maximise l'impédance du système de mesure pour éviter que celui-ci ne soit trop gourmand en courant (en tension ?)

dites-moi que c'est ça ! :mdr:
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Je vais répondre brièvement et si cela nécessite de plus amples explications, je suggère d'ouvrir un nouveau sujet.

L'impédance d'entrée de l'appareil de mesure doit être aussi élevée que possible pour prélever le minimum de courant au point mesuré et pour perturber le moins possible le circuit sous mesure. A la base, l'impédance d'entrée d'un oscilloscope est voisine de 1 M0, ce qui est assez elevé et suffisant pour la majorité des cas.

Une sonde 10:1 possède en interne une résistance série de 9 M0 qui couplée à l'impédance d'entrée de 1 M0 de l'oscillo, forme une impédance globale de 10 MO et apporte une atténuation en tension de 10 : on ne récupère à l'entrée de l'oscillo que le dizième de la tension réellement présente au point de mesure. En mode 10:1, un signal affiché à l'écran de 100 mV d'amplitude crête à crête correspond à un signal réel de 1 V crête à crête.

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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D'autres (futurs ou actuels) bricoleurs auraient-ils quelques mots à ajouter ? :clin:

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Oui moi ! :mdr:

- cela a un rapport avec la méfiance vis à vis du bricolage électronique et de ses dangers si souvent soulevés qu'on en vient à avoir peur de prendre une capa neuve sortie de sa boite dans les mains :mdr: : comment décharger des capas de puissance pour éviter de se retrouver en orbite ?
(ceci illustre la peur de l'accident)

- dans le même ordre d'idée : j'ai des alims de PC inutilisées...On trouve sur le net des astuces de transformation en similis alims de labo : valable ? ou bidon ? voire dangereux ?
(ceci illustre le problème de la fiabilité des sources)

- concernant la jungle des références : j'ai récupéré chez mon voisin des centaines (milliers?) de circuits intégrés...où et comment puis-je trouver à quoi ils servent ?
(ceci illustre l'impression qu'on a affaire à quelque chose de tellement vaste qu'on en verra jamais le bout alors autant ne pas commencer : le découragement avant même de s'y mettre !)


Question à la cantonade :
des threads
-"du bon usage de l'oscillo en électronique audio"
-"du bon usage du générateur BF en électronique audio"
avec les histoires d'impédances, de niveau de signal à injecter en fonction du montage (ligne, HP, micro, micro guitare)

cela aurait un intérêt de les démarrer ?
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Bonsoir, je repondrais juste a deux de tes questions, concernant les capa et les CI

mon prof d'elec m'a toujours dit qu'un condo, quelqu'il soit, se decgarge toujours en court-circuitant le dipole...

pour les CI, essaye de chercher leur equivalence chez Farnell ou RadioSpares... c'est souvent ce qu je fait...
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Pour les composants classiques:
http://datasheetcatalog.com/
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Bonjour lohworm,

merci pour ton message, qui résume bien plusieurs peurs qui s'accumulent "en même temps".

Citation : méfiance vis à vis du bricolage électronique et de ses dangers si souvent soulevés qu'on en vient à avoir peur de prendre une capa neuve sortie de sa boite dans les mains : comment décharger des capas de puissance pour éviter de se retrouver en orbite ?
(ceci illustre la peur de l'accident)

La réponse a déjà été donnée, et je confirme : en court-circuitant les deux bornes du composant. Cela parait toujours un peu "cavalier" de faire ça aussi brutalement, et on peut avoir le sentiment que le courant de court-circuit va être fatal au condensateur, ce qui peut laisser penser qu'il vaut mieux utiliser une résistance de faible valeur (quelques ohms) plutôt qu'une résistance de très très faible valeur (court-circuit par fil). Pourtant, un condensateur déchargé se comporte comme un court-circuit quand on lui envoie le jus, et le courant est alors... celui de court-circuit de l'alimentation, qui certes est limité bien que très élevé (limitation par la résistance d'un secondaire de transfo et par la résistance série de la ou des diodes de redressement, par exemple). Il est vrai aussi que le courant de court-circuit du condensateur, lors de sa décharge brutale, peut être plus intense que celui de court-circuit de l'alim. Par le passé, je travaillais sur des émetteur TV à tube de forte puissance (10 KW). Lorsqu'il fallait ouvrir l'engin pour travailler dedans, la première chose à faire était de mettre à la terre certaines parties accessibles de l'utilisateur, et de décharger les condos (plus gros que moi mais un peu moins haut tout de même) avec une perche métallique reliée à la masse / terre par une tresse de cuivre digne de ce nom. Ca faisait un beau flash (quelques milliers de volts sous quelques bonnes dizaines d'ampères) et cela avait l'avantage de nous réconforter, car "on voyait le courant s'en aller". La première fois ça surprend car on "range" ce genre de comportement dans la case des "dangers", mais une fois qu'on sait que c'est ce qu'il faut faire, moins de peur.

Citation : alims de PC inutilisées...On trouve sur le net des astuces de transformation en similis alims de labo : valable ? ou bidon ? voire dangereux ?
(ceci illustre le problème de la fiabilité des sources)

C'est très dangeureux si on ne sait pas ce qu'on fait et que l'on suit un mode d'emploi mal expliqué. Si tout est fait dans les règles de l'art, ça peut passer. Pour ma part, je déconseille très vivement ce genre de manip aux débutants, voire même en général à ceux qui n'ont pas d'expérience dans les alimentations à découpage. Ce type d'alim a en effet de grandes réserves d'énergie, et le risque d'explosion existe, malgré les protections mises en place. Je connais un spécialiste d'alim à découpage chez Thales qui me disait qu'il ne fallait pas modifier ni tenter de réparer des alims à découpage dès que la capacité en courant était supérieure à 10 A (valeur nominale). A moins d'être un expert dans le domaine.

Citation : jungle des références : j'ai récupéré chez mon voisin des centaines (milliers?) de circuits intégrés...où et comment puis-je trouver à quoi ils servent ?
(ceci illustre l'impression qu'on a affaire à quelque chose de tellement vaste qu'on en verra jamais le bout alors autant ne pas commencer : le découragement avant même de s'y mettre !)

Là, je vais parler en pleine connaissance de cause. J'ai moi aussi eu l'occasion de récupérer des tas de composants dans ma vie. Dont plein dont je n'avais aucune idée du type ni du rôle. J'ai fait plein de recherches, à l'époque dans des livres que l'on me prêtait, j'avais cette chance; aujourd'hui c'est par internet pour la majorité des références (on a parfois du mal avec les vieux composants, dont la documentation papier n'est pas encore numérisée). A chaque fois que je découvrais le rôle d'un composant, je me disais "Génial, je peux faire ça avec !". A force, je cherchais volontairement le descriptif de pleins de circuits juste pour voir ce que je pourrais faire avec. Et cela a développé en moi une certaine capacité à concevoir des circuits, car à force, on entrevoit les composants qui peuvent être mis "bout à bout".

Citation : Question à la cantonade :
des threads
-"du bon usage de l'oscillo en électronique audio"
-"du bon usage du générateur BF en électronique audio"
avec les histoires d'impédances, de niveau de signal à injecter en fonction du montage (ligne, HP, micro, micro guitare)
cela aurait un intérêt de les démarrer ?

S'il y a au moins un demandeur, oui.

Hors sujet : La raison de ce post est toujours celle que je ne décris pas trop dans mon premier message. Mais je peux dire que cela commence à porter ses fruits, et je ne peux que vous encourager encore à faire part ici de vos craintes et questionnements divers.

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Salut à tous,

Ma plus grande frustration aujourd'hui c'est de rester impuissant devant un appareil en panne.
Avant, on pouvait encore chercher le composant défectueux et faire une réparation pour pas cher. Aujourd'hui, la plupart des appareils (DVD, CD, TV, Console DMX,...)sont construit autour d'un gros "chip" programmé en usine qui fait tout.
Je ne saurais décrire mon sentiment devant un PCB rempli de CMS :((( , allez donc faire une intervention sur ce genre de composant avec une panne de fer à souder grosse comme un piquet :8O: et sans loupe!
Quand à l'élaboration d'un projet, on se heurte vite au prix des technologies (outils de CAO, instrumentation,programmateur,...).
La réalisation d'un circuit artisanal ou en petite série coûte relativement cher auprès des fabricants. Et la qualité de l'appareil s'en ressent.
Exclus les soudures a la vague ou la refusion même si un magazine bien connu offre une solution "amateur" (averti quand mëme).
Ce qui me motive encore un peu aujourd'hui, c'est le plaisir de la réalisation et pas l'économie possible sur un appareil de grande série du commerce. Ce temps là est révolu je pense.
Les bons vieux "vintage" restent une source de plaisir malgré tout :clin:
Cordialement
AL1
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Merci pour tes avis, Al1r.
J'adhère pour la plupart des points (pour le dépannage d'appareils récents, même les pros des "petits" quartiers ont jeté l'éponge), mais je pense que l'on peut encore de nos jours, faire pas mal de choses interressantes et pas seulement dans le vintage. Profitons de l'existence des magasins sur rue ou en ligne, tant qu'ils ne proposent pas que des CMS (ce qui a mon avis ne risque pas d'arriver comme ça).

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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Bonjour a tous,
Moi aussi je "bricole",mais mon principal frein aujourd'hui est le temps!
Le temps de s'y pencher car je n'ai pas les connaissances suffisantes alors je tatonne...
J'ai moi aussi commencé tres tot sans aucune connaissances et c'est en regardant et en tripotant que j'ai commencé a comprendre un peu...
Ensuite, électricien,travaillant sur machine "a la vague",et disposant d'un énorme stock de pièces (ancienne entreprise d'électronique) je me suis de plus en plus interressé et réalisé des montages plus complexes mais le manque de connaissances,d'outils(pas d'oscilo),et surtout de temps ne m'ont pas permis d'aller plus loin...
Je ressort de temps en temps des appareils en panne que je conserve pour pièces et me repenche dessus pour voir si j'aurais pas une nouvelle idée...des fois ça marche...
J'espère avoir bientot plus de temps...
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Bonjujr brikabrak,

merci pour ton point de vue.

Bonne idée que d'avoir conservé ton stock de composants, je pense que tu en découvriras toutes les richesses cachées quand le temps te sera livré avec générosité.

Formateur en techniques sonores ; électronicien ; auteur @ sonelec-musique.com

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up !

alors ce projet ?

j'ai une BOSS PH-1 à réparer !!
Et une DD-3 !!
Et une DSD-2 !!
Et...

[ Dernière édition du message le 24/12/2009 à 18:11:55 ]

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Ce qui me freine c'est le fait de devoir souder. Pour moi l'idéal serait de pouvoir faire des montages sans toucher une seule fois un fer à souder.
Je viens d'ailleurs de m'y mettre : un micro electret, une résistance, un condensateur, un bornier, une pile 9V, un vieux fil RCA et j'ai un micro statique à deux balles. Pour ce montage j'ai quand même essayé de souder le micro electret à des fils mais je l'ai cramé... Raté. Heureusement que j'en avait un deuxième...

En fait je me sens de me mettre aux divers montages que je vois à droit et à gauche (le plus simples dans un premier temps). Mais je recherche  une approche "lego" : pouvoir rapidement et facilement réaliser un montage, pouvoir le modifier et le débuguer facilement. Et une fois satisfait j'aimerais pouvoir l'utiliser tel quel sans être obligé de passer par la case soudure. Donc une philo autour des borniers, des breadboards, etc.

Pourquoi pas de soudure  ? Parce que je n'y arrive pas, parce que je manque de pratique et par ce que je n'ai pas eut l'envie (pour l'instant...) de passer du temps à apprendre.

En résumé : j'aimerais apprendre et faire de l'électronique sans soudure. Heuu... Je suis peut-être un peu exigeant, là, non ?

En tout cas j'aimerais continuer dans cette direction. D'ailleurs si des gens on des pistes je suis preneur.
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Citation :
Pour moi l'idéal serait de pouvoir faire des montages sans toucher une seule fois un fer à souder.

http://blog.makezine.com/bbb_breadboard1.jpg

Citation :
Mais je recherche  une approche "lego"

Ca l'existe aussi!!