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Les conneries on stage

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Sujet de la discussion Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense :lol: ...
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"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

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C'est vendu comme étant une arme secrète pour les golfeurs, tennismen, musiciens ... et aussi ceux qui ont des douleurs dans le poignet a force passer trop de temps sur un ordi (la tendinite de la souris), à cause des joies de la vieillesse ou de la masturbation compulsive (ah tiens, ils ne le disent pas dans la pub)
Ca fait un peu babiole de télé achat mais ça doit être efficace si on prends le temps.
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Et c'est très rigolo comme machin, par contre ça fait sacrément chauffer l'avant bras, on joue pas avec pendant une heure :bravo:
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10 min en fin de concert, ça devrait passer avec un peu d'entrainement :)

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

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Petite COS gentillette du weekend :
tout à l'heure, concert privé avec mon ancien et premier groupe de rock "grunge/garage/punk/pains&décibels" reformé pour l'occasion d'un mariage.
Le batteur est situé juste à coté de moi, en fond de scène.
Au millieu du set, il bûcheronne tellement à grand gestes, qu'une de ses baguettes se prend dans le cordon reliant ses bouchons d'oreilles.
Surpris, il en perd sa baguette. Il la récupère péniblement en essayant de continuer continuer à peu près à jouer.
Dès qu'il arrive à la chopper il reprend de plus belle, sauf que le cordon et ses bouchons sont resté enroulés autour, et dès qu'il recommence à jouer ça se prend aussi dans sa deuxième baguette.
Et voilà mon batteur en pleine panique, à essayer de démêler ce merdier tout en essayant de jouer ... le tout sous mon regard hilare, bien évidemment :-D
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Mini COS d'hier soir :
On recevait hier des chanteurs/musiciens qui jouaient accompagnés par des bandes sons. Tout se passe bien depuis environ une heure et les morceaux s'enchainent sans souci (si ce n'est une boucle lancée qui n'est pas la bonne et le guitariste qui casse une corde sur le morceau sur lequel il joue tous les grands riffs de guitare des années 80).
Sur un des morceaux, je vois un des claviéristes qui donne tout sur son clavier. Je regarde ma console et je vois que rien ne rentre dans ses tranches. J'appelle mon collègue au plateau et je lui dis : "Va voir le clavier de Thierry, il y a un souci : j'ai plus de son".
Le gars se déplace, va discrètement vérifier au sol les DI, vérifie que le clavier est toujours alimenté, et puis il se relève et voit que le volume du piano est au minimum (le musicien lui, est toujours à fond sur ses touches). Il s'apprête alors à le remonter et le gars lui bloque la main et lui dit que c'est normal et qu'il joue en playback sur ce morceau.
Ah bah oui en effet alors c'est normal que rien ne rentre à la console... :oops2:

.:MonSoundCloud:.

 

Le Seigneur des Marteaux
"Un marteau pour les aplatir tous."

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 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

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Les 2 c.o.s. précédentes : :bravo:


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Me fait penser qu'à mes débuts, je jouais mon modeste-mini-répertoire-de-première-partie dans des restaus-spectacle, parfois à même-le-sol (sans proscenium) et avec pour tout orchestre euh... bah une guitare, point.


Ma première chanson démarrait en arpèges et au bout de 2 couplets je sortais le médiator dans le temps... et ça allait ainsi crescendo jusqu'à la coda.

Al coda, mes battements frénétiques s'interrompaient net et je lâchais alors mon médiator (en le laissant volontairement tomber au sol : pas le temps de le remettre en poche) afin de reprendre mes dernières secondes en arpèges et conclure ainsi mon impérissable chef-d'oeuvre...


Eh bien j'ai vite dû mettre fin à mon prodigieux effet scénique en me rendant compte, soir après soir, qu'il y avait toujours quelqu'un des premières tables pour venir me ramasser gentiment mon médiator et me le tendre pendant que moi, j'achevais ma chanson...

Ces braves gens, croyant bien faire, me coupaient évidemment du même-coup la lumière de l'unique poursuite du restau... en me foirant invariablement ma si chère coda :bravo:

[ Dernière édition du message le 21/05/2017 à 08:56:06 ]

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