Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
IK Multimedia Amplitube 3
Photos
1/16

Test d'Amplitube 3 d'IK Multimedia

Test écrit
53 réactions
Amplitube riffera trois fois

IK Multimedia fut l’un des pionniers, avec Revalver, dans la simulation logicielle d’ampli de guitare avec leur fameux Amplitube, sorti initialement en 2002. Les Italiens reviennent huit ans plus tard avec une troisième mouture de leur produit phare. Alors, quoi de neuf ?

Depuis main­te­nant huit ans, les éditeurs de simu­la­teurs d’am­plis logi­ciels se livrent une guerre ouverte, en propo­sant toujours plus de modé­li­sa­tions, des nouvelles inter­faces graphiques, des nouveaux algo­rithmes et bien sûr de nouvelles fonc­tion­na­li­tés. Les avan­tages d’un simu­la­teur d’am­pli logi­ciel sont nombreux (prises silen­cieuses, ream­ping, panel de sons énorme, etc.), et beau­coup de guita­ristes et home studistes en ont adopté un ou songent sérieu­se­ment à sortir la carte bleue. Alors que propose cette troi­sième version d’Am­pli­tube pour sortir du lot ? C’est ce que nous allons voir dans cette revue détaillée…

 

Même plus besoin de sortir de chez soi

 

Amplitube 3
Première bonne nouvelle pour les gros flem­mards : le logi­ciel est entiè­re­ment télé­char­geable depuis le site d’IK Multi­me­dia, plus besoin de mettre le nez dehors afin de faire joujou immé­dia­te­ment avec son précieux. Il faudra débour­ser pour cela la somme de 269,99€, ce qui semble un peu cher, ses concur­rents étant géné­ra­le­ment sous la barre des 200€ (179€ pour Guitar Rig 4, 189€ pour Reval­ver). Ampli­tube 3 part donc avec un handi­cap, mais espé­rons qu’il justi­fie cette diffé­rence de prix par une supé­rio­rité sono­re…

Le logi­ciel s’ins­talle donc sans encombre après télé­char­ge­ment, sous Mac ou Windows, et l’in­ter­face montre le bout de ses pixels au bout de quelques secondes. La première étape est de confi­gu­rer le logi­ciel en lui indiquant l’in­ter­face audio et MIDI que l’on voudra utili­ser, pour ensuite régler la taille du buffer, ou mémoire tampon, qui aura un impact direct sur la latence d’Am­pli­tube. Si la taille du buffer est petite (infé­rieure ou égale à 256 échan­tillons), la latence (temps entre le son entrant dans votre carte son et le son sortant de vos enceintes) sera faible, voire imper­cep­tible, mais votre ordi­na­teur devra suppor­ter une charge plus impor­tante et le son pourra être altéré (craque­ments audio) si la puis­sance de calcul venait à manquer. À vous de trou­ver le bon compro­mis suivant votre confi­gu­ra­tion. Une fois que cela est réglé, il ne vous reste plus qu’à plon­ger dans l’in­ter­face graphique d’Am­pli­tube 3…

 

Par la fenêtre

 

Amplitube 3
L’in­ter­face graphique d’Am­pli­tube 3 se divise en cinq parties, avec tout en haut le bandeau permet­tant de char­ger rapi­de­ment un des presets, triés par amplis ou par style (clean, crunch, extrê­me…), ou encore d’ac­ti­ver le navi­ga­teur de presets, qui a l’avan­tage de four­nir une courte descrip­tion et d’in­diquer le carac­tère sonore et l’ins­tru­ment. À noter que le moteur de recherche fouine non seule­ment dans les noms des presets, mais aussi dans les descrip­tions et les carac­tères. Il sera ainsi aisé de filtrer tous les sons jazz ou métal… Une bonne chose pour retrou­ver rapi­de­ment les presets pouvant poten­tiel­le­ment nous inté­res­ser. On pourra bien évidem­ment sauver ses propres réglages, et les effa­cer par la suite. On notera aussi la présence de X-Change, permet­tant de parta­ger ses presets avec le monde entier, vous y trou­ve­rez peut-être des sons inté­res­sants, qui sait ?

Le logi­ciel propose trois modes de qualité : hi, mid et eco, du plus gour­mand en terme de ressources au plus léger. Cela permet­tra de soula­ger votre machine si vos presets utilisent beau­coup d’ef­fets simul­ta­né­ment. La qualité audio dimi­nue légè­re­ment avec les modes mid et eco, mais rien de drama­tique et le logi­ciel reste tout à fait utili­sable. À titre d’exemple, un preset occu­pant 25% de ressources proces­seur en mode hi, redes­cends à 19% en mode mid et à 11% en mode eco ! Ce n’est donc pas négli­geable sur les petites confi­gu­ra­tions ou sur les sessions utili­sant plusieurs instances du logi­ciel simul­ta­né­ment.

Enfin, il sera possible de sélec­tion­ner le contrô­leur Stom­pIO (799€) ou Steal­th­Pe­dal (199€) d’IK multi­me­dia si jamais l’uti­li­sa­teur a la chance d’en avoir un.

 

Amplitube 3
Juste en dessous se situe la sélec­tion du chemi­ne­ment du signal. L’uti­li­sa­teur aura le choix entre huit chemins passant par les deux pedal boards, les deux amplis, les deux enceintes et enfin les deux racks d’ef­fets. On pourra par exemple chaî­ner deux pedal boards en série qui entre­ront dans une tête d’am­plis, qui ressor­tira dans deux enceintes diffé­rentes pour finir dans deux racks d’ef­fets. Le système n’est pas forcé­ment aussi intui­tif ni aussi complet que ce que propose un Guitar Rig, où il est possible de glis­ser / dépo­ser n’im­porte quel module à n’im­porte quel endroit, mais il convien­dra à la majo­rité des guita­ristes et a le mérite de rester simple et d’em­pê­cher l’uti­li­sa­teur de faire n’im­porte quoi (une fuzz en fin de chaine par exemple !). De plus, on pourra utili­ser deux circuits tota­le­ment sépa­rés afin de pouvoir utili­ser Ampli­tube 3 avec deux guitares. Chacune aura alors son propre pedal board, son ampli, son enceinte et son rack d’ef­fets, un très bon point !

En cliquant sur un des éléments présents dans le chemin du signal, on le fait appa­raître dans la partie prin­ci­pale de l’in­ter­face, située juste en dessous…

 

Pédales, amplis, enceintes et effets

 

On arrive ici au coeur du sujet, avec les quatre prin­ci­paux éléments qui consti­tue­ront le son du guita­riste : les pédales, les amplis, les enceintes et les effets en rack. On note aussi la présence d’un accor­deur assez précis, qui pourra au choix couper le son ou le lais­ser passer, et qui dispose d’une fréquence de réfé­rence allant de 425 à 455 Hz.

 

Amplitube 3
Mais commençons avec les deux pedal boards permet­tant de placer jusqu’à 12 pédales dans votre rig, à choi­sir parmi les 51 dispo­nibles (La liste est dispo­nible ici). Les pédales sont clas­sées en 9 caté­go­ries : Delay, Distor­sion, Dyna­mics, EQ, Filter, Fuzz, Modu­la­tion, Pitch et Other. Les plus grandes marques sont repré­sen­tées, avec Elec­tro-Harmo­nix, Ibanez, Marshall, et bien d’autres, la liste est longue et l’ont retrouve de quoi conten­ter la majo­rité des guita­ristes. Une fois les pédales choi­sies, il sera possible de les glis­ser / dépo­ser dans le pedal board virtuel et de chan­ger ainsi leur place très faci­le­ment. C’est une fonc­tion­na­lité que l’on attend depuis quelque temps et qui faisait défaut aux versions précé­dentes. En effet, l’em­pla­ce­ment des pédales dans la chaine d’ef­fets est primor­dial et deux confi­gu­ra­tions de mêmes pédales peuvent sonner tota­le­ment diffé­rem­ment ! À vous d’ex­pé­ri­men­ter. On pourra aussi les acti­ver / désac­ti­ver d’un simple clic et il est à noter que chaque potard pourra être assi­gné à n’im­porte quel contrô­leur MIDI grâce à la fonc­tion MIDI learn qui se révèle fort pratique.

Du côté des amplis, on retrouve pas moins de 31 modé­li­sa­tions (la liste est dispo­nible ici), clas­sées en 4 caté­go­ries (Clean, Crunch, Lead et Bass) avec une parti­cu­la­rité inté­res­sante : les étages de préam­pli­fi­ca­tion, égali­sa­tion et ampli­fi­ca­tion sont tota­le­ment indé­pen­dants pour certains modèles (les plus anciens). Ainsi, il sera possible de combi­ner le préam­pli d’un Fender Bass­man, avec l’éga­li­sa­tion d’un Marshall Plexi et l’am­pli­fi­ca­tion d’un Vox AC 30 ! Cela étend énor­mé­ment les possi­bi­li­tés, et les aven­tu­riers sonores qui aiment tour­ner des boutons des heures durant seront aux anges. Pour les frileux ou les puristes, un bouton « match » permet­tra de sélec­tion­ner auto­ma­tique­ment l’éga­li­seur et l’am­pli asso­ciés au préam­pli. Ainsi quand on sélec­tionne un préam­pli Marshall, on est certain d’avoir l’éga­li­seur et l’am­pli qui va avec. On retrouve donc dans la liste d’am­plis des modèles incon­tour­nables signés Marshall, Fender, Vox, Orange, Mesa Boogie, mais aussi des amplis custom signés IK Multi­me­dia. En bref, de quoi satis­faire le plus grand nombre. Chaque modé­li­sa­tion dispose de sa propre inter­face graphique et de ses propres réglages, ainsi on sait tout de suite à qui ont a affaire !

 

Amplitube 3
En ce qui concerne les enceintes, IK Multi­me­dia nous grati­fie de 46 modèles, du plus clas­sique, avec les bons vieux 4 × 12, au plus origi­nal, avec une cabine Leslie (la liste est dispo­nible ici) ! Le tout est classé par taille de haut-parleur : de 6 à 15 pouces pour les guitares et 10 à 15 pouces pour les basses. Il sera ensuite possible d’af­fi­ner la taille de l’en­ceinte grâce à un potard « size ».

On conti­nue avec les micros, au nombre de 15 : du dyna­mique, du statique et du ruban (la liste est dispo­nible ici). Il sera possible d’en placer deux devant la gamelle virtuelle, de les mixer à son goût, de les placer plus ou moins loin de l’en­ceinte, et de les désaxer par rapport au centre du haut-parleur. L’uti­li­sa­teur aura aussi le choix entre 5 pièces, du placard au hall, avec un réglage « width » permet­tant de contrô­ler l’es­pace entre les deux micros d’am­biance (appa­rem­ment des U47).

Enfin, on termine avec les 17 effets en racks, qui contrai­re­ment aux pédales, se placent après l’am­pli­fi­ca­teur. On retrouve des délais, des réverbes, des égali­seurs, des compres­seurs, des effets de modu­la­tion, des pitchs (dont un harmo­ni­seur), un swell (un auto volume) et un step slicer.

 

Sous la fenêtre des modules, on observe un potard permet­tant de régler le niveau d’en­trée, un noise gate muni de trois réglages (seuil, relâ­che­ment et profon­deur), un deuxième affi­chage plus petit pour l’ac­cor­deur et un potard pour le niveau de sortie. Suivant les modules sélec­tion­nés, on pourra aussi régler leur volume (pour les pédales et les amplis), les panner, et les dépha­ser (pour les enceintes).

Vous l’au­rez compris, les possi­bi­li­tés sonores offertes par Ampli­tube 3 donnent le vertige !

Passons main­te­nant à l’une des nouveau­tés de cette troi­sième mouture : l’en­re­gis­treur 4 pistes !

 

Un 4 pistes inté­gré

 

Amplitube 3
Cerise sur le pompon, Ampli­tube 3 intègre un 4 pistes permet­tant d’en­re­gis­trer ses idées direc­te­ment dans le logi­ciel. Situé tout en bas de l’in­ter­face, l’en­re­gis­treur se compose de deux parties : à gauche la biblio­thèque listant les fichiers enre­gis­trés ou impor­tés (le 4 pistes accepte les fichiers wav, aiff, sd2, apple caf, flac et mp3), et à droite le séquen­ceur. Chacune des quatre pistes dispose d’un sélec­teur d’en­trée (entrée 1, 2 ou les deux en stéréo), d’un bouton mute et solo et d’un autre pour armer la piste en enre­gis­tre­ment. Quatre faders permet­tront de faire varier le tempo (pratique pour répé­ter et travailler), la hauteur, la pano­ra­mique et le volume de la piste sélec­tion­née. Il sera aussi possible de régler la vitesse géné­rale de lecture via trois boutons situés à droite : 1/2x, 1x et 2x.

Le métro­nome propose cinq sons diffé­rents, un tempo allant de 60 à 240 BPM, et des signa­tures ryth­miques « en veux-tu, en voilà ». Sans oublier les indis­pen­sables boutons de lecture, d’en­re­gis­tre­ment et de mise en boucle.

Pour chacune des quatre pistes, il est possible d’ac­ti­ver une instance d’Am­pli­tube en insert, qui sera tota­le­ment indé­pen­dante de ce qui se passe sur les trois autres pistes. En clair, vous pour­rez enre­gis­trer quatre pistes de guitare avec quatre sons diffé­rents, avec la possi­bi­lité de retou­cher les réglages a poste­riori. Évidem­ment, cela fera monter la charge de votre proces­seur, et c’est pour cela qu’il existe une fonc­tion « freeze », comme dans un vrai séquen­ceur, qui permet de geler les réglages et le son de la piste afin de lais­ser souf­fler votre ordi­na­teur. Pour finir, vous pour­rez expor­ter votre chez d’oeuvre aux formats wav, cad, aiff et sd2.

Dans la pratique, ce petit séquen­ceur s’est révélé bien pratique et très complet. On a de quoi maquet­ter rapi­de­ment sans avoir besoin de lancer la grosse artille­rie : un très bon point pour Ampli­tube 3.

Il ne nous reste plus qu’à bran­cher les guitares !

 

Et le son dans tout ça ?


Le logi­ciel a été testé avec deux guitares : une Fender Tele­cas­ter Ameri­can Special et une Gibson Les Paul Studio.

Amplitube 3
Les sons clairs s’en sortent plutôt bien, avec notam­ment la modé­li­sa­tion Ameri­can Clean mkIII et les Ameri­can Vintage qui s’en sortent hono­ra­ble­ment. Le tout couvre une bonne palette de sons, du brillant moderne au plus chaud et vintage. Lorsque l’on monte un peu le gain et que l’on switch sur le micro cheva­let de la Tele­cas­ter, on essaie les modé­li­sa­tions crunch avec un coup de coeur pour la British Orange, la British Blue s’en sort pas trop mal aussi, mais la British Lead ne nous a pas convaincu.

Avec la Les Paul, on attaque les plus grosses satu­ra­tions et un British Lead de bon augure  tandis que les sons plus Metal peuvent deve­nir un poil agres­sifs si l’on ne trouve pas les bons réglages. À ce propos, on observe que les micros et leur posi­tion par rapport au haut-parleur trans­fi­gurent tota­le­ment le son et permettent de mode­ler le timbre sans même toucher à l’éga­li­seur. Cette fonc­tion est assez indis­pen­sable, tandis que le fait de rajou­ter un peu de pièce permet de gagner en volume et de gros­sir un peu le son.

Les effets de modu­la­tions s’en sortent plutôt bien aussi, avec des chorus et des phaser convain­cants et très utili­sables. Les pédales de fuzz et de distor­sion peuvent parfois appor­ter beau­coup de souffle (la Big Pig!) et de manière géné­rale, le logi­ciel a un bruit de fond assez impor­tant sur les grosses distos par rapport à la concur­rence. Il faudra donc jouer du noise gate…

 

Nous avons modi­fié la qualité sonore (modes Hi, Mid et Eco) pendant le jeu, et si la qualité sonore des réverbes est très dimi­nuée en mode eco, le timbre de l’ins­tru­ment reste très écou­table. De quoi gagner un peu de ressource proces­seur faci­le­ment !

Mais trêve de bla-bla, voici les exemples sonores :


Tele­cas­ter Manche Phazer 10
00:0000:20
  • Tele­cas­ter Manche Phazer 1000:20
  • Tele­cas­ter Manche Chorus 100:20
  • Tele­cas­ter Cheva­let British Blue Tube 30TB00:11
  • Tele­cas­ter Cheva­let Vintage Combo00:11
  • Les Paul Cheva­let British Lead 100:15
  • Les Paul Cheva­let Big Pig00:15
  • Tele­cas­ter Cheva­let British Copper00:11
  • Les Paul Cheva­let Fuzz Age00:15
  • Tele­cas­ter Manche Ameri­can Vintage D00:20
  • Tele­cas­ter Manche Ameri­can Vintage B00:20
  • Tele­cas­ter Manche Ameri­can Vintage T00:20
  • Tele­cas­ter Cheva­let British Lead00:11
  • Les Paul Cheva­let Metal Lead V00:15
  • Les Paul Cheva­let ProRat00:15
  • Tele­cas­ter Manche Tube Clean 100:20
  • Les Paul Cheva­let Metal Lead00:15
  • Les Paul Cheva­let Ameri­can Lead MKIII00:15
  • Tele­cas­ter Manche Uni-V00:20
  • Les Paul Cheva­let OverS­cream00:15
  • Tele­cas­ter Cheva­let British Orange00:11
  • Les Paul Cheva­let British Tube Lead 200:15
  • Tele­cas­ter Manche Ameri­can Clean MKIII00:20
  • Tele­cas­ter Manche Small Phazer00:20


Conclu­sion

Amplitube 3
La troi­sième version d’Am­pli­tube apporte son lot de nouveau­tés inté­res­santes, avec notam­ment de nouvelles modé­li­sa­tions (la liste devient longue !), un quatre pistes inté­gré et la possi­bi­lité d’uti­li­ser deux pedal board/ampli/enceinte/racks d’ef­fets simul­ta­né­ment. Ceci est une bonne nouvelle pour les utili­sa­teurs aimant « boeu­fer » avec un ami : chacun sa guitare et chacun son rig ! La pano­plie de micros et les nouvelles modé­li­sa­tions d’en­ceintes permettent de multi­plier les possi­bi­li­tés et les trois modes de qualité auto­risent le logi­ciel à s’adap­ter en fonc­tion de la puis­sance de l’or­di­na­teur hôte, et le glis­ser / dépo­ser des pedal boards apporte, à l’ins­tar du navi­ga­teur de presets et du système de tags, un véri­table confort d’uti­li­sa­tion.

On regret­tera cepen­dant un bruit de fond toujours présent dès que l’on monte le gain, et un prix supé­rieur à la concur­rence (à quand une baisse de prix Monsieur IK?). Ampli­tube reste tout de même une valeur sûre et comblera les guita­ristes dési­reux d’adop­ter un logi­ciel complet et perfor­mant.



Points forts
  • Pléthore d’amplis et effets
  • Qualité générale des modélisations
  • Etages de préamplification, d’amplification et d’égalisation indépendants
  • 4 pistes intégré complet et pratique
  • Capacité d’utiliser deux amplis simultanément
  • Deux micros par enceinte
  • 3 modes de qualité
  • Possibilité de chaîner jusqu’à 12 pédales et 8 racks d’effets
  • Navigateur de presets avec système de tags
Points faibles
  • Plus cher que la concurrence
  • Certaines modélisations en deçà
  • Du souffle sur les grosses saturations
Auteur de l'article Red Led

Je suis rentré dans la musique par la rosace d'une guitare classique et depuis, j'essaie d'en sortir sans trop de conviction.


Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre
Auteur de l'article Red Led

Je suis rentré dans la musique par la rosace d'une guitare classique et depuis, j'essaie d'en sortir sans trop de conviction.