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Sujet Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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1 Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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3681
Une longue interview en anglais de Geddy Lee du groupe RUSH.
Pal mal de synthés custom :
https://www.cygnus-x1.net/links/rush/keyboard-09.1984.php

keyboard-09.1984-0.jpg
3682
J'avais déjà parlé du premier album solo de Marian Gold, sorti en 1992.

Les sessions studios avaient donné des chansons avec très peu de sonorités synthétiques et la maison de disque avait refusé ce style, voulant promouvoir cet album comme "The voice of Alphaville". D'ailleurs l'autocollant avec ce slogan sur le CD était assez gros.

Gold avait donc du réorchestrer et parfois réenregistrer ses titres avec un son plus "alphavillien".

Je vous avais posté la version refusée et la version définitive de son single "And I Wonder".
Voilà aujourd'hui la face B.

La 1ère version, "Elegy" :


La version du CD single, "Legend" :

[ Dernière édition du message le 09/04/2022 à 07:42:39 ]

3683
x
Hors sujet :

Hé oui, Marian Gold victime de la censure des producteurs à but lucratif...

"The handshake
Seals the contract
From the contract
There's no turning back
...
The grabbing hands
Grabb all they can
...
The graph
On the wall..."
Je ne me suis aperçu que tard du cynisme du titre "Everything counts" de DM (aïeaïeaïe !) qui reflète bien l'enfermement dans le format pop "qui marche" des groupes produits. Etonnant d'ailleurs que ce single ait été accepté par leur label, y compris la vidéo issue de "101" dans laquelle on voit des gens compter les liasses des ventes de billets de concert et des produits dérivés et se féliciter des tonnes de rentrées d'argent. Excellent contraste entre les artistes qui se défoncent ( ! ) sur scène pour le public et le business derrière.

[ Dernière édition du message le 08/04/2022 à 18:41:54 ]

3684
@phanou2000 :mrg:

---

Pourrais-je avoir vos opinions s'il vous plait ?

x
Hors sujet :
Pour ceux qui ont écouté les deux versions du titre, quel est votre préférence (subjective of course) à chaud?

Personnellement, ces deux morceaux, introuvables en France à l'époque, je les ai découverts le même jour en 99, dispatchés d'un bout à l'autre d'une intégrale de 8Cds à tirage limité que j'attendais comme un mort de faim depuis six mois.

Si après quelques réécoutes, j'ai perçu la similitude des paroles, j'ai quand même mis un certain temps à me rendre compte que c'était en fait la même chanson, tant les deux enregistrements sont différents.
Je les aime tout autant l'un que l'autre, mais celui que j'écoute le plus est la version "Legend".

[ Dernière édition du message le 09/04/2022 à 15:43:31 ]

3685
Phanou2000 > oui j’ai toujours aimé ce genre d’humour (un peu cynique sans doute) chez eux. Il fallait oser (je pense que c’est un truc un peu anglais quand même, pas sûr qu’ici ça aurait passé) Et quand au label, c’était Daniel Miller, quoi.

Vilak > J’écoute ça tranquillement, tête reposée, durant le week end et je te réponds. :clin:
3686
Pink Floyd aussi crachait déjà dans la soupe en 75 avec Welcome to the Machine et Have a Cigar...

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

3687
C'est vrai mais combien de millions d'albums avaient ils déjà vendus a ce moment?
La maison de disque ne devait pas trop les emmerder sur leur texte, tant que les tonnes de billets rentraient.
Regarde Jean Ferrât, pour son premier disque ils lui ont imposé de faire de la varietoche, des trucs sirupeux comme "deux enfants au soleil". Et puis une fois qu'il s'était montré"bankable", ils lui ont foutu la paix et l'ont laissé tranquille bouffer du curé, du flic et du militaire.
3688
Je ne connais pas le dessous des cartes mais bon en principe quand on a signé un contrat dans une grosse boîte on sait quand-même un peu à quoi on s'engage...

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

3689
Cote artiste oui bien sur, mais la maison de disque ne va regarder que les chiffres.
Pink floyd sortait du Dark Side, elle pouvait tout leur laisser passer.

alphaville, après n'avoir jamais vendu plus de 200.000 disques par album et une dernière galette boudée par le public et descendue en flamme par la critique venait de se séparer. Il Gold n''avait lui que le choix de se plier aux desideratas du major.

Depeche Mode eux étaient chez Mute, Miller avait la mentalité pour leur laisser exagérer un peu. Enfin jusqu' à un certain point. le texte de EC est acide certes, mais il ne choqué pas.
Pour "fly on the windscreen", ils seront plus frileux, sauf Wilder qui pensait vraiment que la chanson avait un gros potentiel et méritait la face A au lieu de finir sur la face B du single concerné.
3690
Ce qu'il y a de bien avec le DX7, c'est qu'on peut en parler partout, c'est jamais trop HS.

Allez je vais faire simple :
Le synthé qui fait la basse de "People are People".

Tilt n°29, mars 1986.
(Click droit puis "ouvrir l'image dans..." pour la résolution optimum)

0bum.jpg

ch4l.jpg

xnwd.jpg

Merci mon pote Super Shogun pour ces images.