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Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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Sujet de la discussion Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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4901
OK, merci pour cette explication limpide comme de l'eau de roche :bravo:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

4902
Maintenant Kosmix: hop, ramène la baballe ! synthetiseurs-5599151.gif
4903
Ca y est j'ai écouté le nouveau Depeche Mode.

Bon les arrangements sont pas top, c'est minimaliste comme tout ce qu'ils font depuis déjà trop longtemps.
Les sons sont jolis mais avec tout ce qu'ils doivent avoir comme banques, comment ne pas tomber sur un bon patch?
Par contre je déteste la boite à rythme, trop faiblarde.
La mélodie, ben comme presqu'à chaque fois, il va me falloir plusieurs écoutes mais il y a une ou deux envolée lyrique que j'ai bien aimé.

Mon premier avis est donc neutre, mais ça va surement se bonifier au fil des écoutes.

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Merci à mon pote Super Shogun du forum de la Lune Rouge pour avoir trouvé cette interview.

DEPECHE MODE

Note : cette interview réunit des propos recueillis aux cours de deux entretiens, réalisés par Bertrand Dermoncourt en décembre 1996 et mars 2001. Elle est parue dans le n°62 (mai 2001) du magazine Start Up.


Si tu avais à choisir entre une guitare et un sampler, que choisirais-tu ?

Martin Gore - C'est une question très difficile. J'ai commencé la guitare lorsque j'avais 13 ans. C'est l'instrument sur lequel j'ai découvert la musique. Et puis, c'est surtout sur une guitare que j'ai écrit mes premières chansons. Paradoxalement, j'aime beaucoup la guitare, mais je suis certain que je n'arriverai jamais à être un grand guitariste : elle restera donc pour moi un simple instrument au service de la composition. Tu comprendras donc pourquoi le sampler est si important pour moi. Contrairement à la guitare, il me permet d'expérimenter et de vraiment construire la musique. Avec la guitare, je trouve les mélodies, et avec les samplers, je passe aux étapes suivantes, je fais évoluer les chansons. Cependant, si j'avais à choisir entre une guitare et un sampler, je garderais sans doute la guitare. Il ne faut pas oublier qu'avant d'être un arrangeur et un producteur, j'écris les chansons de Depeche Mode, et la guitare est indispensable à mon processus créatif. Les accords et les mélodies restent en effet les choses les plus importantes pour moi. Je me considère comme un héritier - sans prétendre en avoir le niveau - de John Lennon, Leonard Cohen ou Neil Young : j'écris des chansons.

Est-ce que les samplers et la technologie ont selon toi changé la façon de faire de la musique ?

On a parfois noté une supposée influence de la musique industrielle sur Construction Time Again (1983) et sur Some Great Reward (1984), mais c'est plus une question de circonstance qu'une volonté délibérée de notre part. Vers 1983, l'utilisation du sampler s'est démocratisée et nous étions comme des enfants dans une confiserie : nous avons passé des heures et des heures à sampler tous les sons qui nous paraissait intéressants. Je me souviens être allé sur les voies de chemin de fer taper sur les rails avec des marteaux, avoir enregistré les bruits de tous les ustensiles de cuisine dont je disposais, ou même avoir enregistré le bruit d'une balle de ping-pong sur une table ! Nous avions une infinité de nouveaux instruments à dispositions, nous en avons profité. Pour moi comme pour beaucoup d'autres, oui, le sampler est arrivé comme une bénédiction. Il permet en effet d'atteindre des contrées musicales que l'on n'aurait pas pu visiter autrement. Evidemment, on en a aussi beaucoup abusé. Il est facile et même tentant de faire des disques où l'utilisation de la technologie se fait au détriment de la musique. Je m'explique. La technologie pour la technologie a tué chez certains musiciens l'écriture, qui est pourtant essentielle. Je ne veux pas dire que l'on doit obligatoirement écrire des chansons pour produire une musique digne d'intérêt. De nombreux groupes d'electronica ne le font pas et sont cependant passionnants. Mais le risque, en musique électronique, est de faire des disques au kilomètre, sans âme. Une musique sans musique. Un contre-exemple pourrait être Underworld, qui a remixé "Barrel of a gun" pour nous en 1997. Le premier morceau qu'ils nous avaient envoyé à été un véritable choc. La chanson était devenue totalement atmosphérique. C'était très beau, bien loin des beats dance-floor que nous attendions d'eux. Cela prouve bien la qualité d'Underworld, et plus généralement la richesse de la musique électronique.

Quelle est pour toi la manière idéale de composer ?

En cette matière comme en beaucoup d'autres, on ne peut pas parler d'idéal. Habituellement, je commence toujours sur une guitare acoustique pour trouver les accords principaux de la chanson. Les textes viennent généralement à ce moment-là : je m'assois avec ma guitare, je répète à l'infini les accords que je viens de trouver et je chante ce qui me passe par la tête. Souvent, je trouve une idée et elle se transforme en chanson sans que je m'en aperçoive. Ecrire est donc pour moi un processus très étrange. J'ai toujours dit qu'il y avait une dimension spirituelle dans le songwriting. Tu pars d'une simple idée, de quelques mots, et tu te demandes toujours comment à la fin tu aboutis à une chanson. Il y a simplement des moments très spéciaux où on ne contrôle plus vraiment ce que l'on fait et où tout semble couler de source. A certaines périodes, je me sens plus créatif qu'à d'autres, ce qui ne colle pas forcément avec les impératifs du groupe, car je suis le seul songwriter dans Depeche Mode. Entre les tournées et les enregistrements, il ne me reste parfois que peu de temps - quelques semaines - pour écrire les chansons. Jusqu'à présent, je ne me suis jamais retrouvé "à sec". Mais j'ai toujours peur de devoir dire aux autres : "Désolé les gars, mais, cette fois-ci, je n'ai rien !". Cela peut paraître bizarre d'avoir à écrire comme moi un certain nombre de chansons dans un certain laps de temps. L'inspiration ne se commande pas. Bizarrement, quand je m'y mets, j'y arrive toujours, je ne sais pas pourquoi. Cela contredit d'ailleurs ce que j'ai dit tout à l'heure : l'écriture est certes un processus très particulier, mais qui ne nécessite pas forcément un état d'esprit exceptionnel. Je sais très bien que si le groupe me laisse six semaines pour écrire par exemple quatre chansons, il m'arrivera assez d'expériences à ce moment-là pour que je ne tombe pas dans une routine paralysante et stérile.

Qu'est-ce pour toi qu'une bonne chanson ?

C'est très difficile à définir. C'est sûrement le sentiment qu'une chanson que l'on écoute ou que l'on écrit signifie réellement quelque chose pour toi, qu'elle te touche et peut aussi toucher les autres. Lorsque les textes sont abstraits, une bonne chanson doit certainement être jugée sur la façon dont évolue la ligne mélodique. Pour moi, le plus important reste l'alliance entre le texte et la musique. Il doit y avoir une osmose totale. Tout se passe à un niveau si émotionnel que je ne saurais expliquer pourquoi une chanson fonctionne ou pas. Pris à part, une musique ou un texte n'ont pas forcément d'intérêt. Mais tout à coup, ensembles, ils prennent une autre dimension. La qualité d'un album vient avant tout de la cohésion d'ensemble, et notre album le plus cohérent à ce jour est sans doute Violator (1990). Ultra s'inscrit dans ce prolongement, en plus sombre, alors qu'Exciter, tout comme Songs Of Faith And Devotion (1993) en son temps, a sans doute été fait en réaction à son prédécesseur. Songs Of Faith And Devotion était une sorte de pause, une tentative de faire un album plus rock. Dave Gahan avait déménagé à Los Angeles peu de temps avant et il était dans un trip grunge assez extrême, il s'était fait tatoué les bras, voulais chanter très fort, faire une musique plus organique. Mais je pense que nos racines sont ailleurs, dans la musique électronique. De toute manière, Songs Of Faith And Devotion a totalement été monté sur ordinateur, et cela s'entend. C'est ce qui en fait un album de Depeche Mode à part entière.

Vous avez des influences qui vont en gros du blues et du gospel à Kraftwerk. Si vous aviez à choisir, laquelle de ces musiques garderiez-vous ?

J'ai toujours aimé le gospel. Tous mes amis le détestent depuis longtemps car lorsque j'ai trop bu, je chante toujours des gospels en fin de soirée sans me rendre compte que ça emmerde tout le monde. Je ne sais pas d'où cela vient, mais lorsque je commence, je ne peux pas m'arrêter. Sur Songs of Faith and Devotion, j'ai donc chanté "Comdemnation" ! Je pense que je garderais cependant le blues pour sa dimension émotionnelle et humaine, notamment les vieux enregistrements de Works Songs, même si le son est très mauvais. Kraftwerk m'intéresse essentiellement pour l'approche technique de l'enregistrement et de l'électronique.

C'est à mon avis le paradoxe de la musique de Depeche Mode : basée sur des éléments très simples (la mélodie, la voix et la guitare) et pourtant riche et complexe. Est-ce pour cela que vos disques sont toujours très longs à enregistrer ?

Certainement. Sur mes démos, je fais des choses assez simples, j'essaye de capturer l'essence de la chanson, l'émotion originelle. J'insiste sur le fait que nos chansons peuvent fonctionner à la guitare et à la voix. Mais pourquoi les enregistrer comme cela alors que ça a déjà été fait des milliers de fois ? Je préfère travailler les chansons, les rendre plus actuelles et différentes grâce à l'apport de la technologie. Sur Ultra et Exciter, les influences viennent d'horizons encore plus large que d'habitude. Faire ces disques a été comme colorier un dessin à l'origine en noir et blanc. Mais les couleurs sont les plus discrètes possibles sur Exciter.

Préfères-tu le travail en studio ou les concerts ?

Même si j'ai parfois dit le contraire dans le passé, je répondrais le studio sans hésitation. Les quatorze mois de tournées consécutives à Songs Of Faith And Devotion m'ont découragé. Imaginez que je n'ai pu passer que deux semaines en Angleterre durant toute cette période ! Chaque membre du groupe est tombé gravement malade à un moment ou à un autre. C'était comme une mauvaise blague. Andy n'a même pas fini la tournée. Alan, Dave et moi avons dû aller à l'hôpital. Evidemment, ce ne sont pas les deux heures sur scène qui posent problème, au contraire, mais tout l'à-côté : après l'excitation des concerts, il est impossible d'aller se coucher tranquillement. Alors on sort, on boit, et plus on boit, plus on est fatigué. Alors, quand on fait ça tous les soirs... impossible de ne pas tomber gravement malade.

Tu as dit il y a quelques années que tu trouvais "People Are People" trop commercial. Etait-ce parce que le succès a changé à cette époque ta manière d'envisager la musique ?

Non, pas du tout. J'aimais beaucoup cette chanson quand nous l'avons enregistrée, mais elle devenu un "monstre" incontrôlable : c'était notre premier tube aux Etats-Unis, elle a été numéro un en Allemagne, tous les pays du monde diffusaient "People are People". C'était notre premier succès mondial, mais sûrement pas notre meilleure chanson. voilà la raison de ma remarque. Je n'ai jamais fini une chanson en me disant : "ouf, j'ai le prochain single". Les deux seules fois où nous avons été obligé de publier un single, c'était pour accompagner la sortie de nos deux compilations. Il s'agit de "It's Called A Heart" en 1985 - un morceau faible, je le reconnais, car il nous fallait absolument sortir quelque chose, et nous n'avions rien de bien - et de "Only When I Loose Myself" en 1998, que j'adore, mais qui n'est pas vraiment un single dans le sens où ce n'est pas un morceau qui accroche rapidement.

Fais-tu une grosse différence entre les deux périodes 81-85 et 86-97, dont les singles ont été regroupés sur deux compilations différentes [sorties respectivement en 1985 et 1998, ndlr.] ?

Oui, et je tiens particulièrement à la deuxième période. 1986 est pour Depeche Mode une date charnière. J'aime vraiment tout ce que nous avons fait depuis lors. A partir de "Stripped" (1986), j'estime que les singles sont vraiment très bons, ils possèdent une approche beaucoup plus mélodique que l'on retrouve aussi dans nos albums. A cet égard, Black Celebration (1986) a été très important. Avec ce disque, nous avons trouvé notre voie, notre style. Je vivais à Berlin, est-ce que cela a été une influence sur cet album? Inconsciemment, sans doute. Tout était nouveau pour moi à cette époque : la ville, ma copine. J'avais dans mon appartement un petit sampler avec lequel je faisais des démos. J'ai vécu en vase clos pendant plusieurs semaines, car, pour la première fois depuis les débuts de Depeche Mode, je me retrouvais loin des trois autres membres du groupe. Avant, nous étions tous à Londres, et dès qu'une nouvelle chanson était ébauchée, nous nous retrouvions pour l'écouter et en discuter entre nous. C'est peut-être pour cela que Black Celebration est plus personnel. J'y chante quatre titres, ce qui est unique dans notre discographie. Et puis les thèmes des chansons sont plus profonds, plus intimes, souvent liés à des expériences réelles. Avec Black Celebration, la musique était devenue une nécessité intérieure pour moi.

Pour moi, Black Celebration conclut - magnifiquement, au demeurant -, la première période de Depeche Mode.

Oui, et commence alors une nouvelle phase, comme je le disais tout à l'heure. Cet album marque aussi la fin d'une équipe, avec Gareth Jones et Daniel Miller à la production. A partir de Music for the Masses (1987), Alan Wilder a pris plus d'importance. Il était plus à l'aise et apportait des idées d'arrangements. J'aime toujours cet album, y figurent d'excellents titres : je pense surtout à "Never Let Me Down Again", l'un de nos classiques, à des morceaux lents aussi, comme "I Want You Now". Nous avons toujours cherché à créer différentes atmosphères dans nos disques. Dans Black Celebration, cela ne marche pas toujours parfaitement. Je pense aussi que la production et les arrangements vont toujours de paire. Dans Exciter, nous avons cherché à présenter le squelette de nos chansons, c'est une démarche nouvelle pour nous, et nous avons beaucoup travaillé les arrangements, contrairement aux apparences ! C'est toujours très difficile d'être à la fois minimaliste dans l'approche et conséquent dans le résultat sonore. Flood nous avait aidé à travailler dans cette direction pour Violator, avec un certain succès, il me semble. J'aimais beaucoup les chansons de Violator déjà avant de rentrer en studio ! C'est sans doute notre classique, mais de toute façon, je considère nos quatre derniers disques (de Violator à Exciter) comme nos meilleurs. Ceux des années 1980 - les deux premiers mis à part ! - avait par endroits quelque chose de magique, mais certains détails me gênent, et quelques morceaux sont un peu faibles. La cohérence est plus forte sur nos derniers albums.

Quant tu regardes la carrière déjà longue de Depeche Mode, as-tu des regrets?

Si nous recommencions aujourd'hui depuis le début, nous changerions sans aucun doute de nombreuses choses sur nos premiers disques ; pas seulement notre image publique, qui était vraiment catastrophique, mais aussi certains morceaux. A l'époque de Speak And Spell (1981), je ne me sentais pas responsable de toute façon, puisque Vince Clarke était clairement le leader du groupe. Un autre aspect un peu problématique de cette époque est notre engagement politique - enfin, politique est un bien grand mot, puisque nous étions très naïfs. Il faut bien se rappeler qu'au moment de A Broken Frame, en 1982, je n'avais que 21 ans ! Et notre dernière chanson engagée était sans doute "New Dress" sur Black Celebration, quatre ans plus tard. J'ai traversé une période où j'avais beaucoup voyagé, pour la première fois de ma vie, autour du monde, en Asie notamment ; j'ai été très affecté d'être confronté à toute cette pauvreté, et j'ai voulu évoquer cela dans des chansons. Mais c'était bien maladroit, je ne me vois pas aujourd'hui disserter sur l'idée d'intégrité, cela n'a pas de sens. Nous étions jeunes et entiers, nous avions une vision du monde en noir et blanc. Nous avons changé. En fait, plus que des regrets, je suis rétrospectivement étonné de certaines choses que nous avons pu faire. Ainsi, je ne comprends pas comment nous avons pu faire pour sortir autant de disques en si peu de temps. Certes, nous n'avions pas de vie de famille, pas d'enfants, c'était sans doute plus facile. Peut-être allions-nous plus vite, tout simplement, car même si nous étions très productifs, je n'ai pas le souvenir d'avoir quitté Londres pour des périodes trop longues. Au fil du temps, j'ai découvert qu'il avait d'autres choses dans la vie que le groupe, sûrement aussi importantes. Nos rythmes biologiques ont dû changer également, car je ne vois pas comment je pourrais maintenir de nos jours le niveau de créativité que j'ai eu dans des années 80. Un album par an, et une tournée entre chacun, c'était dingue ! Et pourtant, je n'ai jamais senti de surmenage. A l'époque, nous fonctionnions toujours comme un gang, nous étions les meilleurs amis du monde, nous vivions entre nous. Avec Depeche Mode, nous avions la possibilité de voyager, de découvrir le monde, la vie était une grande fête. D'ailleurs, nous n'arrêtions pas de sortir ! C'était vraiment une grande époque. Après Violator, les choses ont changé, tout est devenu plus compliqué.
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Le 07 février 1983, le groupe hongrois Omega se produit à Francfort lors de la Musikmesse.

Le chanteur du groupe, János Kóbor, mentionne dans une interview de 2015 avoir trouvé insignifiant le groupe ayant joué juste avant Omega, concluant alors qu’il n’aurait pas de carrière à long terme. Il a réalisé des années plus tard que ce groupe était Depeche Mode.

Le 6 décembre 2021, János Kóbor est décédé à l’âge de 78 ans après avoir contracté le Covid-19.
Après les décès successifs du claviériste László Benkő et du bassiste Tamás Mihály à la fin du mois de novembre 2020, c’est le chanteur de la mythique formation de rock hongrois qui est partie.

Synthpunk, tu peux nous en dire plus sur Omega, les groupes de l'Est, c'est ton rayon non?

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Hors sujet :
Y a pas à dire, DM reste DM...

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4906
Marillion dans "International Musician & Reocrding World", février 86, rubrique "Beatroute"


"Misplaced Childhood Tour"; 26 mai 1985/29 avril 1986.

Steve Rothery utilise un Synthguitar Roland SG-300

Pete Trewavas utilise une pédale Moog Taurus

Mark Kelly utilise neuf claviers différents :

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J'adore ! Surtout le schéma à l'ancienne ! J'ai fait ça le mois dernier pour un projet avec ma bonne vieille table analo de studio ! Top !
C'est pédago et cela illustre une façon de faire la musique différente du tout vst !

Old School et Electronica

Deux filles Arc en Ciel

[ Dernière édition du message le 23/02/2023 à 21:32:20 ]

4908
Ensonique !
4909
En tous cas il aimait les pédales de volume Boss FV-200.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

4910
Citation :
Synthpunk, tu peux nous en dire plus sur Omega, les groupes de l'Est, c'est ton rayon non?


C'est l'un des tous premiers groupe Rock Hongrois fondé en 1962 même si leur premier Lp n'était sorti qu'en 1967, ils on commencé comme un groupe Beat Garage et on ensuite évolué dans une veine Prog Rock voir ci dessous

https://www.progarchives.com/artist.asp?id=708

Je n'ai malheureusement pas de disques d'eux , ils en ont fait de très bons d'autres plus inégaux

Citation :
Omega biography
Formed in Budapest, Hungary, in September 1962 - Disbanded in 1987 - Reformed in 1994

The most successful Hungarian rock band in history, OMEGA is one of the rare bands to have been known outside in his country. The legend has it that as albums were released in other countries it became necessary to brake the language barrier. Their music is a combination of Eastern European prog with a bit of symphonic and a bit of psyche prog. The result is a dark orchestrated sound combined with extended improvisation. Their discography actually starts in the early 60's, and goes in till today in a more modern register. Several albums were released in Hungarian as well as English. I'd prefer the "accented" English version of the albums. The more so, the music remains the same...

1968 to 1975: OMEGA issued their first Hungarian "Trombitás Frédi és a Rettenetes Emberek" (1968) that became their first golden album. The band sealed their success with two subsequent LPS: "10 000 Lépés" and "Omega 3" / "Éjszakai Országút". Their first releases, such as "Omega 3" / "Éjszakai Országút", "Élö Omega" and "Omega 5" were basically pop rock some very good songs. "200 Years After The Last War" is a brilliant album, solid rock and roll with beautiful ballads.

From 1976 to 1981, they released four albums of Progressive Spacey Rock with great arrangements: echoes of PINK FLOYD and ELOY elements. "Time Robber" / "Idõrabló", their best work work, is the most commercial with various electronic "space sounds", though "Skrover" / "Csillagok Útján" is probably the most musically diverse. More albums in the similar style followed: "Gammapolis" / "Gammapolisz" and "Working" / "Az Arc".

1981 to today: Afterwards, the band kept the electronic and pop rock genre with bits of Progressive elements. However, the band's 1980s began to show the obvious signs of creative stagnation. Soon after it 13th album, OMEGA disbanded. After 7 years of long silence, the musicians went on to produce a new album in 1995, "Transcendent" / "Trans and Dance". This release is a good album with nice keyboards playing. Also check out their equally superb album .... their latest "Egy Eletre Szol" (1998). Well..., after nearly 40 years OMEGA is still together, they are LEGENDS!

Mondialiste et Droit de l'Hommiste Fan des musiques populaires de la zone mondiale

[ Dernière édition du message le 24/02/2023 à 01:15:38 ]