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l’examen d’entrée à la sae ?

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Sujet de la discussion l’examen d’entrée à la sae ?

bonjour , est ce que quelqu'un peut m'en dire plus sur le concours d'entrée à la sae institute paris quelle genre de question nous pose t'il , sur quoi , se qu'il faut savoir etc ... ?  merci

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Je me suis inscrit à la prépa, je me rends à l'école avec mon dossier en main, la lettre de motiv + le CV.
Et bien sûr les chèques.
Finalement pas besoin du CV ni de la lettre, les chèques ont suffit à me faire inscrire de suite ...
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Citation de zyboume :
Au Québec, la « Loi sur les ingénieurs » (spécifiquement Section 5 / Paragraphe 22-2 « Dispositions pénales ») empêche quiconque d'utiliser le terme « ingénieur » si cette personne n'est pas un membre en bonne et due forme de « L'Ordre des ingénieurs du Québec ». En France je rigole, nous sommes entourés d’une bande de nuls alors je ne parle pas des étrangers qui viennent en France faire leurs études !!! LOL, très drôle, j’ai rencontré un jeune soit disant étudiant ingénieur du son à la SAE, j’étais très étonné il parle à peine le français il n’a aucun diplôme donc j’en conclue que ce n’est qu’une question de fric…
Pour cette raison, toute une panoplie d'expressions y sont utilisées en remplacement : « technicien du son, preneur de son, sonorisateur », etc.
Il faudrait être sérieux et ne pas faire n’importe quoi, le titre d’ingénieur du son en France ce n’est qu’un titre BIDON…
Bonne réflexion à tous.

Pas mal ce troll.
Mention particulière pour le "Bonne réflexion à tous". :bravo:

Il faut quand même reconnaître que zyboume a raison sur un point : « L'Ordre des ingénieurs du Québec » n'empêche personne de se qualifier d'ingénieur en France.

Plus sérieusement : "sound engineer" a incorrectement été traduit en France par "ingénieur du son". Au Québec sur les panneaux routiers octogonaux il est écrit "Arrêt", alors qu'en France c'est "Stop". Autre exemple de mauvaise traduction encore plus confusionnant : en français correct, on utilise le mot "sécurité" lorsque l'on cherche à prévenir les risque d'accidents (exemples : glace "sécurit", "pour votre sécurité, ne traversez pas les voies de chemin de fer"...) et "sûreté" contre les menaces malveillantes pas du tout accidentelles (ex: Direction de la Sûreté du Territoire). Mais en informatique, on a longtemps parlé "d'analyse de sûreté de fonctionnement" (mauvaise traduction de "safety analysis" ) alors que l'on traitait des cas de pannes (et non pas d'intrusion, virus...). Aujourd'hui on reprend la terminologie correcte, mais après 20 ans de confusion, on ne sait plus ce que veut dire celui qui s'exprime...


Et puis tient, un truc qui est en train de se répandre (notamment sur AF) :
- le mot anglais "versatile" se traduit en français correct par "polyvalent"
- en français le mot "versatile" veut dire : "change facilement d'avis, dit tout et son contraire, sans cohérence ou explication notoire". On n'a jamais vu un clavier de scène voter PS, puis UMP, puis PS, puis FN, puis Verts, puis Bayrou... ;)

Enfin bon, c'est pas hyper grave, ça ne nous empêchera pas de dormir !

[ Dernière édition du message le 03/02/2014 à 20:51:41 ]

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Citation :
Je me suis inscrit à la prépa, je me rends à l'école avec mon dossier en main, la lettre de motiv + le CV.
Et bien sûr les chèques.
Finalement pas besoin du CV ni de la lettre, les chèques ont suffit à me faire inscrire de suite ...
Et l'examen d'entrée était comment ?
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Pas d'exam pour la prépa.
D'ailleurs quand on la fait, pas besoin de passer l'exam pour commencer le vrai cursus.
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Le terme "prépa" désigne plutôt les "préparations aux concours", qui n'ont rien à voir avec une évaluation du niveau de connaissances (contrairement à un examen pour un diplôme).

Et là il n'y a ni l'un ni l'autre... Ah ouais...

[ Dernière édition du message le 04/02/2014 à 20:00:51 ]

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Citation :
Le terme "prépa" désigne plutôt les "préparations aux concours", qui n'ont rien à voir avec une évaluation du niveau de connaissances (contrairement à un examen pour un diplôme).

Et là il n'y a ni l'un ni l'autre... Ah ouais...


Prépa-re le chèque....
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Personnellement je ne vois pas ce qui vous gène dans le fait d'aligner seulement un chèque pour rentrer dans cette école. Ca change des pseudos-formations-bidons-élitistes ou on vous demande si vous savez jonglez avec des balles enflammées sur un monocycle sur un fil tendu au dessus du grand cayon.

J'ai été étudiant à la SAE et avant de la choisir je suis allé voir d'autres écoles et franchement..
de 1 : c'est loin d'être la plus chère
de 2 : le matériel est récent et de très bonne qualité (plus que certaines écoles qui sont bien plus chères)
de 3 : il me semble qu'on t'offre un macbook pour un cursus audio engineer (vous allez me dire c'est normal vu le tarif mais dans les autres écoles vous avez même pas le droit à un crayon)
de 4 : je suis arrivé à la SAE sans rien y connaître en audio ou en midi à part des bidouilles de home-studistes sur FLstudio (en gros j'adorais mettre des compresseurs/limiteur partout) et cours de ma formation j'ai été agréablement surpris de la qualité des cours et des intervenants, j'entends par là que j'ai appris énormément de choses, et quand je compare mes mixages avant et après, ya pas photos.

Pourtant à cette époque j'habitais en Bretagne et il y avait l'ESRA à côté de chez moi, donc aller sur Paris était un choix bien réfléchi.

Au final je suis très heureux de ne pas avoir passé de test (un seul audiogramme suffit) car du coup le gros débutant que j'étais a pu recevoir un tas d'informations utiles pour mes connaissances en audio.

L'élitisme et les tests d'entrée c'est le mal :non:

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Loud and Clear.

[ Dernière édition du message le 05/02/2014 à 12:00:22 ]

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Hors sujet :
Citation :
L'élitisme et les tests d'entrée c'est le mal


Ca depend du but de l'institution. Si le but c'est de pousser l'enveloppe dans un domaine specifique, un minimum de selection et d'"elitisme" est malheureusement necessaire afin d'assurer un niveau de base relativement eleve... Ou bien on passerait sa vie a reformer sur le tas les nouveaux entrants pour des choses qu'ils auraient du acquerir bien plus tot dans leur parcours.
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D'où l'intérêt des classes prépa et de la première année de formation, comme dans les facs.
Là on parle bien d'une formation visiblement post-bac donc il serait aberrant de faire des tests d'entrée. Si le niveau d'entrée était à bac+2 ou maitrise cela serait différent.

Donc je répète je comprend pas qu'on s'étonne que le principal soucis de l'école soit de vérifier votre capacité de financement. Un centre de formation reste une entreprise qui a pour but une pérénité financière. Et il faut bien payer les formateurs et le matos (et surtout la maintenance du dit matos)
Faut arrêter de penser comme des communistes des fois, l'argent tombe pas du ciel et quand on c'est l'Etat qui finance par le biais des subventions, c'est encore les mêmes qui gueulent en disant que c'est pas normal.

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Loud and Clear.

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Hors sujet :
Les communistes ne pensent pas que l'argent tombe du ciel :-D


Je suis assez d'accord sur la question soulevée par un examen ou pas d'entrée pour une école de son. Les formations publiques, par exemple, exigent un très bon niveau notamment en math et je crois en physique, ainsi que dans d'autres domaines.

Moralité, je connais des gens, très bons musiciens, avec de bonnes bases en son, une expérience de home-studistes ayant produit des démos et une expérience de sonorisation de concerts qui n'ont pas pu y entrer. Y compris dans des BTS audiovisuels.
J'ai du mal à penser qu'un péquin lambda fera un meilleur ingé son qu'eux au prétexte qu'il a passé un bac S.

Après, qu'une école publique, donc sensément gratuite, aie plus de demandes que de places et qu'inversement, une école privée et coûteuse aie plus de places que de demandes et donc que la première sélectionne sévèrement tandis que la seconde se contente plus du chèque, ça n'a rien de surprenant. Ça ne présage pourtant pas ni de la qualité de la formation, ni du niveau de compétences des gens à la sortie des études. Faut pas confondre le niveau à l'entrée et celui à la sortie.

En ce qui me concerne, j'ai commencé mes études par une prépa littéraire (hypokhagne). Sélection rigoureuse à l'entrée... sur dossiers. Ben j'ai été effaré par le faible niveau intellectuel et culturel de beaucoup de mes congénères qui n'étaient que des bêtes scolaires à concours.