Satie c'est vraiment unique, pas aussi aussi simple à jouer qu'il n'y parait en plus.
Ca m'a donné des envies de piano et je vais de ce pas sortir ce CD de Marcelle Meyer qui accompagnera à merveille le bouquin que je suis en train de lire
Vous savez pour certains que je suis atteint d'une maladie particulière qui vous affecte régulièrement ici : celle de vous soualer avec des groupes suédois. Bon voilà, aujourd'hui je fais une rechute en vous présentant Rust, l'album du groupe Crashdïet. Le nom du groupe doit être une référence d'un produit Ikea. Koalaman pourrait nous le confirmer. Lui qui collectionne les catalogues de l'enseigne depuis 2008.
Ils auraient pu choisir un nom du genre Asbragürhulgdur mais celui-ci était déjà pris par un groupe boulgourien de black métal nynphonique.
Va pour Crashdïet alors qui joue du sleeze rock. Savant mélange de hard rock à papa, de punk et de glam. La référence historique étant Motley crüe pour vous situer les choses.
Comment ça ? Rifki qui écoute de la musique de poseurs permanentés ? C'est quoi ce bordel ! ?
Pas vraiment non. Crashdïet c'est nettement plus rock and roll et punchy. L'introduction de rust devrait vous convaincre. Puis rien à faire les scandinaves ont le sens du rif et de la mélodie. Ici avec un excellent chanteur accompagné par de très bon musiciens. Et il y a de sacré bons refrains à scander dans les stades. Je crois que ma chanson préférée c'est reptile.
En fait Rust, c'est l'album que je choisi quand je ne sais pas quoi écouter. Un peu les copains que je suis content de retrouver. Un sacré compliment de ma part.