Votre rencontre avec la musique.
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roman66

Pour moi, j'ai trois soeurs aînées, alors la musique, c'était partout, à toute heure. C'était de la variétoche 70 : mike Brant... j'adorais surtout les Rubettes. J'étais pardonnable, j'avais 6 ans.
Puis les mecs ont commencé à pointer leur nez... un de mes futurs beaux-frères s'est un jour pointé avec "Ziggy Stardust" et "Live in Japan", j'avais 7-8 ans, je m'en suis jamais remis. La preuve, malgré tous mes revirements de goûts musicaux, ces albums ont toujours eu une place de choix.

Anonyme

c'est pas tres original, j'étais aproximativement dans ma 9 ou 10 eme années, je vais chez ma tante, ma cousine, qui elle en avait 5 ou 6 de plus, venait d'acheter le 45 tours 4 titres des fab fours (Beatles) avec les morceaux help, i'm down, mr moonlight, i fallow the sun, c'était la première fois que je les entendais je suis resté stochté a la platine tourne disque, du début de l'apres midi jusque tard le soir a écouté en boucle les chansons , sans une seule minute de répit, c'est le plus grand "flash" que j'ai eu niveau musique et celui qui m'a donné envie d'en faire. Apres je suis devenu un fan de ce groupe, j'allais tous les dimanche "aux puces" pour essayer de trouver les vieux 45 tours. je les ai d'ailleurs a peu pres tous trouvés, et chaque foi c'était magique, c'était le début des cheveux long, on portait des "tréis" de l'armée, on découvrait les substances illicites en écoutant celui qui reste pour moi le plus de leur disque "révolver".....a la la toute une époque

ptitmiche

Citation : j'adorais surtout les Rubettes. J'étais pardonnable, j'avais 6 ans.
Pareil, c'est vraiment le groupe qui a marqué mon enfance, et j'aime toujours d'ailleurs, sans honte aucune. Au début des 70's y a que ça qui passait en radio, avec Dave et C Jérôme

Je les ai vus sur scène y a pas si longtemps à Lille, et ça tient amplement la route (avec l'effectif quasi original). On peut dire ce qu'on veut, les groupes de cette époque savaient jouer.
J'ai pas mal kiffé aussi sur Martin Circus et ses reprises des Beach Boys (je savais pas à l'époque).
Ca me donne envie de refouiller dans l'armoire de ma chambre de gosse, tiens.

roman66




Sinon, le grand revirement de ma vie, ça a été five years et strange kind of woman, avec Gillan qui hurle et Blackmore qui suit à la gratte... ça marque!!
Après (10-11 ans), ça a été les Beatles bien sûr mais aussi Genesis : le live 73 et Nursery Crime, je les connais encore par coeur aujourd'hui.
78-80, je conchie la vague disco, me mets à Dylan, je passe mes aventures sur Hotel California, car je tiens à ma vie privée

Puis le hard rock, Iron Maiden surtout... que je ne peux plus voir en peinture!!!
Renaud, marche à l'ombre à 15 ans... où c'est qu'j'ai mis mon flingue... ben ça laisse des traces aussi... J'écrivais les paroles sur les tables du très chic Lycée Français de Barcelone (j'avais déménagé en Espagne entre temps). Textes que j'aménageais aussi de slogans de mai 68 que j'apprenais d'un bouquin que j'ai malheureusement perdu depuis.
Puis la "movida madrileña" vers 17-18 ans... pour moi le rock à l'époque, c'était en espagnol... où en français après avoir vu Téléphone à Barcelone... dans un pub avec moins de cent personnes... de la pure folie!!!
Bon, je continue plus tard, parce que là je sens que je commence à gaver grave...

worC



Peu de temps après un pote a eu une guitare pour son anniversaire. Il m'a invité chez lui pour me montrer sa pelle (une acoustique en bois de cagette, évidemment) et là, seconde claque. J'ai pas lâché sa guitare de l'après-midi. Mes doigts ont souffert ce jour-là mais bordel, c'était trop bon


Bon après je suis tombé totalement par hasard sur le live Everything Everything d'Underworld et re-nuits blanches, re-kiff total, procuration de la discographie (toujours à la recherche de certains trucs d'ailleurs), retombée dans le monde de l'electro, etc... Et je pense que ça se ressent dans ma musique. Bien que ce soit du metal, y'a souvent du pad ou des parties plânantes, un peu à la Devin Townsend et consorts...
Voilà


safred


(j'aimerai toujours beethoven et beaucoup d'autres
pour le rock,trois groupes découverts vers 72 .beatles, floyd et purple
jamais décroché depuis


flonflon zingueur

Vraiment une régalade
Pour ma part, difficile, ça pourrait faire un roman si je m'écoutais parler, tant mes premiers contacts avec la zique m'ont puissament impressionné.
J'en analyse à peine aujourd'hui toute la ...portée
Il y a vraiment un effet "magique" dans la musique qui dépasse les époques, les générations. Comme un ange sans nom qui vous chuchote à l'oreille cette réplique célèbre de "shining" : "viens jouer avec moi"
Vous avez à peine 10 ans et vous savez déjà que plus rien ne vous interressera plus que ça, vous prenez l'habitude de vous coucher avec une mélodie qui tourne en boucle.
Vous apprenez à relire dix fois le même chapitre d'un bouquin parcequ'une mélodie vous accapare.
Vous ne les supportez pas mais vous restez devant la télé noir et blanc des grands parents à mâter un Monty (pour ceux qui s'en souviennent) ou une M.Mathieu, à rechercher sous le strass ^les signes de ce virus qui a investi en silence votre quotidien.
Vos rêves, vos amours, votre job, vos weekends, tout devrait être lié à la musique
Et pour finir, vous consacrez vos nuits à vous rassurer, vous chercher une famille sur un site consacré à ce qu'on identifie depuis l'antiquité comme LE CHANT DES SIRENES
Jamais pu m'expliquer cette énergie sous-terraine qui tantôt me rapproche des autres, tantot me renvoie à un besoin de solitude et contre laquelle je n'ai à ce jour pu trouver aucun vaccin.
Un peu comme un language codé dont on connaitrait le vocabulaire mais dont on ne trouve jamais la clef
Ce soir j'écoutais une vieille interview de Reggiani. Comédien émérite et formidable chanteur, il évoquait en passant son métier : "ce n'est pas un métier, c'est un état"
On ne peut pas mieux dire

mike7


Ensuite a mes douze ans mon pere me ramena une vielle gratte accoustique d'un maché au puce, j'ai tout de suite accorché est par la suite je me suis acheter mes premiees grattes electriques.
Ca fait trois ans que je joue et sans iron maiden (ou mon pere


Merci iron maiden


Postillon

J'ai joué de l'harmonica enfant en rappel inconscient de l'harmonica que mon père m'avait apporté à la crèche une fois , père que je n'ai jamais revu et qui est mort maintenant ( recherche ) . Adulte j'ai mixé tout ça .
Concernant la voix c'est une autre histoire puisque : où étaient passées mes cordes vocales .

flonflon zingueur

Mon père allait de temps en temps s'éclater le dimanche après-midi sur un immense orgue dans une église dont il avait pu avoir les clef.
Il m'y emmenait parfois. A quatre pattes sous la banquette, je jouais avec mes mains les basses de la Toccata de Widor ou de Jésus que ma joie demeure de Bach.
Je surveillais les pieds de mon père en écoutant trembler les murs de l'église chaque fois que j'appuyais sur une pédale. J'avais 6 ou 7 ans.
C'est un souvenir qui ne m'a jamais lâché.
Malgré le fait que c'était un sacré païen, et un foutu fêtard jusqu'à ce qu'il en meurre, il s'est alors mis en tête de monter sa chorale, pour les grandes messes.
A la maison, en voiture, partout mon père nous faisait chanter mes frères et soeurs et moi. Mais pour la chorale, il a eu l'idée de me faire chanter en soliste. J'étais en pleine mue et j'étais rouge de honte quand mon père insistait pour que je reprenne ma voix haute. Je me trouvais ridicule et je détestais sortir de l'anonymat confortable du choeur. Avec le temps, et la voix qui changeait, j'ai fini par le désesperer et moi par me dégouter de chanter.
De son côté ma mère vouait une haine absolue à tout ce qui émanait de la musique religieuse, traditionnelle ou populaire de l'époque : elle s'achetait les premiers beatles, allait dans les cabarets écouter L.Ferré, E.Fitzgerald et J.Greco.
J'ai grandi dans un univers empli de musique mais totalement schysoprene.
Et puis ma tante a offert à mon grand frère pour ses 12 ans son premier 33tours, : J.Hendrix - Electric Laydyland ........... LA CLAQUE !
Je suis tombé amoureux du son, de la guitare folle, de l'exentricité et de l'exubérance
J'ai attendu d'avoir 15 ans, que mon père se barre sous d'autres latitudes pour me tirer du collège et m'offrir ma première casserole en faisant des petits jobs. Les Stones et led Zep avaient rejoint Hendrix dans mes obsessions, mais Moustaki et H.Aufray c'était quand-même plus facile, et puis ça suffisait pour frimer devant les copines.
Mon premier groupe : THE DECADENTS, en 70 , tout etait dans le titre
Depuis je n'ai jamais lâché la musique, guitariste en tous genres, bassiste à l'occasion, batteur avec d'autres. Mais il m'a fallu 25 ans pour retrouver l'envie de chanter devant quelqu'un et trouver le courage de me coller derrière un micro.
Aujourd'hui rien ne m'interesse autant.
Le comble : m'est arrivé d'écrire et de dirriger des choeurs dans un spectacle. Ca m'a fait bizarre : obligé de transcender quelques vieux souvenirs ...
Aujourd'hui je suis parfois troublé quand je m'écoute, j'y retrouve la voix de mon père. Peut-être est-ce ce que je recherche inconsciemment
Allez, fin de la séquence émotions



tweak


/vos-coups-de-coeur-musicaux/forums/t.279446,la-premiere-heure-emission-techno-house-etc-qui-s-en-souvient.html
Pour ma part c'est une émission de radio qui m'a fait accrocher aux musiques électroniques. D'ailleurs il y a bien longtemps que cette émission n'existe plus et que la grille des programmations ainsi que le style musicale de cette radio ont été revu pour ne laisser place qu'à des navets.
Néanmoins ça a été pour moi une grande claque. J'écoutais tous les soirs à partir de minuit, une heure d'électro sur un balladeur radio/cassette (non il n'y avait pas d'Ipod et de mp3 à cette époque!) avant de me lever le lendemain pour aller au collège.
J'ai acheté un graveur CD (un 2X sony que j'avais payé 3500francs alors que maintenant un 48X coute 20€) et j'ai fais mon éducation musicale à coups de Prodigy, Chemical Brothers et Fatboyslim.
Puis j'ai fait brulé ma chaine hifi vers 17, 18 ans car il y avait trop d'enceintes branchées dessus et j'ai racheté à la place de la sono et une table de mixage...etc...etc et des platines cd, des platines vinyls, un sampler, un synhté. Voilà je suis mordu! C'est trop tard.

roman66

Je tiens quand même à préciser que l'idée de vient pas de moi, mais de Maloryp.
sinon, pour ce qui est de mon père, qui était un sacré personnage, ben il chantait faux comme une casserole. Ma mère écoutait de temps en temps de la musique classique, et mes soeurs aujourd'hui se foutent pas mal de la musique. Je peux dire que ma passion pour la musique ne vient pas de mon éducation... ça a surgi comme ça. Et c'est pour ça que j'ai commencé très tard la musique, à 17 ansm avec une guitare pourrie et un bouquin d'accords de Beatles que j'avais acheté à l'époque.

maloryp


Citation : l'idée de vient pas de moi, mais de Maloryp
Oui mais c'est grâce à une question qu'a posé Postillon.Eh bah dis-donc, ça a fait mouche, tant mieux !!

Merci à tous de raconter votre "1ère fois", comment vous êtes tombés en amour, c'est super de voir toutes histoires si différentes et qui pourtant se ressemblent.



Je reviens du taf, donc je vais faire un p'tit somme et je rajoute ma p'tite contribution après.

mike7



maloryp

Le fameux flash m'est arrivé très tard.
J'ai des influences très modestes et classiques

En fait, j'aurais pu commencé la musique assez tôt si je l'avais voulu. Mes parents voyant que j'étais très rêveuse (la maîtresse s'était même inquiétée de ma santé auditive car, partie "dans la lune", je n'entendais parfois pas la sonnerie de la récré, tous les autres sortaient précipitamment et moi je restais assise dans la classe) et assez sensible, m'avaient proposé un jour de me payer des cours de musique, et du piano par exemple. J'avais à peu près 7-9 ans. Et je me souviens très bien de ce que j'ai pensé : au fond de moi-même l'idée me plaisait, mais je pensais que mes parents devraient acheter un piano, et j'imaginais le grand piano à queue qu'on voit à la télé, et que ça allait coûter plus cher que la maison ! Où allait-on le mettre dans le tout petit salon ? Et surtout comment mes parents allaient-ils pouvoir le payer ? Et un tel sacrifice reposerait sur mes épaules ? Alors j'ai dit non.
A l'école, je n'ai jamais eu de cours de musique. Au collège il y avait bien un créneau mais pas de prof, donc on faisait français à la place

Et puis un jour, à la fête de Noël au lycée (j'étais en première, je venais donc tout juste de fêter mes 16 ans), un groupe d'élèves devaient chanter Imagine de Lennon traduit en français (oui je sais quelle drôle d'idée ont eu les profs, du coup prus de vers, plus de rimes, bref un gâchis). Et il y avait une fille qui devaient les accompagner sur un piano électrique. J'étais placée pas loin derrière elle, et j'ai vu ses doigts bouger sur les touches blanches et noires, ça produisait de la musique, et tout ça à partir de ces "hiéroglyphes" sur le papier.

A partir de là, ça été très très vite. J'ai demandé à faire une photocopie de la partoche de la fille. Et puis je suis allée à la bibliothèque, j'ai emprunté un bouquin de solfège de base, et j'ai dévoré le bouquin. En 15 jours, le temps de rendre le livre, j'avais tout compris, je savais lire la partition. Je suppose que c'était dû à mon esprit plutôt scientifique, car le solfège et la notation musicale me semblaient aussi simples et logiques que des maths. Du coup, j'ai eu envie d'exécuter la partition sur les touches d'un piano. J'ai dégoté une grande planche de bois, j'ai dessiné dessus un clavier 88 touches en taille réelle, et je m'exerçais dessus, je jouais "Imagine" et j'entendais les notes dans ma tête. Quand j'y repense, ceux qui me voyaient faire ça ont dû pensé que j'étais folle


De là, j'ai eu comme vous tous quelques "claques dans la gueule", pourtant toujours assez modestes et classiques. Elton John (un pianiste forcément), Beethoven (en plus c'était l'époque de la sortie du film "Ludwig Van B." ), Michael Jackson (Off the wall et Thriller) et Earth Wind & Fire (petit goût pour un style funky). Je citerais aussi une unique chanson, elle aussi grande baffe, "Music" de John Miles. De ces derniers, j'ai développé un goût profond pour les orchestrations riches, les chansons aux thèmes nombreux, comme Live and let die.
J'ai découvert un nouveau jeu, décortiquer les chansons que j'aimais et écrire la partie de chaque instrument sur partition. Je peux vous dire que les touches du lecteur CD en ont souffert

En résumé, la musique est arrivée dans ma vie assez tard, et je m'y suis mise toute seule. Mais je ne le regrette pas, parce que finalement c'était MON choix, et à un âge où je savais que JE le voulais. En plus j'ai appris à ma manière, clé de sol et clé de fa en même temps, gros avantage par rapport à l'apprentissage en école.

maloryp


J'aurais ptèt' dû faire plus court


Anonyme


La musique c'était comme un style vestimentaire pour moi à l'époque. C'est encore un peu ça... et c'est le rêve de m'exprimer aussi bien qu'un oiseau qui siffle le fait.
Vers 15 ans je m'achète un clavier pour 300$, une fortune pour moi à l'époque, et un petit manuel de leçons de piano où j'y apprend une dizaine de musiques classiques simplifiées. Le rythme est un obstacle pour moi. Déja que je déteste les mathématiques, j'ai pas envie de compter quand je fais de la musique.
À 17 ans je me fais monter au moyen d'une grue une gros piano dans mon petit deux pièces et demi, j'adore ça mais je ne serai jamais un bon joueur. Je n'ai aucune discipline.
Je découvre donc l'ordinateur, mon frère en a un, il aime les programmes de musiques, c'est sous dos, on s'amuse parfois à composer des petits trucs. Avec windows 95 il me fait découvrir Studio 3 de Midisoft, là ça devient génial pour moi et nait cette hsbitude qui ne me quittera plus de passer des nuits entières, parfois des jours, à composer, à écrire des partitions, sur mon ordinateur, toujours en midi. Plus tard, mon frère, toujours le même, me parle d'un soft qui s'appelle cubase vst, il m'assure que je dois composer avec ce programme maintenant, je refuse... ça fait des années que je compose avec Studio 3, j'ai développé des habiletées et je ne veux pas changer. Puis il me fait découvrir Cubase SX !

La rencontre se poursuit...
Il faut que je précise que c'est mon frère qui m'a permis de composer, tout vient de lui et de sa passion pour cet univers de la création musicale. J'ai concrétement toujous utilisé ses outils pour composer. Il était capable de ne pas tout dépenser pour faire la fête, capable d'entretenir une passion. Ma reconaissance envers lui n'aura jamais de limite...

Anonyme

Citation : J'aurais ptèt' dû faire plus court
Mais non, c'est vraiment interessant ton parcours... tu as déja fais trop court, on sent vraiment toute la passion que tu as pour la musique !!! Et c'est un plaisir de te lire


Anonyme



maloryp




worC

Citation : j'ai fais mon éducation musicale à coups de Prodigy, Chemical Brothers et Fatboyslim.
Idem pour moi, sauf que c'est grâce à mes parents en fait. J'était tout petit et ils écoutaient ça en parallèle de U2, Simple Minds; à fond dans la baraque le dimanche aprem pendant qu'ils faisaient le ménage



Anonyme



C'est plutôt quelque chose comme ça que je cherchais


Anonyme



mike7

J'ai 15 ans et ca fait 3 ans que je joue sur des tablatures (je joue de la guitare) penseriez vous que ce serait une bnne idee ou au contraire que cela ne me servirais a rien ?

maloryp

Hors sujet : Citation : C'est plutôt quelque chose comme ça que je cherchais
J't'ai pas dit qu'en même temps d'être tombée sous le charme du piano au lycée, je suis tombée sous le charme de la pianiste ? Eh oui, mon pauv' vieux, c'est la vie ;)
Allez un pour la route, héhé
Citation : "pourquoi certains sont aussi sensible a la musique au point d'en faire leur passion?"
Bonne question, mais il me semble qu'elle est vaine.
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