Les pochettes qui tuent !

Zut; j'étais en train de refaire mon post.
Pas pour tricher mais pour le présenter proprement, sans "Edit"

D'façon j'étais dans les choux

C'est un point de vue que je ne partage pas. Adapter oui, faire des choix OK, mais trahir non. Je ne vois pas l'intérêt d'adapter un bouquin à l'écran si c'est pour faire n'importe-quoi. C'est juste une question de curseur, si le réalisateur ne se fixe pas de limite faut croire qu'il n'a pas aimé le bouquin.
Après je tiens le même discours pour les reprises en musique. Si ça n'a rien à voir avec l'original autant composer un nouveau morceau.

Oui, enfin, ce que je retiens du discours de Monsieur_FyP, c'est que le film n'est jamais indispensable au livre.

Après, pour les films, faut voir ce qu'on appelle "trahir". Si le film diffère sensiblement du bouquin, c'est sûr que ça peut être à la limite de l'honnêteté que de reprendre le même titre. On pourrait en choisir un autre et mentionner "inspiré de tel livre". Mais évidemment, commercialement, ce serait sans doute moins porteur. C'est une autre histoire..

Citation :

Après, pour les films (...).

Par divines pitiés multiplement sévères, cékoi c't'expression qu'on lit de partout et en travers !

Nous viendrait-il à l'esprit de commencer un post par : "avant, pour les films, faut voir ce qu'on appelle "trahir" (...) ..." ?

Ma consternation est générale. Elle ne vise pas sonicsnap, bien que susdit.

Hit ! > Dans mon idée, et dans ce cas, "après" est une simplification compréhensible de "après les considérations qui précèdent". Je ne pensais pas que ça posait problème..

« Après » en début de phrase est une forme orale récente, équivalant à « cela/ceci étant dit » ou « toutefois », ou simplement à « Mais après tout » dont elle est probablement l'ellipse ; on trouve d'ailleurs aussi la variante « Mais après » (« Mais après, moi j'm'en tape, hein. »).
Rarissime à l'écrit avant les années 2010.
Linguistiquement, on ne voit pas ce qu'on pourrait lui reprocher. Socialement non plus, à part de chatouiller les habitudes. Ce n'est pas plus pendable que les interjections ou formules adverbiales elliptiques, explétives, paradoxales et très courantes comme :
« Bien ! Passons aux choses sérieuses ! »
« Bon, je crois que c'est foutu… »
« Allez, viens ! »
« Allons, calmez vous… »
« Alors, quoi de neuf ? », etc.

Ou "wesh"