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Editorial du 6 mai 2017 : commentaires

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Sujet de la discussion Editorial du 6 mai 2017 : commentaires

3 jours de libres pour faire de la musique. 3 jours pour prendre les conseils du grand Michael Brauer, lire le test exclusif des nouveaux amplis Mustang de Fender, et celui de l’Idolmaker de Framus. 3 jours et plus de 50 logiciels à découvrir pour vous simplifier le mixage au quotidien. 3 jours et 2 bulletins de vote, 72 ans exactement après la fin de la vilaine guerre dont le souvenir comme les témoins s’effacent, et c’est bien dommage.

Sur ce, bons trois jours et à la semaine prochaine.

Los Teignos
From Ze AudioTeam

__________________________________________________________________________________
Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

2
La Musique qui marche au pas est-ce encore de la musique ? Définition : "La musique est l'art de combiner des sons de façon agréable à l'oreille" Peut-on accuser l'oreille ou ce grand vide entre l'oreille droite et l'oreille gauche ? La "Culture musicale" est trop souvent laissée entre des mains pas très propres aux intentions pas toujours avouées ! Faire du fric avec les émotions des autres c'est le nec plus ultra de l'ignoble.

Papy DJ

3
Maintenant que l'on sait que la tva n'augmentera pas de 2 pts comme on le pensait encore il y a peu, qu'est ce que je vais pouvoir m'en mettre de l'ampli Fender, de la guitare Framus, et du logiciel de mixage !

En plus comme nos boutiques et temples de la consommation seront «exceptionnellement ouverts le lundi 08 mai», je serais bête de ne pas en profiter.

On est reparti.
Comme en 40...
4
LT...moi jpeux pas vivre sans ton edito du samedi ,quoi alors!!! chuis triste,y'a pas d'edito..bon c'est vrai que le temps de regarder ces plug on a de quoi faire.Bon 3 jrs a tous!
5
Citation :
Faire du fric avec les émotions des autres c'est le nec plus ultra de l'ignoble.

Non, c'est le propre de tous les artistes, et pas que musiciens qui veulent vivre de leur art. Si un artiste n'accroche pas = pas de public. Pas de public = pas à manger.

Je vois que LT est resté très prudent à la veille de ces élections hystériques. Il me fait penser à ce que j'ai vu sur une affichette à Paris : "boycottons les élections, ni peste, ni choléra."

En ce qui concerne l'enseignement, moi, j'ai retenu une petite phrase dite un peu à la sauvette lors du débat du 3 mai. Macron veut mettre 12 élèves en CP. Très bien. Sauf que c'est en créant seulement 10000 postes supplémentaires. Vu tous les postes d'enseignants déjà supprimés, (80000 entre 2007 et 2012) https://leplus.nouvelobs.com/contribution/357513-sarkozy-et-l-education-entre-mepris-et-meconnaissance.htmlon est loin de revenir à un taux normal. Et le reste sera du redéploiement. Ça veut dire augmenter les effectifs des CE1, CE2, CM1 et CM2 qui sont déjà parfois à 30 par classe, et augmenter considérablement les classes à double voire triple niveaux pour mettre ces enseignants en CP.
Conséquence pour les professeurs d'éducation musicale comme moi qui ai la chance d'avoir une salle de musique dans mes trois écoles : réquisition pure et simple de toutes ces salles pour y mettre les CP dédoublés. Je me vois donc, manu (sans aucun jeu de mots, bien sûr) militari, repartir avec mes grelots et tambourins sous un bras, mon clavier portable de 12 kgs sous l'autre, mon lecteur CD sous un autre (bah oui, faut bien !) aller faire le troubadour de classe en classe comme il y a 50 ans ans quand l'effectif moyen (moyen ne veut pas dire réel) des classes était de 29 en 1964 https://fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01068/l-explosion-des-effectifs-scolaires-la-rentree-1964.html. Voir la photo réelle de 38 élèves sur cette photo de Doisneau en 1963 https://www.google.fr/search?q=photo+classe+doisneau&tbm=isch&imgil=wQfwl5WkraAIlM%253A%253Bpf8gtOc7TM8vvM%253Bhttp%25253A%25252F%25252Fcopainsdavant.linternaute.com%25252Fphoto%25252Fclasse-de-mme-forest-ecole-robert-doisneau-4023117&source=iu&pf=m&fir=wQfwl5WkraAIlM%253A%252Cpf8gtOc7TM8vvM%252C_&usg=__3VP-aYvajMFt62H2xFffqusO5so%3D&biw=1288&bih=925&ved=0ahUKEwjK-cXi3trTAhXOzRoKHW9uA0wQyjcIQw&ei=n3oNWYquE86ba-_cjeAE#imgrc=wQfwl5WkraAIlM: ! Je comprends mieux son slogan : la France en marche !
6
Michael je crois qu'il pensai aux mauvais artistespas aux profs.
7
Citation de pontchartrain :

En plus comme nos boutiques et temples de la consommation seront «exceptionnellement ouverts le lundi 08 mai», je serais bête de ne pas en profiter

le "exceptionnellement" devient, hélas, trop fréquent.
8
ouaip... oublier la seconde guerre.. mon arriere grand mere ne me reconnaissait plus mais se rappelait bien de la guerre.. ma grand mere decede me parlait de la resistance.ma derniere grand mere en vie n'a pas une journee sans qu'elle ne parle des allemands. moi je n'oublierais jamais le bataclan
9
Citation :
2 bulletins de vote, 72 ans exactement après la fin de la vilaine guerre dont le souvenir comme les témoins s’effacent, et c'est bien dommage


Là, tu en mérites un...

1897648.jpg

Je ne suis pas un "posteur-euse". Je suis un homme. Libre.

 

10
N'est ce pas merveilleux de se sentir piégé ??

Olivier

11
Me rendre...? Nenni, ma foi!
Normalement, il y a d'autres élections plus tard!
Enfin......si rien ne change(?).
12
Citation :
Myckaël, je crois qu'il pensait aux mauvais artistes pas aux profs.

Mauvais ou pas, un artiste a besoin des émotions de son auditoire pour subsister.
J'ai bien compris que les profs n'ont rien à voir là-dedans. C'est moi qui ai embrayé sur autre chose.
Nonobstant, je sens que tout le monde a déjà la gueule de bois avant même le résultat de demain.
13
Merci pour vos commentaires.

Splonge > Je plaide innocent. Cet édito arrive le 6 mai soit la veille de l'armistice officieux il y a 72 ans et deux jours avant l'armistice officiel. Étant né le 8 mai 74, je ne peux pas ne pas me rappeler chaque année que le jour férié où tombe mon anniversaire commémore la fin de 39-45. Et comme il y a beaucoup de similitude entre la France de 2017 et l'Allemagne des années 30, plutôt que de partir dans un édito casse-gueule sur le présent, il m'a semblé judicieux de m'en tenir à rappeler ce que l'on commémore. À chaque fois que je vote, je ne le fais pas par conviction mais par respect pour ceux qui ont lutté pour que j'ai ce droit. C'est encore en pensant à eux dont le souvenir effectivement s'efface car il n'y a quasiment plus de témoins de cette époque que je me rendrai au bureau de vote demain.

Quant à la briéveté de cet édito, elle s'explique autant par le fait que j'ai dû bosser très tard sur ma sélection de plug-ins sur le mixage que par le fait que dire peu de mots, c'est leur offrir une plus grande résonance. Et je voulais que l'histoire résonne en chacun de nous ce week-end.

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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

[ Dernière édition du message le 06/05/2017 à 14:03:35 ]

14
3 jours... ?
moins les taches quotidiennes, les enfants, les sorties... icon_facepalm.gif
15
LT,
je ne vois pas le lien, si tu en mets un, entre la fin de la 2e guerre mondiale et le droit de vote...
16
Cher Teignos,

Je ne te reproche en rien d'avoir une pensée pour la fin d'une très terrible guerre, je l'ai également à l'esprit. Je ne t'en veux pas davantage d'en suggérer les horreurs.

J'ai moi-même visité, il y une quinzaine d'années, Oradour-sur-Glane et j'en garde un souvenir d'autant plus meurtri que j'ai aussi habité le village d'une vallée martyre qui a subi un sort comparable - la croix formée du reste des poutres calcinées qui accueille le visiteur à l'entrée de la commune le lui rappelle sans répit.
Je suis allé à Tulle, en Corrèze, visiter le musée de la Résistance et j'y ai observé les photos qui témoignent de l'abjection nazie : le spectacle des pendaisons aux réverbères de la ville fait froid dans le dos.
Bref, je n'ai aucune espèce de sympathie pour ces assassins.

Pourtant, tu ne peux plaider innocent lorsque tu ne sépares que d'une virgule ce rappel historique et le choix que nous avons entre deux bulletins de vote. Tu indiques d'ailleurs que tu trouves dommage que la mémoire se perde, renseignant ton lecteur sur ton opinion : si ce souvenir n'était pas si fragile, nous n'aurions pas un tel choix au deuxième tour d'une élection présidentielle.
D'autres que moi l'ont bien compris, convoquant aussitôt tel documentaire en replay.

Je me permets donc deux remarques que tu méditeras peut-être :

1) Le parallèle entre notre temps et les années 30 n'est pas si évident que cela. Alain Finkielkraut, parmi d'autres, l'ont (sans doute pas) assez souligné ; en tout cas, si parallèle il y a, les racines de l'antisémitisme et de la haine ne sont peut-être pas là où tu sembles le suggérer (et comme tu sais que j'aime bien te partager ma bibliothèque, je fais ici référence au dernier ouvrage coordonné par Georges Bensoussan : "Une France soumise", Albin Michel). Un précédent commentaire ne se dit-il pas d'ailleurs avant tout marqué par le Bataclan ?

2) Certes le nazisme fut une plaie et tu sais qu'à sa suite, le communisme ne fut pas en reste. S'il est difficile de comparer les deux (parce qu'ils n'eurent pas la même responsabilité dans la seconde guerre mondiale, ne s'étalent pas sur la même durée ni ne concernent les mêmes territoires) le triste comparatif de leurs exactions est pourtant sans appel : le nazisme - pour tout abject qu'il fut, je le répète - fait figure d'amateur face au nombre des victimes communistes. Je ne m'en réjouis pas. Toutefois, Hitler représentera toujours davantage l'incarnation du Mal, Staline ou Mao jouissant d'un capital sympathie - ou, disons, d'une tolérance - bien supérieurs.

Pour ma part, c'est donc contre le totalitarisme que je me positionne, d'où qu'il vienne et quelle que soit l'idéologie qui le porte. Or, le totalitarisme qui menace aujourd'hui n'est en rien rappelé par le choix de second tour que nous avons, n'en déplaise aux sirènes de l'antifascisme qui hurlent depuis quelques semaines. J'ai été déçu que tu apportes ta contribution à ce concert, c'est tout. Je ne te retire donc pas ton point Godwin (mais je te fais quand même un bisou).

Je ne suis pas un "posteur-euse". Je suis un homme. Libre.

 

[ Dernière édition du message le 06/05/2017 à 16:33:23 ]

17
Citation :
Pour ma part, c'est donc contre le totalitarisme que je me positionne, d'où qu'il vienne et quelle que soit l'idéologie qui le porte. Or, le totalitarisme qui menace aujourd'hui n'est en rien rappelé par le choix de second tour que nous avons, n'en déplaise aux sirènes de l'antifascisme qui hurlent depuis quelques semaines.

Est-ce que l'ultra-libéralisme n'est pas aussi un totalitarisme économique ? Se faire manger de tous côtés par la mondialisation est-il préférable que de se faire manger par un seul côté ? Je ne suis vacciné ni contre la peste, ni contre le choléra. J'aurai donc l'un ou l'autre demain soir, et mon vote n'y changera rien.
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Citation de Los :
Merci pour vos commentaires.

Splonge > Je plaide innocent. Cet édito arrive le 6 mai soit la veille de l'armistice officieux il y a 72 ans et deux jours avant l'armistice officiel. Étant né le 8 mai 74, je ne peux pas ne pas me rappeler chaque année que le jour férié où tombe mon anniversaire commémore la fin de 39-45. Et comme il y a beaucoup de similitude entre la France de 2017 et l'Allemagne des années 30, plutôt que de partir dans un édito casse-gueule sur le présent, il m'a semblé judicieux de m'en tenir à rappeler ce que l'on commémore. À chaque fois que je vote, je ne le fais pas par conviction mais par respect pour ceux qui ont lutté pour que j'ai ce droit. C'est encore en pensant à eux dont le souvenir effectivement s'efface car il n'y a quasiment plus de témoins de cette époque que je me rendrai au bureau de vote demain.

Quant à la briéveté de cet édito, elle s'explique autant par le fait que j'ai dû bosser très tard sur ma sélection de plug-ins sur le mixage que par le fait que dire peu de mots, c'est leur offrir une plus grande résonance. Et je voulais que l'histoire résonne en chacun de nous ce week-end.


Effectivement les nazis qui écrasent nos enfants avec un camion sur la promenade des anglais, qui tuent des dessinateurs, qui tuent un couple de flics en pleine rue ou encore qui exterminent des spectateurs au Bataclan à coup d'AK47 nous rappellent avec une forte similitude ces mêmes nazis qui ont envahis la France à coup de char Tigre et de MG42.

Il semblerait que vous soyez nombreux à dénoncer une certaine xénophobie amenant 8 millions de personne à voter Lepen tout en oubliant de dénoncer les millions de fondamentalistes qui ne souhaitent que la destruction de l'Europe.

Cela étant se remémorant les heures sombres de cette foutue 2e guerre mondiale il y a avait malheureusement un nombre très important de collabos dont les descendants d'aujourd'hui sont atteints d'une maladie dont le symptôme principal est d'haïr son pays.

D'ailleurs le p'tit con pour lequel il s'apprêtent à voter en est le parfait représentant en affirmant haut et fort que la culture française n'existe pas.

Au final je ne vote pas car on me demande de choisir entre la haine des autres et la haine de soi, voilà à quoi nous sommes confrontés selon ce que j'observe de cette élection la plus minable que la France est connue et ce, toutes républiques confondues.

Ce qui serait bien par contre ça serait d'arrêter de nous sortir le couplet sur le racisme qui selon certains ici et ailleurs n'existerait que dans un sens. Tuer des innocents par des actes terroristes c'est l'aboutissement d'une logique de haine de l'autre, d'intolérance, soit exactement les fondations du racisme.

Merci de faire preuve d'un peu plus d'objectivité en mettant en exergue les deux côtés du miroir et ainsi de permettre de mieux cerner ce qui nous à amener à la situation d'aujourd'hui.
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Allons,
C'est l'heure d'aller ( re )écouter " Ebony and Ivory " de S. Wonder et P. McCartney!!!

   moi, j'ai pas d'blé mais j'ai du son...

20
... ou "Tourner les serviettes" de P. Sébastien.

Je ne suis pas un "posteur-euse". Je suis un homme. Libre.

 

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Ou l'ami Lavilliers
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Juste pour clarifier mon point de vue, je ne pense pas que le FN soit un parti de nazis, ni que Marine Lepen ait quoi que ce soit d'un Hitler en jupon. Pas plus que je ne pense, d'ailleurs, que les terroristes islamistes soient des nazis. Même ado, je n'ai jamais gueulé "CRS SS", parce que j'avais appris que les SS étaient des gens qui faisaient du savon avec des êtres humains, et que je ne crois pas qu'un CRS ait jamais fait ça.

Si je fais un parallèle entre l'Allemagne des années 30 et la France de 2017, c'est en pensant autant à ce qu'incarnent les deux candidats et parce qu'à la lecture attentive des tracts qui nous ont été envoyés lors du premier tour, j'ai été frappé de l'emploi du préfixe "re" dans la plupart d'entre eux : retrouver, restaurer, rétablir, etc. Bien au-delà des clivages politiques, il émane de notre classe politique comme de beaucoup de français la profonde nostalgie de ce que la France était et qu'elle n'est plus, avec un programme de restauration chez tous ; même quand on nous parle d'avenir, c'est dans la perspective d'y retrouver notre rang face aux autres nations. Et bien avant ces tracts, on peut trouver des traces de cette nostalgie dans le JT d'un Pernaud, dans les émissions d'une Karine Marchand, dans les multiples émissions culinaires qui nous sont proposées, dans les best of de Dechavanne. On sent que les français cherchent à se rassurer sur leur présent en cultivant les preuve d'un glorieux passé et qu'ils aspirent à ce que le France retrouve sa grandeur : celle du 19e siècle et du début du 20e, glorieuse époque où notre essor social se nourrissait du colonialisme, et sans doute au-delà, celle de Napoléon ou Louis XIV qu'on nous a tous appris à regarder avec admiration dès le plus jeune âge. Alors certes, les circonstances ne sont pas les mêmes et le déroulé des événements connaîtra quelques différences, mais les hommes ne sont pas différents sous les latitudes et ils n'ont pas changé à travers les millénaires. Et l'on sent que cette nostalgie, très semblable à celle du peuple allemand dans les années 30, est de celle qui mènent à toutes les dérives. De fait, il y aura des heures sombres que mon fils et moi-même connaîtront, et lorsque son enfant ou l'enfant de son enfant qui ne les a pas connues aura 60 ans, ils retournera aux mêmes idées qui refont surface actuellement et auxquelles certains s'accrochent vainement.

Je dis cela en étant de toutes façons persuadé de l'incapacité d'un peuple à forger son destin. L'histoire est seule aux commandes et quoi que les gens votent demain, le résultat ne sera pas très différent à la fin. Je dis cela en pensant que l'histoire n'est absolument pas un processus linéaire mais qu'elle est cyclique. Le progrès n'existe pas ailleurs que dans la taille et la couleur des cercles ainsi formés.

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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

[ Dernière édition du message le 06/05/2017 à 20:18:33 ]

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Moi, plutôt que de cercles, je verrais plutôt des spirales linéaires et zigzagantes, un peu à la manière de la chanson enfantine :
il était une fermière qui allait au marché
elle portait sur sa tête
trois pommes dans un panier
les pommes faisaient rouli-roula (bis)
stop (là, une petite jacquerie, petite ou grande révolution, semaine sanglante, 3 glorieuses ou mai 68)
3 pas en avant,
3 pas en arrière
3 pas sur l'côté
et 3 pas d'l'autre côté

il était une fermière...
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C'est malin : je l'ai dans la tête maintenant. :mdr:

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Citation :
On sent que les français cherchent à se rassurer

... à moins qu'ils n'estiment tout simplement que le droit à la continuité historique et culturelle n'est pas totalement absurde ? Relisons (t'as vu, moi aussi je joue du re- !) "L'identité malheureuse".

Je ne suis pas un "posteur-euse". Je suis un homme. Libre.