Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme


l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur


Anonyme

Désolé, j'avais pas suivi tes arguments. Je vais allez jeter un coup d’œil à tes inquiétudes.
J'ai bien peur que ces posts intéressants soient malheureusement trop dilués dans le flood, je ne les retrouve pas
[ Dernière édition du message le 25/05/2017 à 14:49:44 ]

Anonyme


Pour la faire courte : perso, une part tout sauf négligeable et allant crescendo de mes revenus, vient donc des droits d'auteur/compositeur reversés sur la sacem, en fonction des passages TV mais aussi radios.
En sachant que c'est grosso modo fixé en fonction du temps d'écoute à l'antenne, corrélé à l'audimat de mediametrie.
En somme, un passage à TF1 un dimanche à 19h59 rapporte un max, un passage sur france bleu locale en plein milieu de la nuit, pas des masses voire que dalle.
Or, pour moi et beaucoup de gens, mediametrie c'est de la totale fumisterie. Je doute plus que très fort que ça corresponde à l'audimat bien réel, et c'est donc totalement à l'avantage des ayants droits.
Bref, j'ai bel et bien peur que ça finisse par correpondre à la réalité du nombre des auditeurs/telespectateurs, comme pour les royalties internet, qui ne rapportent rien sauf aux très très très (très) gros artistes, souvent US d'ailleurs, car ils brassent sur toute la planète.
Parceque mediametrie, au final c'est un système de sondage, contrairement aux divers calculs sur internet, correspondant à des chiffres exacts et bien réels...

Anonyme

Rien n'empêche ceci dit à une société nouvelle de demander un agrément. En tout cas, le gars qui développe cette application, dans la journée, il fait un carton.
Désolé Youtou, je ne comprends pas tes arguments. J'arrive pas à savoir si tu juges bien ou pas de recevoir le juste calcul de ses droits ?
Pour moi, le plus gros problème vient du rapport de force entre société de collecte et diffuseurs de contenu. Une société nouvelle en attendant d'avoir une taille critique aurait peu de poids. Encore que comme, je viens de le dire, elle ferait un carton rapidement.
La meilleure solution serait qu'une société ayant déjà pignon sur rue s'y mette, mais la SACEM le souhaite-t-elle vraiment, la transparence ?
Ha oui ok, tu viens comme moi d'émettre des doutes sur la volonté de transparence des société de redistribution
Ca me semble justement être un argument de plus pour le succès d'une jeune start up

[ Dernière édition du message le 25/05/2017 à 15:15:37 ]

#Houba

Moi j'ai peur qu'un jour ça siffle la fin de la récré et des royalties délirantes versées par les grosses (et moins grosses) chaines TV).
Historiquement il n'y avait d'autre chaînes radio puis télé que les chaînes publiques. Chaînes d'ailleurs assez peu musicales. Les émissions de musique non stop c'est quelque chose d'assez récent. la principale émission musicale c'était le "Hit Parade" des ventes de disques. Ventes de disques qui n'étaient pas nécessairement provoquée par les radios. Il y avait une presse papier spécialisée. On allait chez son disquaire (il y en avait partout) et on demandait à écouter le disque dont on avait lu une bonne critique. Voire on le commandait sans l'avoir entendu!
A ce moment la sacem était en position de force. "vous voulez diffuser les œuvres de nos artistes, va falloir raquer" Aujourd'hui le rapport de force s'est inversé. Sans diffusion l'artiste n'existe pas.
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

#Houba

Je crois malheureusement, qu'un artiste ne puisse pas légalement réclamer ses droits d'auteurs sans passer par une société de collecte agréée.
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

Anonyme


D'ailleurs en s'engageant avec une société de gestion des droits, tu abandonnes inconditionnellement et contractuellement toutes revendications individuelles.
Mais comme, individuellement, tu peux rien demander...
Je parle pas de la pub générée sur Youtube par exemple, on est bien d'accord.
[ Dernière édition du message le 25/05/2017 à 16:00:24 ]

Anonyme

Elle défend son bifteck, la SACEM. "L'intérêt général"

Il faut savoir qu'en France la SACEM détient un monopole, instauré par la loi.
M'est d'avis que ça va pas tenir bien longtemps surtout si elle s'engage pas dans cette démarche de généralisation des algorithmes automatisés...
elle est de nature à permettre une gestion efficace de ces droits ainsi qu’un contrôle efficace de leur respect sur ce territoire
Ca, c'était la condition posée en 2014 par le juge européen pour caractériser l'intérêt général et tolérer le monopole.
[ Dernière édition du message le 25/05/2017 à 16:21:03 ]

2Rmusic

Facebook du Cercle d'Amy mon groupe de deux!
Et notre deezer : Le cercle d'Amy sur deezer

Anonyme


phoenix (was acapela)



2Rmusic


Bien entendu j'avais compris.
Facebook du Cercle d'Amy mon groupe de deux!
Et notre deezer : Le cercle d'Amy sur deezer

paradies

La principale émission musicale c'était le "Hit Parade" des ventes de disques.
Il faut savoir qu'en France la SACEM détient un monopole, instauré par la loi.
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 07/09/2017 à 18:08:10 ]

SJB

Et dans le même temps le groupe Canal ne verse plus les droits d'auteurs...
Ça me fait carrément halluciner.

Jimbass

Citation :Plus depuis le 1er juillet 2017Il faut savoir qu'en France la SACEM détient un monopole, instauré par la loi.
Ah ?
Du coup, il y a des alternatives ?
Musikmesser 2013 - Bullshit Gourous - Tocxic Instruments - festivals Foud'Rock, Metal Sphère et la Tour met les Watts

paradies

( Je dis voler dans les cas ou l'on vous fait croire que vous serez rémunérés en droits d'auteurs, et que donc on ne vou spaye rien à la commande. C'est un peu comme si un patron vous disait que vous serez payés en ASSEDIC une fois au chômage et que donc vous n'aurez pas de salaires)
Je trouve plus le mail le plus précis sur le sujet...il faudrait voir cette directive de 2014 ou l'ordonnance n° 2016-1823 du 22 décembre 2016....
https://www.legifrance.gouv.fr/eli/ordonnance/2016/12/22/MCCB1630425R/jo/texte
La Directive 2014/26/UE adoptée le 26 février 2014 par le Parlement européen et le Conseil concernant la gestion collective du droit d’auteur et des droits voisins et l’octroi de licences multiterritoriales de droits sur des œuvres musicales en vue de leur utilisation en ligne dans le marché intérieur a été transposée dans notre droit national par l’Ordonnance n° 2016-1823 du 22 décembre 2016 (ci-après, l’« Ordonnance »).
L’un des objectifs de la Directive est d’assurer et garantir la liberté des titulaires du droit d’auteur dans la gestion de leurs droits. Il doit ainsi être notamment permis à ces titulaires de droits de choisir entre gestion collective et gestion individuelle, de déterminer les droits ou catégories de droits qu’ils souhaitent apporter aux organismes de gestion collective, de définir les territoires concernés par ces apports, de retirer facilement leurs apports ainsi que d’octroyer des autorisations pour des utilisations ne donnant lieu à aucun avantage commercial.
Afin que cette liberté soit effective, elle doit être connue de tous les titulaires de droits.
C’est la raison pour laquelle il est fait obligation aux organismes de gestion collective d’informer des droits qui sont les leurs :
d’une part, les titulaires de droits qui souhaitent leur confier la gestion de leurs droits, avant d’obtenir leur consentement ;
d’autre part, les titulaires de droits qui étaient déjà membres à la date de publication de l’Ordonnance.
Ces droits étaient déjà très largement inscrits dans les Statuts et le Règlement général de la Sacem. Le présent message vise donc simplement à les rappeler et, le cas échéant, les compléter.
1/ Lorsqu’il décide d’adhérer à la Sacem, un titulaire de droits peut lui apporter tous ses droits ou limiter ses apports à une ou plusieurs des catégories de droits définies à l’article 34 des Statuts de la Sacem, ce pour tous les territoires ou pour certains territoires seulement (article 34-1 des Statuts). L’étendue de cet apport doit être précisée dans un document auquel ce titulaire de droits aura donné son consentement, y compris par voie électronique.
2/ Les conditions d’admission à la Sacem, fondées sur des critères objectifs, transparents et non discriminatoires, sont inscrites aux articles 1 à 16 du Règlement général.
Dès lors que ces conditions sont remplies, le Conseil d’administration admet le titulaire de droits à la Sacem. S’il décide de rejeter ou ajourner une demande d’admission pour des raisons objectives, il doit alors en informer le postulant par une décision écrite et motivée (article 2 du Règlement général).
3/ Nonobstant les apports effectués en application des Statuts de la Sacem, un Membre de cette dernière peut octroyer des autorisations d’exploitation de ses œuvres pour des utilisations ne donnant lieu à aucun avantage commercial, selon les modalités exposées par la Sacem sur son portail, dans l’espace réservé aux Membres (dans « Mon tableau de bord », cliquer sur « Gérer mes œuvres en Creative Commons » puis sur « Sélectionner des œuvres en Creative Commons ») (article 34-6 des Statuts).
4/ Un Membre de la Sacem peut, à tout moment et sans aucune restriction, procéder, avec effet à la fin de chaque année civile, au retrait de certaines catégories de droits apportées à la Sacem ou de toutes les catégories de droits apportées, ce pour tous les territoires ou pour certains territoires seulement, sous réserve du respect d’un préavis de 3 mois avant la fin de l’année civile concernée (article 34-2 des Statuts).
5/ Lorsqu’un Membre de la Sacem procède à un retrait d’apports, il conserve, s’agissant des redevances de droits d’auteur collectées par la Sacem au titre de l’exploitation de ses œuvres alors que ses droits étaient encore gérés par la Sacem, les droits suivants (article 34-4 des Statuts) :
- répartition dans les délais prévus à l’article 55 du Règlement général, soit :
au plus tard 9 mois à compter de la fin de l’exercice au cours duquel les droits provenant de l’exploitation des œuvres du répertoire de la Sacem ont été perçus auprès des exploitants, sauf motif légitime empêchant le respect de ce délai ;
lorsque les droits sont perçus pas un organisme de gestion collective ou un organisme de gestion indépendant avec lequel la Sacem a un accord de représentation, six mois à compter de la date à laquelle la Sacem a reçu les droits de cet organisme, sauf motif légitime empêchant le respect de ce délai ;
lorsque les droits sont perçus par la Sacem auprès d’exploitants de services en-ligne multiterritoriaux, au plus tard neuf mois à compter de la fin de l’exercice au cours duquel la Sacem a reçu les informations relatives à l’utilisation des œuvres de son répertoire, sauf pour des causes imputables à ces exploitants.
- communication, à chaque répartition, des informations visées aux articles R. 321-11-II et R. 321-16-I du Code de la propriété intellectuelle à compter du 1er juillet 2018 (article 55 du Règlement général) ;
- communication, en réponse à une demande dûment justifiée, par voie électronique et dans un délai n’excédant pas un mois, des informations suivantes : œuvres représentées par la Sacem, les droits gérés et les territoires concernés ;
- application aux sommes qui lui sont réparties de frais de gestion justifiés au regard des services qui lui sont rendus et n’excédant pas les coûts justifiés supportés par la Sacem pour la gestion des droits qui lui sont confiés (article 8 des Statuts) ;
- accès à la liste des œuvres pour lesquelles la Sacem n’a pas réussi à identifier ou localiser un ou plusieurs titulaires de droits dans les délais de répartition prévus à l’article 55 du Règlement général en même temps que les Membres de la Sacem, soit au plus tard 3 mois après l’expiration des délais susmentionnés ;
Pour mémoire, il est possible d’accéder à cette liste sur le portail de la Sacem, dans l’espace réservé aux Membres (dans « Mon tableau de bord », cliquer sur « Consulter les œuvres non identifiées »).
- accès aux œuvres sociales et culturelles prévues par la Sacem (article 33 des Statuts) ;
- possibilité de soumettre à la Direction chargée des relations avec les sociétaires toute contestation relative aux conditions d’admission, aux apports, aux retraits partiels d’apports, aux démissions, à leurs effets ainsi qu’à la gestion des droits apportés à la Sacem, dans les délais et conditions prévus à l’article 32bis du Règlement général.
Pour toute information complémentaire : info.apports@sacem.fr
La Sacem
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 07/09/2017 à 19:29:53 ]

Anonyme

Et dans le même temps le groupe Canal ne verse plus les droits d'auteurs... que fait le CSA? Que dalle. C'est du pillage organisé par l'état.
Le CSA ou l'état n'ont pas grand chose à voir là dedans.
Sinon, un procès est en cours entre Sacem et C+, hein, la sacem réclamant le paiement d'un arriéré de....50 millions d'€.
En France on avait les Carpentiers, le Sacha show et tout un tas d'émissions avec des orchestres complets en live, des arrangements originaux pour les dites émissions, donc des arrangeurs payés pour l'occasion et des copistes qui préparaient les partoches. Il y avait BEAUCOUP de boulot pour les musiciens en TV. En plus des royalties pour les compositeurs, il y avait des interprètes et des droits d'interprètes aussi...sans parler des chorégraphes et danseurs. (Pas des stripteaseuses qui bougent leur derrière pour exciter la galerie comme sur les clips de MTV ou dans les pseudos émissions de variétés de maintenant)
ouin ouin rage rage c'était mieux avant ouin ouin rage rage.
En vrai, à la TV/radio les droits d'interprétes ont toujours été relativement minimes, sauf à cumuler des heures et des heures dans des grosses radios ou TV.
Et en terme de droits TV/radios, ça a explosé ces dernières années pour pas mal de monde, pas besoin de remonter à Sacha Distel....


#Houba

Déjà aujourd'hui ces majors bénéficient d'un quasi monopole dans les grands médias, par pression sur les programmateurs eux-mêmes sous pression du marketing (rentrées publicitaires) Du style vous programmez untel, artiste émergent que nous poussons, ou nous refusons que vous diffusiez nos têtes d'affiche. Avec par exemple des forfaits négociés de droits pour leurs auteurs (et la facilité de gestion qui en découle) ils seraient encore plus en position de force.
Ex-producteur retraité de la musique en 2016

paradies

Ravi si tu en touches, des droits mon cher youtou... je me rappel que je ne suis jamais d'accord avec toi ni si le matos ni sur le business...Et que ton ton à l'humour qui peut sembler méprisant m'a toujours déplu...par contre d'accord avec toi sur certain de tes posts politiques, comme quoi haha
Pour ce qui est des droits minimes en radio TV, je connais suffisement de gens qui se sont payés des barraques avec leur droits "minimes" pour te contredire, et pour avoir touché des droits TF1 entre autres je peux dire que ça compensais correctement le fait qu'on était pas payés pour la livraison...Bien sur peut être toutou est il un de ces privilégiés qui considèrent que si y a pas quatre zeros derriere un chiffre, c'est "minime". Youtou dis que ça a explosé pour pas mal de monde..; pour qui? chiffres, noms, contexte ? ...?
Quand à l'arriéré que réclame la SACEM, U2 semble se moquer de ceux qui attendent après ça pour payer leur factures, qui ont travaillés des mois pour livrer leur musique, sans avoir un centime, vu qu'on leur avait promis un paiement en droit d'auteur....ça c'est une des réalités du boulot.
Le CSA ou l'état n'ont pas grand chose à voir là dedans.
PS merci à EPE be qui es toujours précis dans ces interventions, courtois dans son ton, et dont les avis son toujours intéressant...
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 07/09/2017 à 22:02:35 ]

Anonyme

Quand à l'arriéré que réclame la SACEM, U2 semble se moquer de ceux qui attendent après ça pour payer leur factures, qui ont travaillés des mois pour livrer leur musique, sans avoir un centime, vu qu'on leur avait promis un paiement en droit d'auteur....ça c'est une des réalités du boulot.
Hein ? Mais qu'est ce que tu racontes ?
.L'état ne devrais pas non plus s'occuper de la santé, de l'éducation et de la justice : l'état ne sert à rien.
Rien à voir avec la choucroute.
Par ailleurs tu sembles avoir un contentieux avec moi, sorry mais je te remets pas du tout, ton pseudo ne me dit absolument rien...

paradies

Citation :Non youtou, on a le droit de pas être d'accord, on est tout les deux un peu vif dasn nos propos peut être, mais j'aime bien rencontrer des avis contraires, c'est comme ça qu'on avance, pas de problème, et pas de contentieux! N'hésites pas à citer des exemples qui me contredisent si tu as des témoignages: tout est interessant! !ar ailleurs tu sembles avoir un contentieux avec moi, sorry mais je te remets pas du tout, ton pseudo ne me dit absolument rien...
qui ont travaillés des mois pour livrer leur musique, sans avoir un centime, vu qu'on leur avait promis un paiement en droit d'auteur....ça c'est une des réalités du boulot.
Hein ? Mais qu'est ce que tu racontes ?
Il arrive fréquement, (mais pas toujours je l'admets) que des prods proposent à des compositeurs un "accord" qui consiste à ne pas être payé à la commande, ne pas être payé pour la fabrication de la musique ni pour sa livraison. En principe, la moitié des droits sont en outre pérçus par l'éditeur, qui est parfois une branche édition de la prod, et le compositeur n'a comme seule rémunération que les 50% de droits d'auteurs, si le programme n'est pas déprogrammé, si il est correctement déclaré par l'éditeur, et la rémuneration peut évoluer si le film/docu/programme audiovisuel n'est pas diffusé sur la chaine phare du groupe mais déplacé à une de ses petites chaines, à un horaire ou la pub paie peu, c'est cuit.... Donc dans ces cas là, les compositeurs ne recevant pas les droits du groupe canal ne sont tout simplement pas payés. Il faut ajouter le décalage entre la livraison de la musique, la diffusion, et la date de traitement des royalties par la SACEM : il peut s'écouler un an avant de toucher un centime. C'est dans ce contexte que je situais le problème. Ce n'est pas pour dédouaner la SACEM de ses dis-fonctionnements. Il y a bien sur des commandes ou le compositeur touche une "avance" ou dispose d'un budget. Dans ce cas, l'impact est moins ennuyeux. Mais dans des cas, et non des moindres, il y a ce type de "contrat". 5 j eveux pas citer de noms de prods, mais ce en sont pas que des courts métrages, pour lesquels on comprend qu'il n y a pas de trop de sous

Sur ce Bonne Choucroute !
Je quitte audiofanzine tant qu'ils pratiqueront l'écriture inclusive.
[ Dernière édition du message le 09/09/2017 à 20:39:32 ]

crossroads


Anonyme

Quelqu'un ici a déjà touché quoique ce soit originaire de youtube (par le biais des droits d'auteurs je veux dire,a monétisation des vues osef) ?
Même pour les grosses grosses stars US, il semble que ça soit peanuts, même si dans ce cas la monétisation des vues pallie au manqueà gagner (bien que là aussi ça soit pas Byzance)
[ Dernière édition du message le 15/11/2017 à 20:11:04 ]

the bubble

la monétisation ça ne sert à rien pour des indés qui se lancent.
[ Dernière édition du message le 16/11/2017 à 11:18:51 ]

Anonyme

Quelque qui va utiliser notre musique, sans qu'on ait rien à y voir, pour la passer sur les radios ou TV, dans un générique, une émission, autre, bah on touche une juste rétribution en tant qu'auteur.
Quelqu'un utilisant une zik qu'on a faite pour un truc identique sur le tube, même avec 50 millions de vues on aura 0+0=0.
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