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Test de Virtual Guitarist 2 - Vertueux Guitariste

9/10

8 Go de guitares acoustiques et électriques permettant de réaliser des accompagnements personnels dans plus de 80 styles musicaux, un éditeur de phrase sophistiqué, le tout complété d’un rack d’effet, voilà le nouveau guitariste que nous présente aujourd’hui Steinberg. Une excellente occasion d’aller lui serrer la pince…

8 Go de guitares acous­tiques et élec­triques permet­tant de réali­ser des accom­pa­gne­ments person­nels dans plus de 80 styles musi­caux, un éditeur de phrase sophis­tiqué, le tout complété d’un rack d’ef­fet, voilà le nouveau guita­riste que nous présente aujour­d’hui Stein­berg. Une excel­lente occa­sion d’al­ler lui serrer la pince…

boite

Évidem­ment, vous êtes proba­ble­ment trop jeunes pour vous en souve­nir, mais pour­tant, à l’aube des premières années de ce nouveau millé­naire, Stein­berg s’était distin­gué en lançant une première offen­sive sur le front de la 6 cordes virtuelle. Il était jusqu’alors tota­le­ment incon­ce­vable de s’y attaquer, car ce qui était arrivé aux batteurs depuis de longues années déjà, à savoir se faire pure­ment et simple­ment trans­for­mer en puce, parais­sait impos­sible pour nos amis guita­ristes. Il faut dire qu’il ne semblait pas aussi évident de mettre en boîte une ryth­mique de 12 cordes, avec toutes ses subti­li­tés et ses réso­nances, que le bruit de la batte sur une peau de grosse caisse. Soit !

Pour­tant, dès la première tenta­tive de papa Cubase, qui arri­vait avec ses gros sabots en la personne de Virtual Guita­rist 1 et de Virtual Guita­rist Elec­tric Edition, on avait vu une levée de rires jaunes, de plus en plus impor­tante au fur et à mesure que le soft était employé non seule­ment avec une fréquence crois­sante dans des produc­tions très sérieuses, mais en plus, comble du comble, par des grat­teux de métier qui l’uti­li­saient pour coucher rapi­de­ment des pistes de ryth­miques qu’ils quali­fiaient eux-mêmes de suffi­santes pour la plupart des projets. Cela leur évitait ainsi d’avoir à descendre 5 étages avec le Marshall, ou plus simple­ment, d’avoir à instal­ler un micro !

C’est donc 5 ans plus tard, et pas plus tard qu’aujour­d’hui, que le petit prodige revient en version 2, avec de nouveaux styles de jeu et de nouvelles fonc­tions d’édi­tion censées boos­ter ce plug et le propul­ser au top niveau du sampling de guitare. Voyons donc un peu de quoi il retourne, et si le pari tant osé de l’édi­teur alle­mand est toujours tenu, malgré les nombreuses avan­cées tech­no­lo­giques en matière de sampling…

On emmé­na­ge…

syncrosoft

On ne s’ap­pelle pas Stein­berg pour des prunes, et l’on sait vous amadouer avec un programme de mise en route simple et effi­cace. Grâce aux DVD double couche fourni ici, tout tient sur une seule galette et l’on n’aura pas besoin de rester scot­ché devant la tour pour chan­ger de disque, nouvelle d’au­tant meilleure que c’est quand même assez long, cette affaire ! Enfin, bon, ça l’est quand même toujours moins que d’at­tendre son grat­teux qui est parti cher­cher sa copine qui s’est pas réveillée, au RER qui est en grève, et qui n’a pas trouvé de tabac en reve­nant…

Ainsi, au départ, l’ins­tal­la­teur permet de choi­sir les éléments à instal­ler (plug-in VST, DXi ou AU) ainsi que l’em­pla­ce­ment de la banque de son, toujours pratique pour ceux qui possèdent un disque C bourré à craquer et ne recu­le­ront mora­le­ment pas une seconde devant le choix poli­tique d’exi­ler ces tout de même presque 8 Go de popu­la­tion sampli­tu­di­nale dans l’obs­cure Sibé­rie d’un disque externe, ou complé­men­taire. Voilà, on coche 2, 3 cases, on browse un petit coup et l’on peut aller se faire une orange pres­sée pour se calmer le temps que la bonne confi­ture numé­rique dégou­line sur la tartine. On en a en gros pour 20 minutes, mais en même temps, on est content, car on vient d’ap­prendre que le soft est compa­tible Rewire (et par exemple les heureux, mais néan­moins un peu coupés du monde, utili­sa­teurs de Reason pour­ront en profi­ter de la manière la plus débri­dée), mais qu’il peut aussi tour­ner en Stand Alone, pour ceux que cela pour­rait inté­res­ser…

La douane

Pendant que le DVD drive ronronne paisi­ble­ment, et si vous avez fini votre jus d’orange, vous pouvez toujours en profi­ter pour accom­plir les indis­pen­sables forma­li­tés d’au­to­ri­sa­tion du soft. Il vous faut pour cela une connexion Inter­net, un port USB et une clé Syncro­soft, qui vous servira de dongle chaque fois et partout où vous dési­re­rez utili­ser le programme. Si vous êtes un bleu-bite dans le merveilleux monde virtuel de Stein­berg, et que donc vous n’avez pas encore de clé, sachez qu’il vous faudra l’ache­ter en plus du soft, pour la modique somme d’en­vi­ron 30 euros. Bon, ce n’est pas la mer à boire, d’au­tant qu’en­suite, elle vous permet­tra d’au­to­ri­ser tous vos autres éven­tuels programmes de l’édi­teur : quand j’achète une fois c’est pour toujours ! A partir de là, rien de plus simple, on branche ce fameux stick anti­co­pie (je ne vous refais pas le coup du spliff…), et le petit programme de Syncro­soft fourni nous obtient direc­te­ment l’au­to­ri­sa­tion par le Web. Merci beau­coup de nous éviter le formu­laire inter­mi­nable qui t’oblige à aller cher­cher ton livret de famille pour pouvoir le remplir : il suffit ici de donner le numéro de série de la copie et c’est marre, cool !

Du cris­tal pur…

Ça y est, c’est enfin parti, ce n’est pas trop tôt, mais vous allez voir, fran­che­ment, ça valait le coup ! Parce que bien sûr, les 2 premières versions du bousin nous avaient pas mal esbrou­fés, c’est vrai. Mais là, on flotte carré­ment dans l’hy­per­bo­lique défrag­menté, dans le pur cosmos de la gratte qui débarque dans ta piaule comme un pote tchét­chène qui s’est fait virer de son hôtel de Barbès. Du bien réel, avec des grosses valises de groove et un son énorme pour tous (oui, oui…) les presets. Fran­che­ment, côté réali­sa­tion, l’équipe du pépère teuton s’est vrai­ment lâchée. Que ce soit pour les folks, les nylons, les 12 cordes, et toute la bande d’élec­triques en folie, de la cocotte funky à la disto plus épaisse qu’une purée en flocon prépa­rée avec du mercure et plus méphi­tique qu’une grena­dine diluée avec du Destop, c’est du zbouba dans ta face et sans latence ! On presse la touche du clavier, et on a comme l’im­pres­sion que la guitare ou l’am­pli est juste à côté, télé­porté d’un simple petit coup de note midi, tant les diffé­rents styles  propo­sés sont convain­cants.

interface

Et côté style juste­ment, on retrouve bien entendu la cinquan­taine de presets qui avait fait le succès des premières versions, augmen­tés d’une tren­taine de nouveaux venus, élar­gis­sant la palette dans des direc­tions légè­re­ment plus world que les très clas­siques ryth­miques d’ori­gine. Désor­mais, outre le rock, le pop, le folk, le métal, le hard, le funk, le blues et le jazz, on dispose de toute une pano­plie de nouveaux grooves allant des ryth­miques gypsy aux pompes big band, en passant par de nouveaux riffs heavy, des swings boogie, des ambiances de Dobro, des tour­ne­ries de Wah-wah démo­niaques, des arpèges nylons, et autres variantes indies décli­nées dans toutes les langues de l’ac­com­pa­gne­ment crun­chy. C’est donc un voyage ency­clo­pé­dique pour lequel on part d’au­tant plus faci­le­ment que le soft propose désor­mais un mode preview qui permet de goûter à chaque style sans avoir à le char­ger en mémoire. En bref, que du très bon, suffi­sam­ment travaillé pour être crédible, mais aussi suffi­sam­ment neutre pour pouvoir s’in­sé­rer faci­le­ment dans toutes sortes de projets.

Comment on joue ?

Rangez vos média­tors, car si c’est en sciant que Léonard de Vinci, c’est en cliquant que vos riffs pren­dront vie! Ou encore, c’est en piano­tant sur les touches du clavier que vous obtien­drez cette avalanche de ryth­miques que nous propose cette nouvelle version, dont le moteur audio a été complè­te­ment rema­nié, sur le modèle de Virtual Bassist. En effet, si la partie droite du clavier est toujours utili­sée pour déclen­cher les diffé­rents types d’ac­cords dont on a besoin, la partie gauche sert à faire varier en temps réel les diffé­rents patterns propo­sés pour chaque style. Cela s’avère beau­coup plus pratique que la gestion des variantes de l’an­cien menu dérou­lant, qui obli­geait une program­ma­tion en plusieurs étapes, et l’on peut désor­mais, avec un peu d’ha­bi­tude, enre­gis­trer en direct live et du premier coup, une piste complète de ryth­mique, avec plusieurs phra­sés, des breaks, des fills, des stops, des percus­sions sur le corps de la guitare, des bruits d’ar­rêt… De plus, on constate ici tout de suite que la préci­sion des tran­si­tions, qui lais­sait fort à dési­rer sur les premières versions du soft, anti­ci­pant ou retar­dant péni­ble­ment les chan­ge­ments harmo­niques sur certains styles, est désor­mais parfai­te­ment opti­mi­sée, grâce notam­ment à un sélec­teur de quan­ti­sa­tion de passage d’ac­cord, permet­tant une sensi­bi­lité allant de la simple croche à la mesure complète.

Les accords

setup

C’est juste­ment au niveau des accords que l’on constate une autre amélio­ra­tion sensible de la flui­dité de Virtual Guita­rist. En effet, si de nombreux styles ne permet­taient souvent que de jouer sur une grille harmo­nique fort restreinte (3 ou 4 accords), on dispose désor­mais d’une palette très large qui permet un travail beau­coup plus souple et réaliste. Ainsi, on dispose d’une quin­zaine d’ac­cords, compre­nant les 7, les maj7, les 5 aug, les 5b, les m7b5, les dim, les sus2, et les sus4 pour la plupart des styles qui en ont un réel besoin. Bien entendu, cette liste se voit restreinte pour certains accom­pa­gne­ments, comme les cocottes, les ryth­miques percus­sives ou encore les power chords de heavy. Cepen­dant, pour éviter de trop longs temps de char­ge­ment et une utili­sa­tion inutile de la RAM, une option permet de passer en mode écono­mique (où seuls les accords usuels sont char­gés), en mode moyen, ou en mode XXL, selon les besoins de chaque projet : bien vu !

Malaxez-moi…

Outre les varia­tions jouées réel­le­ment par les guita­ristes, on peut égale­ment appliquer aux grooves de bases de nombreuses varia­tions auto­ma­tiques, grâce à l’in­croyable souplesse du moteur audio qui s’ap­puie sur le concept des slices. Ainsi, parmi les réglages les plus directs, on dispose d’un sélec­teur permet­tant de multi­plier ou divi­ser par 2 la vitesse rela­tive de la ryth­mique par rapport au tempo de réfé­rence du séquen­ceur hôte, et de plusieurs potards auto­ri­sant de varier la durée de réso­nance des notes, la réponse dyna­mique à l’in­té­rieur des phra­sés, la présence (augmen­ta­tion des fréquences medium-aigues), la mise en place (plus ou moins flot­tante), la largeur stéréo ou le shuffle (on y revien­dra avec le Groo­ve­Match). Des sélec­teurs permettent égale­ment de géné­rer un doublage auto­ma­tique de piste, d’en­clen­cher le mode Latch (une note enfon­cée conti­nue de jouer jusqu’à la prochaine) et enfin de géné­rer un bruit de frette arti­fi­ciel pour faire plus comme dans la vraie vie. Si cepen­dant cela s’avère insuf­fi­sant pour le démon de Midi que vous êtes, alors accro­chez vos cein­tures, car VG2 vous a réservé encore 2 bonnes surprises, dans la page Riff…

Editeur de riffs

Celle-ci, toute nouvelle, permet en effet de trans­for­mer manuel­le­ment chaque note ou accord de chaque riff ou ryth­mique propo­sés. Grâce à une inter­face graphique dans la tradi­tion du célèbre Melo­dyne, on visua­lise les formes d’onde sur une table permet­tant, sur l’axe hori­zon­tal, de dépla­cer ryth­mique­ment chaque slice, et sur l’axe verti­cal, d’en chan­ger la hauteur. On dispose en outre d’une petite palette d’ou­tils qui permet d’ajou­ter ou de suppri­mer des slices, et d’en régler le volume et la longueur. En bref, il permet non seule­ment d’adap­ter chaque variante d’un style à n’im­porte quel projet, mais aussi de compo­ser ses propres ryth­miques à partir du maté­riau d’ori­gine avec une sauce entiè­re­ment origi­nale. Bien entendu, toutes ces éditions pour­ront être sauve­gar­dées pour être utili­sées dans d’autres aven­tures.

Groo­ve­Match

editeur riff et groove

Si vous n’êtes cepen­dant pas encore convain­cus de la mise en place de votre guita­riste, la page riff propose une seconde fenêtre dédiée au Groo­ve­match. Cet outil de désin­té­gra­tion ryth­mique est une nouveauté inté­res­sante de la version 2. Il permet en effet d’agir sur la quan­ti­sa­tion des slices de façon globale pour orien­ter le swing de diffé­rentes manières. Tout d’abord, pour faire vite, on peut ternai­ri­ser la pulse selon 3 valeurs ryth­miques, à la double, à la croche ou à la noire. Par exemple, si l’on choi­sit la croche, ce seront les croches à contre temps qui seront rappro­chées des croches sur le temps. Un potard labé­lisé Depth permet ensuite de préci­ser avec quelle inten­sité cette croche sera rappro­chée, offrant ainsi une grande souplesse pour créer rapi­de­ment des feelings person­nels. On peut aussi dépla­cer à la souris les petits marqueurs indiquant la posi­tion ryth­mique des slices, si l’on veut entrer dans les détails.

Mais le plus sympa, c’est sans doute la fonc­tion « From Midi », qui permet de caler auto­ma­tique­ment le rythme de la guitare sur un pattern de batte­rie, de clavier, ou de n’im­porte quoi… Le fonc­tion­ne­ment est rigolo, mais pas évident à comprendre au départ à cause du manque d’ex­pli­ca­tions de la notice bizar­re­ment presque muette sur cet outil. Il s’agit en effet de faire jouer une séquence Midi sur la piste de Virtual Guita­rist 2, ce qui n’ira pas sans géné­rer un gros port’­na­wak si l’on utilise par exemple un groove de drums, mais qui permet­tra néan­moins au soft de repé­rer les attaques de la séquence, qui appa­rai­tront progres­si­ve­ment sous la forme de petits peaks au milieu des markers. Ensuite, on pourra dépla­cer ces derniers à la main si l’on veut n’en caler que certains, ou sortir du mode « From Midi », ce qui aura pour effet de les caler tous d’un coup. Un régal ! Enfin, si l’on préfère s’en tenir au groove d’ori­gine, une fonc­tion Reset permet­tra de faire faci­le­ment machine arrière.

FX!

effets

Enfin, lorsque vous avez enfin concocté le riff de la mort qui tue, au millio­nième de double croche près, il vous est encore possible d’en extraire des millions de combi­nai­son, grâce au rack d’ef­fet que nous propose le soft. Celui-ci contient tous les grands clas­siques du genre : égali­seur, pédale Wah-wah jouable en temps réel (notons ici que cette nouvelle version du plug propose un mode midi Learn qui permet d’as­si­gner en un seul clic n’im­porte quel contrô­leur externe à la presque tota­lité des para­mètres d’édi­tion du programme), phaser, chorus, bitcru­sher, flan­ger, detu­ner, tremolo, delay, ainsi qu’un bonne réverbe de derrière les fagots spécia­le­ment conçue pour la guitare.

Outre ces effets très spéciaux, VG2 propose la modé­li­sa­tion de 3 types de têtes d’am­pli (tube, tran­sis­tor, ou recti­fier), ainsi que de 4 haut-parleurs :1 × 12’’, 2 × 12’’, 4 × 12’’ et Radio (son pourri garanti !). De plus 2 types de micro (conden­sa­teur ou dyna­mique) posi­tion­nables en axe ou perpen­di­cu­laire à l’am­pli sont égale­ment dispo. Si avec tout ça vous ne trou­vez pas la combi­nai­son qu’il vous faut, il ne vous reste vrai­ment plus qu’à sortir la râpe et l’ac­cor­deur. Mais même dans ce cas, vous pour­rez encore vous servir de votre soft, puisque la partie FX est débrayable de l’en­semble et peut être char­gée dans n’im­porte quel slot d’ef­fet VST de votre séquen­ceur.

Voici quelques exemples audio avec des noms évoca­teurs :

brit­pop
00:0000:04
  • brit­pop 00:04
  • boogie 00:04
  • blues 00:04
  • bigband 00:04
  • ballad 00:04
  • arpege 00:04
  • 12corde 00:04
  • wahwah 00:04
  • wah2 00:04
  • trance 00:04
  • tradi 00:04
  • stone 00:04
  • riff­funky 00:04
  • riff 00:04
  • power­pop 00:04
  • pig 00:04
  • pickin 00:04
  • nuriff 00:04
  • muted 00:04
  • mando­lin 00:04
  • lights­trum­min 00:04
  • heavy 00:04
  • hard 00:04
  • gypsy 00:04
  • getfunky 00:04
  • dark16 00:04
  • cocot 00:04

Conclu­sion

On ne s’en lasse pas ! Et plus on se ballade dans la jungle de ses presets, plus on se convainc que Virtual Guita­rist 2 enfonce le clou pour­tant déjà saignant des versions ances­trales. Des sono­ri­tés réalistes, enre­gis­trées avec brio, des grooves effi­caces, faci­le­ment utili­sables, joués avec feeling, une souplesse hallu­ci­nante du moteur audio, des fonc­tions d’édi­tions chirur­gi­cales, peu de consom­ma­tion des ressources  proces­seur… C’est sans aucun doute un soft qui rendra de grands services à tous les home-studistes soucieux de coucher de jolies ryth­miques de grattes sur leurs produc­tions sans avoir à se prendre la tête avec l’en­re­gis­tre­ment d’une vraie guitare. Bon, évidem­ment, c’est toujours pareil, une machine a toujours ses limites, et l’on pourra repro­cher le manque de quelques accords supplé­men­taires, plus sophis­tiqués, ou encore le côté un peu figé de certains accom­pa­gne­ments stan­dards. Mais c’est alors que l’on est très très très exigeant, ou que l’on ne s’est pas assez pris la tête sur toutes les possi­bi­li­tés du logi­ciel ! Voilà… Si vous n’êtes pas convain­cus, allez jeter un peu d’oreille sur les quelques boucles que nos vous avons concoc­tées…

Notre avis : 9/10

  • Le son
  • Le groove
  • La puissance d’édition
  • Le côté pratique et rapide
  • Les machines ne vont-elles pas finir par nous avoir ?
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