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Native Instruments Session Guitarist - Electric Sunburst
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Test de Native Instruments Session Guitarist : Electric Sunburst

Guitare électrique virtuelle de la marque Native Instruments

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Prix public : 99 € TTC
Test écrit
25 réactions
Cordes sans cible ?
8/10
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3 ans : c’est le temps qu’il aura fallu attendre pour que Native Instruments sorte la déclinaison électrique de ses guitares virtuelles Strumming Acoustic. Reste à savoir si notre attente est récompensée.

Test de Native Instruments Session Guitarist : Electric Sunburst : Cordes sans cible ?

Si les synthés, le piano, l’orgue, la batte­rie, la basse et même les instru­ments à cordes ou à vent disposent tous d’équi­va­lents logi­ciels rela­ti­ve­ment convain­cants depuis plusieurs années, force est de consta­ter que la guitare jouée en strum­ming (soit en accords grat­tés. ) est, avec la voix, ce qui résiste le plus à la virtua­li­sa­tion. Je précise guitare jouée en strum­ming car en matière de jeu solo, de jeu pincé ou en arpèges, on trouve des choses qui font parfai­te­ment la blague chez les ténors du genre (Efimov, Acous­tic­Samples, Orange Tree Samples, Impact Sound­works, Ample Sound notam­ment). Pour le strum­ming, soit l’ac­cord gratté, c’est toute­fois une autre paire de manches, la rela­tion complexe entre main droite et main gauche semblant toujours résis­ter au sampling et au scrip­ting, même si certains se débrouillent mieux que d’autres à ce niveau.

Il faut dire que les gestes d’un guita­riste sont extrê­me­ment complexes à comprendre comme à repro­duire avec des samples au sein d’une inter­face qui ne tourne pas à l’usine à gaz. Du côté main droite, soit la main qui gratte, il faudrait être en mesure de gérer l’angle, le posi­tion­ne­ment et la vitesse d’at­taque qui changent à chaque coup de média­tor et modi­fient le timbre et le volume de chaque note, en plus de la paume que le guita­riste peut utili­ser pour plus ou moins étouf­fer l’at­taque ou le sustain des cordes. Côté main gauche, les choses ne sont pas plus simples vu qu’outre la posi­tion­ne­ment sur le manche (le même mi ne rend pas le même son suivant la corde sur lequel on le joue), il faut gérer la posi­tion et la force variant pour chaque doigt par rapport à la frette, avec tout ce que cela peut impliquer sur le timbre ou l’étouf­fe­ment des notes, mais aussi le temps pris pour passer d’une posi­tion à l’autre avec les sons que cela génère : il ne se produit pas la même chose lorsqu’on passe d’un accord de mi à un la ou d’un mi à un si barré.

main

Bref, le strum­ming a beau être une tech­nique de base de la guitare, il n’en demeure pas moins extrê­me­ment ardu à repro­duire dans toute sa complexité, au point que la meilleure façon d’ob­te­nir une ryth­mique grat­tée convain­cante sans recou­rir à un guita­riste, c’est encore de passer par des boucles. C’était le parti-pris par Wizoo pour réali­ser le Virtual Guita­rist de Stein­berg, et bien des années plus tard, c’est le parti pris par les excel­lentes guitares acous­tiques de Native Instru­ments : Strum­ming Acous­tic : Guitar Compa­nion 1 et 2 que nous avons adorées parce qu’elles conci­liaient le réalisme des boucles avec une grande simpli­cité de mise en œuvre. Bien sûr, le côté figé des boucles impo­sait des limites mais Native avait le mérite de propo­ser un outil cohé­rent permet­tant de déployer simple­ment des parties de guitare ryth­mique, et surtout un outil diffé­rent et parfai­te­ment complé­men­taire des nombreuses guitares multi­sam­plées qu’on trouve sur le marché.

Inutile de dire, donc, qu’on atten­dait avec une grande impa­tience une décli­nai­son élec­trique du concept. Décli­nai­son qui est enfin là et qui ne se nomme pas Strum­ming Elec­tric comme on pouvait s’y attendre, mais Session Guita­rist Elec­tric Sunburst, ce qui consti­tue une nuance d’im­por­tance sur laquelle nous revien­drons. Le Sunburst, c’est celui d’une Les Paul Stan­dard qui s’ex­hibe fière­ment sur la partie haute d’une inter­face dans laquelle nous allons à présent plon­ger.

Terrain connu

amp

Les habi­tués des précé­dentes guitares Native Instru­ments ne seront pas dépay­sés par l’in­ter­face qui est à peu de choses près stric­te­ment la même que sur les Strum­ming Acous­tic. Vu la nature de l’ins­tru­ment, un nouvel onglet Amps et FX fait cepen­dant son appa­ri­tion. Comme le suggère son nom, ce dernier propose une section d’ef­fets rela­ti­ve­ment complète où nous attendent 5 modé­li­sa­tion d’am­plis, 10 baffles et 14 pédales : un vrai petit Guitar Rig que vous pour­rez toute­fois désac­ti­ver pour utili­ser n’im­porte quel autre plug-in de simu­la­tion d’am­pli en sortie de l’ins­tru­ment.

settings

Tant qu’on en est à parler son, un détour par Guitar Settings s’im­pose, sachant qu’il n’est plus ques­tion de mélan­ger la prise de deux micros pour obte­nir le son de votre guitare comme avec Strum­ming Acous­tic, mais de gérer cette fois le mélange entre les micros élec­tro-magné­tiques de la guitare et… un micro ayant servi à capter le bruit du média­tor ! La chose est assez éton­nante de prime abord car si le bruit de l’at­taque du media­tor est capté par les micros élec­tro­ma­gné­tiques de la guitare, je ne crois avoir jamais vu de micro rajouté pour l’en­re­gis­trer. Et cette incon­gruité est d’au­tant plus pesante que ce micro super­flu est activé par défaut : il faudra donc penser à le désac­ti­ver.

Concer­nant les vrais micros de la guitare, soit deux Humbu­ckers, les choses ont été a priori mieux réali­sées. On dispose en effet pour tous les patterns inclus dans l’ins­tru­ment des trois posi­tions Manche, Cheva­let et Inter­mé­diaire, sachant que comme sur une Les Paul, on a droit à un potard Tone et un potard volume pour chaque micros, ce qui permet de régler fine­ment le son de la guitare.

playback

Évidem­ment, le doublage est toujours de la partie pour épais­sir et élar­gir faci­le­ment n’im­porte quelle ryth­mique program­mée avec Session Guita­rist (il est d’ailleurs activé par défaut sur tous les presets), tout comme la possi­bi­lité de jouer sur le tempo de jeu qu’on pourra réduire de moitié ou doubler, sur la quan­ti­sa­tion et le swing des patterns ou encore l’in­ten­sité de attaques, de piano à forte, via la molette de pitch­bend.

Reste à présent à jouer : retour dans l’on­glet prin­ci­pale Patterns, donc.

Les bons et mauvais côtés du patter­na­lisme

songs

Là encore, on reprend le même prin­cipe que dans Strum­ming Acous­tic, à savoir une tren­taine de ´Songs’ compo­sées chacune de 8 patterns au maxi­mum (à choi­sir parmi 154), tous affec­tés à un keys­witch. Sur le clavier, la main gauche s’oc­cupe donc de sélec­tion­ner une des ryth­miques tandis que la main droite plaque la progres­sion d’ac­cord à suivre. C’est simple et ça fonc­tionne bien, sachant qu’on peut aussi action­ner le mode auto-chords et affec­ter à des touches des combos accords/ryth­mique. De la sorte, on n’a même plus à jouer d’ac­cords.

Seul gros bémol de l’af­faire à l’usage : le mode latch, permet­tant la tenue auto­ma­tique d’un accord sur une mesure, un quart de mesure ou un huitième de mesure, et qui n’est pas débrayable. Il est ainsi impos­sible de couper bruta­le­ment un groove autre­ment qu’en jouant avec le volume de l’ins­tru­ment et c’est bien dommage, car ça réduit sensi­ble­ment la souplesse de program­ma­tion. Impos­sible d’uti­li­ser les power­chords dispo­nibles dans le preset Tool­box pour faire un truc aussi basique que Seven Nation Army par exemple.

Voyez d’ailleurs cette reprise où Sunburst a été utilisé pour la guitare en son dry présente dès l’en­trée du morceau et sur le refrain pour suppléer le synthé… à grand coup d’au­to­ma­tions de volume pour parve­nir à repro­duire une ryth­mique pour­tant rela­ti­ve­ment simple.

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Into the grooves

Reste à parler à présent du maté­riau de base de ce Session Guita­rist, à savoir les fameux patterns. Comme nous le préci­sions plus haut, ce n’est pas un hasard si cette nouvelle guitare virtuelle ne s’ap­pelle pas Strum­ming Elec­tric mais Session Guita­rist. Si la guitare ryth­mique est bien à l’hon­neur, le strum­ming n’est pas l’unique préoc­cu­pa­tion de l’ins­tru­ment dont un bon tiers des patterns sont des arpèges. La chose a son impor­tance lorsqu’on comprend que les patterns grat­tés sont réali­sés à partir de boucles audio (le vrai jeu d’un guita­riste donc), tandis que les patterns arpé­gés sont réali­sés à partir de fichiers MIDI pilo­tant des samples de la guitare en note à note, ce qui procure des avan­tages comme des incon­vé­nients.

articulations

Le premier avan­tage du MIDI utilisé pour les arpèges, c’est qu’on peut décli­ner les patterns avec 6 diffé­rentes sono­ri­tés, le jeu aux doigts ou au média­tor se divi­sant chacun en 3 tech­niques : stan­dard, étouffé ou harmo­niques. Voyez de ce que ça donne sur un arpège avec les trois tech­niques de jeux décli­nées à chaque fois avec puis sans média­tor.

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Le second avan­tage, c’est la souplesse que la chose offre pour décli­ner les accords dans diffé­rents voicings. Voyez ces quelques varia­tions à partir d’un pattern arpégé puis d’un autre gratté.

SUNBURS­Tarp­voi­cin­goff
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  • SUNBURS­Tarp­voi­cin­goff 00:08
  • SUNBURS­Tarp­voi­cing1 00:08
  • SUNBURS­Tarp­voi­cing2 00:08
  • SUNBURST­voi­cin­goff 00:11
  • SUNBURST­voi­cing5oct 00:11
  • SUNBURST­voi­cing10 00:11
 
voicing

Car c’est en effet la petite surprise : les voicings marchent aussi sur la plupart des patterns grat­tés. Petit regret toute­fois : si on nous propose la quinte, l’oc­tave et la dixième la plupart du temps, la sixième et la septième sont aux abon­nées absent. Il faudra donc se brico­ler ça soit même en plaquant l’ac­cord qui convient. Histoire que vous voyez ce que cela peut donner, voici deux arpèges qui sont enri­chis d’une note à chaque mesure, sachant que j’ai désac­tivé la fonc­tion 'doubla­ge’ pour que vous ayez un aperçu du son un peu plus normal de la guitare :

SUNBURS­Tarp1
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  • SUNBURS­Tarp1 00:34
  • SUNBURS­Tarp2 00:34
 

Pas si mal, non ? Quel est donc l’in­con­vé­nient alors ? Disons que contrai­re­ment aux Strum­ming Acous­tic qui se diffé­ren­ciaient nette­ment des guitares multi­sam­plées par leur approche, on est fina­le­ment ici sur quelque chose de plus proche de ce qui se fait ailleurs en termes de tech­no­lo­gie, et donc de résul­tats. Or, un arpège MIDI pilo­tant une guitare multi­sam­plées, ce n’est pas la même chose en terme de réalisme qu’un guita­riste jouant l’ar­pège vrai­ment, d’au­tant que le sampling réalisé par Native Instru­ments n’at­teint pas forcé­ment le détail de certains concur­rents en matière d’ar­ti­cu­la­tions comme de nuances. D’au­tant qu’en marge des quelques voicings et para­mètres, il n’y a pas de quoi réel­le­ment éditer les patterns en ques­tion : Ample Sound, Orange Tree Samples et Acous­tic­Samples peuvent donc dormir tranquille sur ce point.

Je vous rassure tout de même : avec la section d’ef­fet du logi­ciel et le doublage acti­vés, la plupart des patterns font la blague, si MIDI soient ils à la base. Ce n’est cepen­dant pas le seul grief que nous retien­drons à l’en­contre du logi­ciel.

On ne peut pas plaire à tout le monde

L’autres chose frap­pante avec les patterns propo­sés, c’est le côté très éclec­tique de Sunburst : si le gros métal (Doom, Thrash, Death) comme le jazz (éter­nel absent) ne sont pas là comme la funk qui demeure la chasse gardée du Funky Guita­rist chez l’édi­teur, on trouve de quoi faire du rock plus ou moins heavy comme du reggae, de la pop à l’an­cienne comme de la pop moderne, et même des choses pensées pour le hip hop ou l’élec­tro. Voyez un petit flori­lège de ce que le logi­ciel peut offrir :

SUNBURSTt1v3
00:0001:43
  • SUNBURSTt1v3 01:43
  • SUNBURS­Theavy 01:12
  • SUNBUSR­Trock 01:16
  • SUNBURS­Te­lec­tro 00:48
  • SUNBURS­Thi­phop 01:01
  • SUNBURSTs­tand 00:35
 

Dans l’en­semble, ça marche, d’au­tant que la section d’ef­fet permet d’ob­te­nir quan­tité de décli­nai­sons en termes de son et que vous pouvez même la shun­ter pour attaquer votre Bias Amp, TH3 ou Ampli­tube préféré.

A n’en pas douter, certains appré­cie­ront qu’Elec­tric Sunburst propose une approche plus globale de l’ins­tru­ment que ne le faisaient les austères Strum­ming Acous­tic, avec un peu de tout pour tous les genres même si les rythmes ternaires sont toujours les parents pauvres du lot (et ça commence à deve­nir lassant de le souli­gner à chaque fois). Le problème, c’est qu’à vouloir embras­ser de si vastes hori­zons, Sunburst a vite fait de se révé­ler frus­trant, qu’à vouloir plaire à tout le monde, il court le risque de ne conten­ter plei­ne­ment personne.

De fait, plutôt que des arpèges qu’on peut parfai­te­ment faire ailleurs et un certain nombre de riffs parfai­te­ment anec­do­tiques que vous aurez bien du mal à caser (Les patterns Arcade notam­ment), on aurait voulu beau­coup plus de choses en guitare grat­tée, d’au­tant qu’il manque de quantté de grooves et de ryth­miques iconiques de la 6 cordes : pas de pompe blues, pas de power­chords Tcha­kata à la Pete Town­send, pas de quoi jouer des ryth­miques façon Lust for life, Another Brick in the Wall, Price Tag ou encore le Dive d’Ed Shee­ran. Enten­dez-moi bien : il ne s’agit pas d’avoir exac­te­ment ces grooves pour faire des reprises, mais bien de dispo­ser de quan­ti­tés de briques ryth­miques qui permet­te­raient d’abor­der n’im­porte quel titre comme y parvient beau­coup mieux Strum­med Acous­tic car ce sont bien ces ryth­miques qui sont extrê­me­ment dures à program­mer avec des guitares multi­sam­plées… et non de bêtes arpèges. Quant au rayon des guitares hip hop / élec­tro plus déca­lées qui à lui seul méri­te­rait un instru­ment complet, on a vite fait le tour de ce qui est proposé. Là dessus, il n’est pas certain qu’un Ujam Virtual Guita­rist Sparkle ne soit pas plus inté­res­sant.

Bref, en dépit de bonnes choses, on atten­dait beau­coup plus que ce qui nous est fourni  et là où les Strum­med Acous­tic avaient des gueules d’ou­tils assez tout-terrains pour bâtir des pistes de guitare, ce Sunburst tient plus du pot-pourri qui en dit trop ou pas assez. Ca m’en­nuie de devoir faire parler les chiffres mais ils sont assez révé­la­teurs : Strum­med Acous­tic propo­sait 8,5 Go de samples, Strum­med Acous­tic 2, 9,6 Go, et on retombe ici à 5,8 Go… grâce ou à cause des arpèges. De fait, on sent bien qu’entre sa direc­tion artis­tique qui brasse large, mais en surface, et les problèmes posés par la fonc­tion Latch, ce n’est pas forcé­ment Sunburst qui résou­dra nos problèmes lorsqu’une guitare élec­trique vient à manquer sur un titre, quel qu’en soit le genre, et qu’on a une idée un tant soit peu précise de ce qu’on attend. 

Conclu­sion

Vendu sous la barre des 100 euros, ce Session Guita­rist Elec­tric Sunburst réus­sit dans l’en­semble son pari et devrait séduire ceux qui cherchent un moyen simple de mettre de la guitare élec­trique dans leurs compos… pour peu qu’ils aient bien conscience de ses limites et défauts, car nous ne sommes certai­ne­ment pas en présence d’un Strum­med Elec­tric faisant suite aux Strum­med Acous­tic, mais face à un produit à la fois plus ambi­tieux et moins perti­nent.

En ne misant plus seule­ment sur des boucles de strum­ming comme ces dernières et en intro­dui­sant quan­tité de patterns basés sur des arpèges MIDI, Sunburst est assu­ré­ment poly­va­lent et s’ouvre à bien plus de contextes d’uti­li­sa­tion qu’on ne l’au­rait imaginé (notam­ment le hip hop et la musique élec­tro­nique ou elec­tro-pop). Le problème, c’est qu’à vouloir faire un peu de tout pour séduire tous les publics, la guitare virtuelle de Native tend à survo­ler son sujet par rapport aux Strum­med Acous­tic dont le concept était plus perti­nent en regard de la concur­rence (du strum­ming, rien que du strum­ming basé sur des boucles, rien que des boucles). Car c’est un fait : tout ce qu’on gagne ici du côté arpèges et dont on n’avait pas forcé­ment besoin, on le perd côté strum­ming où il y avait une vraie carte à jouer, en espé­rant  qu’un Sunbusrt 2 ou une Cherry Guitar viennent complé­ter tout cela prochai­ne­ment.

Reste que le fun est malgré tout au rendez-vous. S’il y a donc de quoi mettre donc une demie étoile de moins qu’aux Strum­med Acous­tic, on gardera quatre étoiles tout de même en regard du prix et du rapport simpli­cité/effi­ca­cité du produit. On attend dans tous les cas une suite à cette mise en bouche qu’on espé­rait plus copieuse et abou­tie après trois ans d’at­tente.

8/10
Points forts
  • Simplicité d’utilisation
  • Section d’effets relativement complète
  • Gestion des micro de la guitare
  • Fonction de doublage efficace
  • Patterns arpégés disponibles dans 6 sonorités et adaptables à tous types d’accords grâce au MIDI
  • Une ouverture sur l’électro et le hip hop intéressante
  • Prix
Points faibles
  • Mode latch non débrayable
  • Captation du mediator (WTF!) activée par défaut
  • Près de la moitié des patterns sont des arpèges MIDI et non des enregistrements d’un vrai guitariste : ce n’est donc pas le Strumming Electric qu’on espérait
  • De fait, on déplore pas mal de lacunes du côté des accords grattés
  • A vouloir taper dans trop de genres, Sunburst survole un peu son sujet
Auteur de l'article Los Teignos

Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.


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