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J'ai enfin chopé mon Orville LPS-80F, du coup j'ai fais un comparatif vite fait hier soir avec ma Gibson Smartwood montée en BB1 et 2, et y a une sacré différence.

Déjà, la Gibson est chambered est pas l'Orville, ça se sent sur l'épaule.
Bien que ça soit une Orville et non une ObG, et donc des micros jap' et non des Gibson, l'Orville sonne beaucoup mieux à mon sens. Elle a un son plus chaud, plus articulé, un poil plus de gain peut-être aussi. Le micro manche a un coté single-coil vraiment sympatoche, avec un grain un peu plus aéré que le BB1, avec un léger twang que n'a pas le micro Gibson de la Smartwood. La Gibson a un son plus sec, un peu plus droit, avec un poil plus d'attaque, on sent un peu moins les nuances de la main droite.
J'avais peur de regretter la Gibson une fois vendue, mais là au final j'éprouve beaucoup plus de plaisir à jouer sur l'Orville, elle a se je-ne-sais-quoi que n'a pas la Smartwood.

Par contre le verni de la table est bien fissuré, je verrai avec le luthier quand je la ramènerai mais je vois pas trop ce qu'il pourrait faire (ou alors je l'emmène chez Carglas).
Je fais des photos dès qu'il y a un peu de soleil (haha).

Au cœur des festivités de la fashion week, Zelda Kaplan, l’inconditionnelle des runways, vient de disparaître. Alors qu’elle assistait au défilé de la styliste Joanna Mastroianni qui venait à peine de commencer, la modeuse de 95 ans toute de rouge vêtue s’est évanouie, à la grande surprise de sa voisine Ruth Finley, papesse de la hype et respectée patronne de presse. «Elle était assise à côté de moi, confie Ruth. Elle est tombée sur mes genoux. Le show venait juste de commencer, je me suis dit qu’elle s’était évanouie. Deux hommes l’ont emmenée.»