Les gri-gris en Hi-Fi

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Le CD audio a ses propres limites, qui apparaissent encore plus vite sur les timbres de voix. Le CD ne peut vraiment être euphonisé, ne peut sonner naturel qu’une fois dématérialisé, le support physique supprimé, une fois le phonogramme extrait et lu en SARD++.

Au plan psychoacoustique, le fichier wav a été lui-même retraité en 32 bits pour subir une ditherisation (ajout de bruit) spécifique avant réduction en 16 bits. Ce bruit très analogique ajouté sur le bit de poids faible gomme les résidus de quantification numérique si peu appréciés par l'oreille humaine. Faire naturel! On remonte subjectivement à la qualité musicale initiale d'avant la gravure du glassmaster du CD.

Le SARD++ se traduit dans le rendu sonore à la manière d'un exhausteur de goût dans l'art culinaire. Tout prend plus de saveur. C'est un amplificateur de l'émotion, un vitamineur de la dynamique fine. La dynamique fine? C'est la dynamique de l'émotion, du subtile, à laquelle tout mélomane est sensible, c'est ce qui vous fait entrer dans la musique, ce qui fait que votre pied se met tout seul à battre la mesure, ce qui vous fait frissonner et vous donne la chair de poule dans les moments intenses comme au concert en direct.
Le SARD++ c'est aussi un filtre purificateur tant au niveau des distorsions subjectives qu'à celui des impuretés, éliminant les ultimes scories superflues du numérique... et que dire du rapport signal/bruit, des timbres, de l'acoustique de salle..

Match: Le son numérique dématérialisé et libéré contre le son analogique vinyle de haut niveau...

Le SARD++ ressort grand vainqueur, ce qui n'était pas le cas du CD ou du SACD lus de manière conventionnelle même par les meilleurs lecteurs CD-SACD de salon comme le Phi Audiophile. Le numérique CD-SACD ne l'emportait jamais quand il s'agissait de traduire l'émotion, la finesse de jeu, les intentions de l'artiste...
La qualité musicale du fichier audio extrait du CD audio ou du SACD stéréo hydride, puis converti et lu en SARD++ est supérieure, même en intensité émotionnelle, au disque noir vinyle du même morceau lu sur mon système de lecture analogique, pourtant peauffiné pendant 25 ans, et qui fut longtemps ma référence auditive: