Sujet Ça c'est Kloug au Baiser Salé --> MERCREDI 11 OCTOBRE
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'tain c'est long !
:guirlande: 
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Oui, sache que je suis en croisade contre le mot "percu". Chaque instrument à se richesse. Typiquement la derbouka se joue plutot fort, et surtout on la laisse sonner quand il faut, sur le claqué (au majeur plus qu'à l'index d'ailleurs) et surtout dans la frappe au centre. Sinon y'a rien qui sort. enfin faut regarder les maitres:
https://www.youtube.com/watch?v=h3CnPXL0mms
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
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Pitaing, c'est dur là.
C'est vrai que j'avais cassé du fer sur la gratte à Denf la dernière fois
Piston > lache la critique acerbe gratuite et cassante, c'plus marrant
Slone > on a déjà un peu causé chez Denf, on était presque en face au resto (t'étais à côté de PM) je me souviens très bien de ta trombine, alors la prochaine fois, fais pas ta chochotte.
C'est vrai que j'avais cassé du fer sur la gratte à Denf la dernière fois
Piston > lache la critique acerbe gratuite et cassante, c'plus marrant
Slone > on a déjà un peu causé chez Denf, on était presque en face au resto (t'étais à côté de PM) je me souviens très bien de ta trombine, alors la prochaine fois, fais pas ta chochotte.
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Citation : un blues INTERMINABLE
juste une petite mise en bouche.pistonpistache
17981
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Membre depuis 21 ans
Ok:
Ce qui est bien avec le baisé salé, c'est qu'ils te laissent bien poireauter en bas avec d'ouvrir 2 minutes avant le concert. En plus d'un service d'un amateurisme lamentable (demandez au groupe de remercier le boeuf qui shoote dans les chaise en amenant 3 bières éventées au moment le plus intimiste du concert) et de prix de dingues, ils t'interdisent de monter tes chips pour picorer en attendant que les musiciens se mettent en place. Je passerais sur la qualité du son pour ne pas vexer un ami, mais si on déjà vu pire, on a surtout vu mieux.
C'est dans ces conditions idéales que Leonard attaquait son concert, flanqué de deux acolyte, aux styles aussi éloignés que leurs ages. Un bassiste a la godin juste, technique mais par moment completment inexistant, et un percussionniste, très musicien, mais pas technique pour deux sous.
Leo attaque directe par "la ville", le morceau tout en légereté au jeu de guitare très sec. Merci encore au baisé salé d'avoir su combler les silence de la MARTIN par le boum boum de la sono de l'étage inférieur.
Ce bruit de fond sera d'ailleurs la bande son du long blanc qui a suivi pour cause de remplacement de corde de guitare.
Leonard joue très bien, mieux qu'il chante c'est sûr, et sur sa martin à 3 briques il se fait plaisir: Autant celà peut paraitre long sur disque (certains aigris diront "interminables"), autant en live c'est assez délectable. Les morceaux s'enchaine et le guitare hero, laissant parfois son bassiste respirer, crée une véritable ambiance intimiste, a laquelle contribu avec une musicalité certaine le percussioniste. Pas un coup de triangle à coté, un jeu de guitare rythmique tout en simplicité, des contrechants au poil. Malheureusement on déplorera son jeu de darbouka: Le jeune homme, "cheveux-longs-bob-moustache", qui manifestement devait encore appeler il y a peu ses instruments "une percu", reste la plupart sur cet instrument, alors que c'est celui de son set qu'il maitrise à l'évidence le moins.
Les morceaux s'enchainent, les solos de guitares aussi, ne boudons pas notre plaisir. Il faut dire que le leonard le prouve en empoignant sa gibson, il fait ce qu'il veut de son instrument, tout est fluide, tout est carré, même les dissonances semblent placés au quart de poil: du petit lait.
Les noms qui viennent à l'esprit sont évidemment Bertignac pour le jeu de gratte et le chant et De palmas pour le phrasé. Et Joe dassin pour la biglouche quand il joue de l'harmonica.
Les compositions sont aboutis et les reprises apportent un peu d'air frais et d'energie à un ensemble qui en manquait par moment.
Ces quelques reprises, dont un mémorable voodoo Chile, commençant façon country, passant par Clapton (oui je sais, c'est JJ cale, mais je dis Clapton quand même) et James Brown, illustrent à merveillent ce qu'on a sur scènes. 3 musiciens, jusqu'au bout des doigts, se promenant avec facilité (surtout quand le percussioniste nous fait le plaisir d'abandonner sa derbouka pour sa flutes) sur terrain intimiste pourtant facilement glissant: il n'est pas donné à tout le monde de jouer autant à nu, quitte à manquer de puissance.
Une petite nouveauté sur la fin, sans doute dédicacée aux aigris dont je parlais au dessus: un morceau intulé "le vieux", ou la plume de léonard fini de nous convaincre qu'il avant tout un bon.. guitariste
Fallait finir sur une note sympathique
Ce qui est bien avec le baisé salé, c'est qu'ils te laissent bien poireauter en bas avec d'ouvrir 2 minutes avant le concert. En plus d'un service d'un amateurisme lamentable (demandez au groupe de remercier le boeuf qui shoote dans les chaise en amenant 3 bières éventées au moment le plus intimiste du concert) et de prix de dingues, ils t'interdisent de monter tes chips pour picorer en attendant que les musiciens se mettent en place. Je passerais sur la qualité du son pour ne pas vexer un ami, mais si on déjà vu pire, on a surtout vu mieux.
C'est dans ces conditions idéales que Leonard attaquait son concert, flanqué de deux acolyte, aux styles aussi éloignés que leurs ages. Un bassiste a la godin juste, technique mais par moment completment inexistant, et un percussionniste, très musicien, mais pas technique pour deux sous.
Leo attaque directe par "la ville", le morceau tout en légereté au jeu de guitare très sec. Merci encore au baisé salé d'avoir su combler les silence de la MARTIN par le boum boum de la sono de l'étage inférieur.
Ce bruit de fond sera d'ailleurs la bande son du long blanc qui a suivi pour cause de remplacement de corde de guitare.
Leonard joue très bien, mieux qu'il chante c'est sûr, et sur sa martin à 3 briques il se fait plaisir: Autant celà peut paraitre long sur disque (certains aigris diront "interminables"), autant en live c'est assez délectable. Les morceaux s'enchaine et le guitare hero, laissant parfois son bassiste respirer, crée une véritable ambiance intimiste, a laquelle contribu avec une musicalité certaine le percussioniste. Pas un coup de triangle à coté, un jeu de guitare rythmique tout en simplicité, des contrechants au poil. Malheureusement on déplorera son jeu de darbouka: Le jeune homme, "cheveux-longs-bob-moustache", qui manifestement devait encore appeler il y a peu ses instruments "une percu", reste la plupart sur cet instrument, alors que c'est celui de son set qu'il maitrise à l'évidence le moins.
Les morceaux s'enchainent, les solos de guitares aussi, ne boudons pas notre plaisir. Il faut dire que le leonard le prouve en empoignant sa gibson, il fait ce qu'il veut de son instrument, tout est fluide, tout est carré, même les dissonances semblent placés au quart de poil: du petit lait.
Les noms qui viennent à l'esprit sont évidemment Bertignac pour le jeu de gratte et le chant et De palmas pour le phrasé. Et Joe dassin pour la biglouche quand il joue de l'harmonica.
Les compositions sont aboutis et les reprises apportent un peu d'air frais et d'energie à un ensemble qui en manquait par moment.
Ces quelques reprises, dont un mémorable voodoo Chile, commençant façon country, passant par Clapton (oui je sais, c'est JJ cale, mais je dis Clapton quand même) et James Brown, illustrent à merveillent ce qu'on a sur scènes. 3 musiciens, jusqu'au bout des doigts, se promenant avec facilité (surtout quand le percussioniste nous fait le plaisir d'abandonner sa derbouka pour sa flutes) sur terrain intimiste pourtant facilement glissant: il n'est pas donné à tout le monde de jouer autant à nu, quitte à manquer de puissance.
Une petite nouveauté sur la fin, sans doute dédicacée aux aigris dont je parlais au dessus: un morceau intulé "le vieux", ou la plume de léonard fini de nous convaincre qu'il avant tout un bon.. guitariste
Fallait finir sur une note sympathique
pistonpistache
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'tain c'est long !Bibzo
562
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
Bibzo
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Posteur·euse AFfolé·e
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Ha c'est trop cool tout keske tu dis ! T'arrêtes un peu les compliments tu vas nous faire rougir ! 
Pour la darbouka non je savais déjà que ça s'appelais comme ça !
Sinon ouais le jeu est surement pas très bon (en fait je le trouvais pas plus mauvais que sur une autre percu...), t'as des conseils à me donner ?
Sinon merci pour ta description du concert, ça semble très sincère.
Pour la darbouka non je savais déjà que ça s'appelais comme ça !
Sinon ouais le jeu est surement pas très bon (en fait je le trouvais pas plus mauvais que sur une autre percu...), t'as des conseils à me donner ?
Sinon merci pour ta description du concert, ça semble très sincère.
Ça c'est kloug
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Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
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pistonpistache
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Oui, sache que je suis en croisade contre le mot "percu". Chaque instrument à se richesse. Typiquement la derbouka se joue plutot fort, et surtout on la laisse sonner quand il faut, sur le claqué (au majeur plus qu'à l'index d'ailleurs) et surtout dans la frappe au centre. Sinon y'a rien qui sort. enfin faut regarder les maitres:
https://www.youtube.com/watch?v=h3CnPXL0mms
Ça c'est kloug
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C'est la fréquentation du pub des gentlemen qui t'a parfait ton aisance à la critique liberation-staïle
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