Sujet Agression sur des musciens , des artistes, des comediens lamentable.
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gromeul
17110
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
"Non les braves gens n'aiment pas que, l'on prenne une autre route qu'eux...".Voilà en gros ce que m'inspire les divers posts d'Oboréal et certains autres.
Technicien du spectacle, c'est pas technicien du bâtiment, ça n'a rien à voir, et c'est pour cela (entre autre) que le statut d'intermittent a été créé.Il est à revoir c'est sûr mais pas de la manière qui avait été décidée car c'était encore les "petits" qui morflaient.Ce métier est très particulier, fait de périodes où on ne travaille pas qui sont payées par l'Unédic.Qui cotise à l'Unédic?Tout le monde.Entre payer des personnes au Rmi ou en allocations chômage, elle est où la différence?
Et puis pourquoi pas obliger les chomeurs qui refusent de travailler à n'importe quel prix à bosser quand même, hein, tas de fainéants?Et pour une misère tant qu'à faire!
Encore une fois on ne vole personne en accèdant à ce statut mais si ça vous dérange tant, que penser alors des entreprises qui font des bénéfices et qui licencient malgré tout (il y a des exemples pratiquement quotidiennement)?
Et les boites de prod' qui délocalisent leurs tournages dans les pays de l'Est parce que c'est moins cher?
Technicien du spectacle, c'est pas technicien du bâtiment, ça n'a rien à voir, et c'est pour cela (entre autre) que le statut d'intermittent a été créé.Il est à revoir c'est sûr mais pas de la manière qui avait été décidée car c'était encore les "petits" qui morflaient.Ce métier est très particulier, fait de périodes où on ne travaille pas qui sont payées par l'Unédic.Qui cotise à l'Unédic?Tout le monde.Entre payer des personnes au Rmi ou en allocations chômage, elle est où la différence?
Et puis pourquoi pas obliger les chomeurs qui refusent de travailler à n'importe quel prix à bosser quand même, hein, tas de fainéants?Et pour une misère tant qu'à faire!
Encore une fois on ne vole personne en accèdant à ce statut mais si ça vous dérange tant, que penser alors des entreprises qui font des bénéfices et qui licencient malgré tout (il y a des exemples pratiquement quotidiennement)?
Et les boites de prod' qui délocalisent leurs tournages dans les pays de l'Est parce que c'est moins cher?
Hors sujet : Oboréal, tu parles à un moment du déficit de la sécu, à qui le doit-on?Aux malades?A ceux qui fraudent?On peut répondre oui aux 2 et s'en prendre aux seconds.Mais as-tu pensé à demander à Raffarin et sa clique pourquoi ils avaient fait cadeau de 20 milliards d'€ de charges sociales en 2002 à certaines entreprises?C'est beaucoup plus que le trou de la sécu, non?
Anonyme
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Pov Gabou
19553
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oboreal
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.Mous.
2037
AFicionado·a
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gromeul
17110
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Je tiens à re-préciser qu'avant d'être musicien à temps complet, j'ai travaillé + de 10 ans comme électricien du bâtiment jusqu'à une procédure de licenciement (volontaire).Je faisais mes 8 heures/jour et ensuite je travaillais l'instrument et répètait avec mon groupe.C'est tout à fait faisable de travailler le jour et de jouer la nuit (je schématise, hein 
) mais on ne peut pas se consacrer totalement à son art, quand on sait qu'il faut se lever le matin pour aller au boulot, trimer dur dans le bruit, la poussière et le froid, à un moment on lâche l'affaire et soit on fait "mumuse" de temps en temps avec les potes en répèt' en regrettant les années de collèges où on pouvait se permettre de ne rien foutre (comme moi), soit on profite d'une "aubaine" (comme mon licenciement) pour essayer ce que l'on a toujours voulu faire, de la musique.
Je re-précise Oboréal que personne dans ma famille ne m'a donné envie de jouer d'un instrument même si mon père m'a offert ma première guitare pour un premier essai non concluant.On m'a toujours dit :"la musique, c'est pas un métier"...
J'ai aussi vécu 1 an sans toucher un poil d'Assédics, juste mes cachets et ça a été très dur, heureusement que j'avais une banquière musicienne et surtout, compréhensive.J'aurais probablement pû demander le Rmi mais je m'y suis refusé.
) mais on ne peut pas se consacrer totalement à son art, quand on sait qu'il faut se lever le matin pour aller au boulot, trimer dur dans le bruit, la poussière et le froid, à un moment on lâche l'affaire et soit on fait "mumuse" de temps en temps avec les potes en répèt' en regrettant les années de collèges où on pouvait se permettre de ne rien foutre (comme moi), soit on profite d'une "aubaine" (comme mon licenciement) pour essayer ce que l'on a toujours voulu faire, de la musique.Je re-précise Oboréal que personne dans ma famille ne m'a donné envie de jouer d'un instrument même si mon père m'a offert ma première guitare pour un premier essai non concluant.On m'a toujours dit :"la musique, c'est pas un métier"...
J'ai aussi vécu 1 an sans toucher un poil d'Assédics, juste mes cachets et ça a été très dur, heureusement que j'avais une banquière musicienne et surtout, compréhensive.J'aurais probablement pû demander le Rmi mais je m'y suis refusé.
oboreal
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