Sujet Agression sur des musciens , des artistes, des comediens lamentable.
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.Mous.
2037
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
booz
1932
AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
C'est reparti prise de tete!!!!evidemment que tout le monde voudrait vivre de sa passion, malheureusement en musique on est visiblement trop!!y'aen a pas qui veulent devenir artistes de la charcuterie ou de la choucroute on les subventionnera pareil
Monspace=>http://www.myspace.com/papabooz
snafu
3514
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
.Mous.
2037
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
booz
1932
AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
Monspace=>http://www.myspace.com/papabooz
Anonyme
521410
oboreal
3699
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
Merci pour toutes les acteurs de ce débat qui ont eut la délicatesse de m'attaquer personellement pour la simple et bonne raison qu'ils ne voulaient pas essayer de comprendre mes propos.
J'ai parlé tout le long du systême tel que les mouvements intermitents ( ceux dont on parle dans les journaux en tout cas ) le concoivent, à savoir plus ou moins tel qu'il existait.
J'ai parfois poussé le raisonement plus loin pour appuier mon propos.
Certains paraissent estimer que je suis un frustré, non, pas un frustré, un gars réaliste et qui sait que des gars qui bossent la musique 8 heures par jour, y en a pas des masses, tout simplement parce qu'on est pas inspiré et créatif 8 heures par jour souvent... C'est d'ailleurs normal puisque l'art n'est pas assimilable à un travail, on ne recompense pas le labeur mais le talent ( développé par le labeur toutefois ).
J'ai entendu diverses inepties telles que "un chef d'entreprise ca gagne pas la même chose qu'un intermitent", oui certes pour certains, tu oublie que l'artisanat est la plus grande entreprise de france, qu'eux se tappent des semaines de 70 heures et pas à faire des trucs sympas ( même si oui parfois on bosse la musique, la technique pure et dure et que c'est pas marrant ). Hors un artisant c'est un chef d'entreprise, et je parle pas des PME ou le patron se paye souvent moins que ses cadres...
J'ai l'impression que certains vivent dans une bulle et ont l'impression que leur petit monde est quand même bien difficile à vivre quand même.
Vous parlez toujours des intermitents comme de salariés, hors les intermitents sont pour moi des indépendants, ils proposent une "production", un "produit fini" directement sur un marché.
L'argument selon lequel le statut des intermitents ( tel qu'il est revendiqué ) serait le garant du maintient de la diversité culturelle est totalement caduque, même si je rapelle qu'en revanche pour moi, il est nécéssaire de subventionner les prod indés, les mjc et autres cetnres culturels, afin que la culture soit accessible à tous. Et pas seulement écouter de la musique, voir du théatre, mais jouer de la musique et la comédie.
Je repproche au systême tel qu'il est envisagé par les intermitents sont apsect élitiste er autoritaire. Nous sommes les défenseurs de la culture, nous avons le droit à des subventions même si personne ne nous écoute.
Et pourquoi la culture serait le lot d'un petit groupe autoproclamé qui vivrait aidé par les prolos jugés trops cons pour comprendre leur travail ?
Car voilà, j'en ai bien peur, le raisonement sous jacent dans vos propos. Je vous sens plus nobles défendants leurs privilèges que prolétaires en quête de protection.
Alors dites moi, qui est l'ordure capitaliste auto suffisante et arcqueboutée sur ses privilèges hein ?
Vous avez vu avec qu'elle révolte les artistes pleins de thunes viennent donner des lecons au ministre de la culture. Mais rappelez moi ,au fait, ces gens multi-millionaires, ils font quoi pour la culture, pour la diversité ? Ne se batent ils pas comme des rapaces, et pourtant, n'est ce pas aussi eux les artistes ?
Avant d'accuser les autres de tout les mots, il est parfois prudent de balayer devant sa porte.
J'ai parlé tout le long du systême tel que les mouvements intermitents ( ceux dont on parle dans les journaux en tout cas ) le concoivent, à savoir plus ou moins tel qu'il existait.
J'ai parfois poussé le raisonement plus loin pour appuier mon propos.
Certains paraissent estimer que je suis un frustré, non, pas un frustré, un gars réaliste et qui sait que des gars qui bossent la musique 8 heures par jour, y en a pas des masses, tout simplement parce qu'on est pas inspiré et créatif 8 heures par jour souvent... C'est d'ailleurs normal puisque l'art n'est pas assimilable à un travail, on ne recompense pas le labeur mais le talent ( développé par le labeur toutefois ).
J'ai entendu diverses inepties telles que "un chef d'entreprise ca gagne pas la même chose qu'un intermitent", oui certes pour certains, tu oublie que l'artisanat est la plus grande entreprise de france, qu'eux se tappent des semaines de 70 heures et pas à faire des trucs sympas ( même si oui parfois on bosse la musique, la technique pure et dure et que c'est pas marrant ). Hors un artisant c'est un chef d'entreprise, et je parle pas des PME ou le patron se paye souvent moins que ses cadres...
J'ai l'impression que certains vivent dans une bulle et ont l'impression que leur petit monde est quand même bien difficile à vivre quand même.
Vous parlez toujours des intermitents comme de salariés, hors les intermitents sont pour moi des indépendants, ils proposent une "production", un "produit fini" directement sur un marché.
L'argument selon lequel le statut des intermitents ( tel qu'il est revendiqué ) serait le garant du maintient de la diversité culturelle est totalement caduque, même si je rapelle qu'en revanche pour moi, il est nécéssaire de subventionner les prod indés, les mjc et autres cetnres culturels, afin que la culture soit accessible à tous. Et pas seulement écouter de la musique, voir du théatre, mais jouer de la musique et la comédie.
Je repproche au systême tel qu'il est envisagé par les intermitents sont apsect élitiste er autoritaire. Nous sommes les défenseurs de la culture, nous avons le droit à des subventions même si personne ne nous écoute.
Et pourquoi la culture serait le lot d'un petit groupe autoproclamé qui vivrait aidé par les prolos jugés trops cons pour comprendre leur travail ?
Car voilà, j'en ai bien peur, le raisonement sous jacent dans vos propos. Je vous sens plus nobles défendants leurs privilèges que prolétaires en quête de protection.
Alors dites moi, qui est l'ordure capitaliste auto suffisante et arcqueboutée sur ses privilèges hein ?
Vous avez vu avec qu'elle révolte les artistes pleins de thunes viennent donner des lecons au ministre de la culture. Mais rappelez moi ,au fait, ces gens multi-millionaires, ils font quoi pour la culture, pour la diversité ? Ne se batent ils pas comme des rapaces, et pourtant, n'est ce pas aussi eux les artistes ?
Avant d'accuser les autres de tout les mots, il est parfois prudent de balayer devant sa porte.
Anonyme
7206
Hello everybody,
Et bien que de pages encore, que d'émotions, y'a pas, certains thread de l'af sont mieux que le loft !!!!
Je trouve que le discours a évolué positivement dans l'ensemble, certains posts m'ont bien fait marrer (Loop > ça n'a pas été relevé mais "comédiens lamentables" )
Sinon j'ai vu ce pauvre dj Aydree qui essayait désespérément de lire que vivre de la musique en étant intermittent était quelque chose de chouette.
Je l'aime bien dj, Loop disait de lui qd il est entrée ds le thread qu'il était "pur".
Et c'est vrai que sa question qui était candide, qui n'avait pas de réponse, qui était mal comprise au début elle sonne pour moi plus fort que les autres.
Elle me fait penser à cette scène dans "l'aile ou la cuisse" où Louis de Funes déguisé en vieille dans un restau demande de l'eau minérale, laquelle ne lui est jamais servit tant on voit les gens afférés à leurs besogne, l(a)e négligeant au profit de clients apparement plus importants.
Moi j'imagine dj avec ses platines, son sampleur, il est avec des sons pleins la tête, il aime la musique, il veut apprendre plein de choses sur elle, les choses qui ne connais pas encore parce qu'il sait déjà faire plein de trucs avec ses machines, plein de trucs qui lui donne envies d'en faire encore plein d'autres comme n'importe quel musicien qui aime la musique.
Seulement voilà, ce qu'il aime faire ne lui permet pas encore de toucher suffisament de thunes pour en vivre.
Alors ce n'est pas grave car dj il est patient, il a la foi dans ce qu'il fait et il sait qu'en apprenant encore et toujours il y arrivera.
Et puis ça ne fait pas si longtemps que ça qu'il s'est trouver sa voie alors il trouve normal qu'au début il faut prendre le temps de trouver son rythme.
Et pour trouver son rythme il vient causer avec des gens qui eux sont censé avoir fait une partie du chemin et là qu'est-ce qu'il découvre ?
Des mecs qui ne sont même pas capable de lacher deux secondes leurs discours politico/économico/pipi/caca pour lui dire "Oui Dj on est heureux de vivre de notre passion, du métier qu'on a choisi de faire et quoiqu'il se passe on trouvera toujours suffisament de satisfactions au sein de celui-ci"
Et ce qu'il faut comprendre ce n'est pas que se soit la réalité, que ce n'était pas nécessairement aux "musiciens" intermittents de répondre, non, ce qu'il fallait dire c'est "oui, c'est génial de pouvoir faire ça, de savoir faire ça, de la musique, c'est du rêve en barre que tu emmènes avec toi toute ta vie."
Car c'est ça qui est la force nécessaire, celle que Dj posséde encore, croire, espérer, rêver, écouter, s'émerveiller, fantasmer etc. ce qui fait que des spectacles se montent, prennent vie, existe, que de la musique se compose, que de la peinture salit les toiles immaculées.
C'est ça aussi à mon sens cette classifiquation que chacun de nous fait ici qd on dit "oui l'intermitence ok mais pour ceux qu'y le méritent" ou si on dit "de toute façon un véritable artiste n'a pas besoin de l'intermitence".
Seulement là où il suffit de mots simples il est pour beaucoup plus facile de se lancer dans des batailles de clochers.
Alors Dj Aydree je te répond par l'affirmative "oui il est des musiciens intermittent qui aiment leur "métier", des gens qui le font par vocation et passion, des gens qui savent prolonger tout au long de leur vie ce que tu ressens au fond de toi et que tu aimerais vivre totalement.Des gens qui surviveront à la destruction du régime des intermittents mais qui ne sauront peut-être pas épargner leurs proches."
Voilà je crois ce que dj aurait voulu lire et si ce n'est pas ce qu'il attendait je crois que c'est ce qui aurait dû tout de suite lui être dit.
Mais pour cela il aurait fallu que le débat soit plus proche d'une "sensibilité" artistique, que les discours ne soient pas ceux proposé par le gouvernement (pour ou contre l'intermittence qui nous pompe du fric) mais plutôt sur les valeurs positives qu'engendre une culture de proximité dans un milieu social qui, lui, tend de plus en plus à diriger les individus vers l'isolement.
Et là je pense que je peux être d'accord avec les détracteurs du régime de l'intermittence en leur disant qu'ils ont effectivement raison de dire qu'un artiste se doit de solliciter un public, de le faire bouger et réfléchir, que si ces conditions ne sont pas remplis et bien le status est usurpé mais je leur dirais par contre que ce même artiste ne pourras pas remplir sa "mission" si son mode de vie le rend exsangue du fait des contraintes matérielles qu'il ne pourra gérer si on ne lui en donne pas le pouvoir (genre acheter une bagnole à crédit en touchant des cachetons à 500 balles par-ci, par-là).
Alors voilà, c'était juste histoire de dire que cette saloperie de système dans lequel nous vivons sacralise tellement le fric que là où on devrait avoir des discours qui soient en relation direct avec la musique et la façon dont on l'aime on se retrouve avec des discours économiques qui ramènent à raz du sol cet élément de notre vie qui je pense est pourtant essentiel à chacun de nous.
Et bien que de pages encore, que d'émotions, y'a pas, certains thread de l'af sont mieux que le loft !!!!
Je trouve que le discours a évolué positivement dans l'ensemble, certains posts m'ont bien fait marrer (Loop > ça n'a pas été relevé mais "comédiens lamentables"
)Sinon j'ai vu ce pauvre dj Aydree qui essayait désespérément de lire que vivre de la musique en étant intermittent était quelque chose de chouette.
Je l'aime bien dj, Loop disait de lui qd il est entrée ds le thread qu'il était "pur".
Et c'est vrai que sa question qui était candide, qui n'avait pas de réponse, qui était mal comprise au début elle sonne pour moi plus fort que les autres.
Elle me fait penser à cette scène dans "l'aile ou la cuisse" où Louis de Funes déguisé en vieille dans un restau demande de l'eau minérale, laquelle ne lui est jamais servit tant on voit les gens afférés à leurs besogne, l(a)e négligeant au profit de clients apparement plus importants.
Moi j'imagine dj avec ses platines, son sampleur, il est avec des sons pleins la tête, il aime la musique, il veut apprendre plein de choses sur elle, les choses qui ne connais pas encore parce qu'il sait déjà faire plein de trucs avec ses machines, plein de trucs qui lui donne envies d'en faire encore plein d'autres comme n'importe quel musicien qui aime la musique.
Seulement voilà, ce qu'il aime faire ne lui permet pas encore de toucher suffisament de thunes pour en vivre.
Alors ce n'est pas grave car dj il est patient, il a la foi dans ce qu'il fait et il sait qu'en apprenant encore et toujours il y arrivera.
Et puis ça ne fait pas si longtemps que ça qu'il s'est trouver sa voie alors il trouve normal qu'au début il faut prendre le temps de trouver son rythme.
Et pour trouver son rythme il vient causer avec des gens qui eux sont censé avoir fait une partie du chemin et là qu'est-ce qu'il découvre ?
Des mecs qui ne sont même pas capable de lacher deux secondes leurs discours politico/économico/pipi/caca pour lui dire "Oui Dj on est heureux de vivre de notre passion, du métier qu'on a choisi de faire et quoiqu'il se passe on trouvera toujours suffisament de satisfactions au sein de celui-ci"
Et ce qu'il faut comprendre ce n'est pas que se soit la réalité, que ce n'était pas nécessairement aux "musiciens" intermittents de répondre, non, ce qu'il fallait dire c'est "oui, c'est génial de pouvoir faire ça, de savoir faire ça, de la musique, c'est du rêve en barre que tu emmènes avec toi toute ta vie."
Car c'est ça qui est la force nécessaire, celle que Dj posséde encore, croire, espérer, rêver, écouter, s'émerveiller, fantasmer etc. ce qui fait que des spectacles se montent, prennent vie, existe, que de la musique se compose, que de la peinture salit les toiles immaculées.
C'est ça aussi à mon sens cette classifiquation que chacun de nous fait ici qd on dit "oui l'intermitence ok mais pour ceux qu'y le méritent" ou si on dit "de toute façon un véritable artiste n'a pas besoin de l'intermitence".
Seulement là où il suffit de mots simples il est pour beaucoup plus facile de se lancer dans des batailles de clochers.
Alors Dj Aydree je te répond par l'affirmative "oui il est des musiciens intermittent qui aiment leur "métier", des gens qui le font par vocation et passion, des gens qui savent prolonger tout au long de leur vie ce que tu ressens au fond de toi et que tu aimerais vivre totalement.Des gens qui surviveront à la destruction du régime des intermittents mais qui ne sauront peut-être pas épargner leurs proches."
Voilà je crois ce que dj aurait voulu lire et si ce n'est pas ce qu'il attendait je crois que c'est ce qui aurait dû tout de suite lui être dit.
Mais pour cela il aurait fallu que le débat soit plus proche d'une "sensibilité" artistique, que les discours ne soient pas ceux proposé par le gouvernement (pour ou contre l'intermittence qui nous pompe du fric) mais plutôt sur les valeurs positives qu'engendre une culture de proximité dans un milieu social qui, lui, tend de plus en plus à diriger les individus vers l'isolement.
Et là je pense que je peux être d'accord avec les détracteurs du régime de l'intermittence en leur disant qu'ils ont effectivement raison de dire qu'un artiste se doit de solliciter un public, de le faire bouger et réfléchir, que si ces conditions ne sont pas remplis et bien le status est usurpé mais je leur dirais par contre que ce même artiste ne pourras pas remplir sa "mission" si son mode de vie le rend exsangue du fait des contraintes matérielles qu'il ne pourra gérer si on ne lui en donne pas le pouvoir (genre acheter une bagnole à crédit en touchant des cachetons à 500 balles par-ci, par-là).
Alors voilà, c'était juste histoire de dire que cette saloperie de système dans lequel nous vivons sacralise tellement le fric que là où on devrait avoir des discours qui soient en relation direct avec la musique et la façon dont on l'aime on se retrouve avec des discours économiques qui ramènent à raz du sol cet élément de notre vie qui je pense est pourtant essentiel à chacun de nous.
Anonyme
521410
Chacun choisit sa voie...avec les avantages et les inconvénients...
Comme dirait Mr Drumond: "faut de tout pour faire un monde"!!!
Comme dirait Mr Drumond: "faut de tout pour faire un monde"!!!
Bloody ou les prospérités du Vice
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