"Le Saviez-Vous ?"

Les toits en zinc c'est parce qu'il y a toujours eu beaucoup de bistrots à Paris.

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Quand on dit qu'il faut avoir au minimum 3 sauvegardes sur supports différents : un disque dur (ou plusieurs dans un NAS en RAID), un SSD ou carte genre SDXC, et un Cloud en ligne.

avant que la piste cyclable soit matérialisée

Les plantes émettent des sons
Une découverte majeure a récemment été faite : les plantes émettent des sons, mais ceux-ci sont inaudibles pour l'oreille humaine. Les ultrasons produits par les plantes sont généralement émis en réponse à un stress, et chaque plante et chaque type de stress émet un son spécifique identifiable. Ces résultats ont été publiés dans la revue scientifique Cell. Les résultats de cette étude, déjà parus sous forme de prépublication en 2019, suggèrent l'existence de sons végétaux, semblables à des cliquetis de pop-corn, produits par les plantes en état de stress.

Les ultrasons produits par les plantes sont enregistrés à des fréquences comprises entre 20 et 100 KHz, bien au-dessus de la gamme de fréquences sonores audibles pour l'oreille humaine, qui ne dépasse que rarement les 16 KHz. Les chercheurs ont placé des microphones à ultrasons enregistrant des sons à environ 10 cm de chaque plante, dans un caisson acoustique, sans aucun bruit de fond.

Ces bruits produits par les plantes sont influencés par leur état, tel que la sécheresse ou les tiges coupées. L'étude a principalement portée sur les plants de tomates et de tabac, mais d'autres plantes telles que le blé, le maïs, le cactus et le henbit (une fleur) ont également été enregistrées. Les résultats suggèrent que cette propriété peut s'appliquer à l'ensemble du règne végétal.

Bien que ces sons soient imperceptibles pour l'oreille humaine, ils peuvent probablement être entendus par divers animaux, tels que les chauves-souris et les souris.

Cette découverte remet en question notre compréhension du monde végétal et ouvre de nouvelles perspectives pour la recherche en botanique.

à l'adolescence (il) pouvait manger un quart de bovin pesant son propre poids, en un jour.

Tarrare était de taille et d'apparence normale, et ne montrait aucun signe de maladie mentale autre que ce qui a été décrit comme un tempérament apathique.

Les efforts visant à le maintenir sous un régime contrôlé échouèrent aussi : il se faufilait hors de l'hôpital à la recherche d'abats à l'extérieur des boucheries, il se battait avec des chiens errants pour des charognes. Il fut aussi plusieurs fois surpris au sein de l'hôpital à s'abreuver de la saignée de patients, ainsi qu'à essayer de manger des cadavres de la morgue.

(...)

Après quelque temps, un enfant de 14 mois fut signalé disparu dans l'hôpital, et Tarrare fut immédiatement suspecté. Percy ne voulut ou ne put le défendre et le personnel hospitalier chassa Tarrare de l'hôpital, où il ne revint jamais.

Pendant l'autopsie, l’œsophage se révéla être anormalement large, et quand ses mâchoires étaient ouvertes, les chirurgiens pouvaient voir un large canal jusqu'à l'estomac. Son corps était rempli de pus, son foie et sa vésicule biliaire étaient anormalement larges, couverts d'ulcères et remplissaient la majorité de sa cavité abdominale.