Souvenirs, nostalgie et autres petits remèdes pour vieillir sereinement
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Oiseau Bondissant
On met aussi en photo le sèche-cheveux moulinex de maman parce que c'était l'accessoire à la mode et on cherche la série qui passait avec Robert Conrad qu'on adorait mais dont on a oublié le nom.
Let's go
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
Anonyme
[ Dernière édition du message le 11/05/2018 à 16:54:56 ]
Dr Pouet
La belle voix de basse qui ouvre le film.
(Albert de Ruiter)
[ Dernière édition du message le 11/05/2018 à 19:12:35 ]
Anonyme
JohnnyG
Pardon aux familles, humour, encule un mouton toussa....
Dr Pouet
Et ça ne nous dit rien sur la focale.
:restons techniques:
dana12
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
Ho'Dog
Citation de Ho'Dog :le katorza, c'est celui vers Zola?
mes parents habitent par là, faudrait que j'aille voir si ça existe encore quand j'y passe en effet
Non, c'est à côté de la place Graslin. Tu penses probablement au Concorde, qui a une programmation encore plus zarbi.
PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:
Anonyme
Anonyme
je sais pas comment j'avais réussi à convaincre les darons de me laisser y aller seul, et le public devait pas être bien nombreux dans le ciné tout pourri mon patelin qui diffusait le film, pour qu'on me laisse entrer (j'ai peine à imaginer que le film soit autorisé aux - de 12 ans, que je n'avais pas du tout)
M'enfin pour un 1er film vu sans papamaman, j'aurais pu tomber plus mal.
Dr Pouet
Anonyme
et le public devait pas être bien nombreux dans le ciné tout pourri mon patelin qui diffusait le film
Ben vu que c'était filmé dans ton coin avec des locaux plus vrais que nature pour la figuration et les rôles de curetons avec des "gueules", ces derniers ne voyaient pas l'intérêt de se payer une toile pour voir ce qu'il avaient sous le nez tous les jours (voisins, baraques, bures, chariots) même si il y avait les odeurs en moins
Max_Onhoff
Anonyme
"De tous les visages du passé, celui que je revois le plus distinctement est celui de cette fille, que je n'ai jamais oublié, et à laquelle je n'ai jamais cessé de penser. Elle fut le seul amour terrestre de ma vie, et pourtant je ne savais, et jamais je ne sus son nom"
[ Dernière édition du message le 12/05/2018 à 22:52:19 ]
Max_Onhoff
samy dread
ça vous parle?
Non je ne mettrai pas de pull
Javier Guante Hermoso
El Migo
si je dis : 'je roulais en code'
ça vous parle?
Sur une autoroute à Vinci ?
El Migo

Les aventures de Tartine Mariol, je dois être le seul à avoir connu cette BD
:Agecanonix:
Dr Pouet
Armée de son « rifflard » (synonyme de pébroque).
[ Dernière édition du message le 19/05/2018 à 15:09:44 ]
Dr Pouet
Bon c’est Tartine et non pas Dame Tartine. Manque de rigueur de ma jeunesse.
Sacré tempérament cette Tartine.
Il faudrait un « Tartine contre Captain America » pour voir. À mon avis le bellâtre l’aurait dans le cul.
Anonyme
Les aventures de Tartine Mariol, je dois être le seul à avoir connu cette BD
:Agecanonix:
j'ai connu aussi, mais je sais pas si c'est parceque ça existait encore quand j'étais gosse, ou si c'était simplement des bédés datant de ma fratrie bien plus agée.
stratvinc
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
Max_Onhoff
Rifki
En vérité, ce que je préférais, c'était le journal Interview. Un croisement entre Paris match et Lui (le journal érotique). Je mettais mon petit courage à l'épreuve pour affronter le reportage glauque genre, des suicides dans le métro illustrés avec des photos de cadavres mutilés puis, dans un registre plus léger, passer au reportage photo sur Jessica et Sabrina deux jeunes universitaires totalement nues.
Bien sûr, si on se faisait choper avec le journal en question par nos parents (parce que ça traînait pas mal sur les tables de salon), on essayait d'avoir l'air impassible.
Rifki
Dans le dortoir, elle avait une chambre avec des fenêtres intérieures opaques blanches. On distinguait à peine sa silhouette le soir en ombre chinoise mais ça suffisait à alimenter nos fantasmes.
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