Vos meilleurs clichés

J'étais en fourgon. J'avais mon matos numérique dans un sac photo rangé dans un placard de mon fourgon. Celui-ci n'a pas quitté Merzouga (l'oasis en bordure du désert) et on ne l'a pas utilisé de tout le séjour (4-5 jours). On l'a ouvert juste une ou deux fois pour prendre des affaires dedans. Je n'ai évidemment pas ouvert une seule fois le sac photo à fermeture Éclair.

Quand plus tard, en zone non sableuse, j'ai rouvert ce sac, il y a avait du sable dedans.
Pas beaucoup, mais un peu quand même !

Au passage, j'ai fait très peu de photos numériques là-bas, notamment à Marrakech (un peu plus dans les zones désertiques non sableuses). Je ne trouvais pas très décent de sortir sous le nez des marocains du matos qui coûtait l'équivalent d'un an de salaire de la plupart d'entre eux. J'ai été carrément choqué de voir des touristes se balader avec des gros Canon (et leur grosse sangle jaune bien pétante) et des énormes téléobjectifs pour photographier dans le souk sans rien demander aux gens.
Pour ma part, le peu que j'ai fait, je l'ai fait avec un objectif discret et toujours en échangeant un regard avec mon sujet pour avoir son assentiment. Putain, c'est pas un zoo !

J’avais pris la sangle ”standard” mais j'ai changé pour le modèle ”light”, la 1ere étant vraiment très large et encombrante.

Optech USA : top sangles hyper confortables et modulables et pas chères.
Systèmes de clips permettant de passer hyper rapidement d'une configuration à l'autre.
Par exemple, j'ai une sangle sling, mais je peux rapidement passer l'appareil sur la sangle de poignet.
J'ai aussi une sangle classique que je peux passer en un rien de temps en mode deux appareils

Je ne mets la sangle autour du cou que très rarement, juste quand je change d’objectif en fait. Le reste du temps je tiens mon appareil à la main avec la sangle enroulée autour du poignet en sécurité.
Du coup une sangle matelassée, bof pour moi.