Le Club des Célibataires
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Fuyuhiko
26198
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 17/06/2005 à 16:55:49Le Club des Célibataires
Trop tôt pour en parler alors !
I'm Back
Anonyme
521410
6732 Posté le 03/08/2007 à 14:59:20
M'enfin y'a pas matière à débat : le mec s'est amusé à construire une théorie à la con sur des généralités, c'est marrant, ça peut faire réfléchir certaines personnes mais rentre dans le jeu du "ça c'est vrai par contre ça non", je trouve que c'est pas très intéressant. On dirait les e-mails que le mec a reçu "Pourtant mon expérience ne rentre pas dans ce cadre tourlou ".
Enfin ce genre de théorie ça sert à rien : une rencontre, c'est des adéquations d'individualités, on connait tous les critères possibles, mais étudier comme ça le pourquoi ça marche ou pas c'est une optique de personne qui cherche à se macquer ou tirer son coup avec quelqu'un de potable, pas à avoir une relation intéressante.
Enfin ce genre de théorie ça sert à rien : une rencontre, c'est des adéquations d'individualités, on connait tous les critères possibles, mais étudier comme ça le pourquoi ça marche ou pas c'est une optique de personne qui cherche à se macquer ou tirer son coup avec quelqu'un de potable, pas à avoir une relation intéressante.
Anonyme
521410
6733 Posté le 03/08/2007 à 15:00:16
N'empêche que je pense qu'on a tous vécu au moins une fois le cas du gigolo cérébral
Anonyme
521410
6734 Posté le 03/08/2007 à 15:01:17
Voilà, +1 Zap : dans le courrier des lecteurs, il ya :
"est-ce que tout ça c'est juste satirique ?"
"RIEN n'est jamais uniquement satirique." Bref cette théorie c'est pas un sacerdoce, c'est un farce avec des petits bouts de vérité dedans.
"est-ce que tout ça c'est juste satirique ?"
"RIEN n'est jamais uniquement satirique." Bref cette théorie c'est pas un sacerdoce, c'est un farce avec des petits bouts de vérité dedans.
RaphRaymond
7824
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
6735 Posté le 03/08/2007 à 15:01:59
+1 à vous deux
Raphaël Raymond, Compositeur, Arrangeur, Guitariste : http://www.raphaelraymond.fr
Anonyme
521410
6737 Posté le 03/08/2007 à 15:06:19
Ouais c'est facile maintenant
Ils vont tous revenir la gueule enfarinée "nan mais on déconnait on sait très bien que c'est pas du premier degré"
Crevards de célibataires
Ils vont tous revenir la gueule enfarinée "nan mais on déconnait on sait très bien que c'est pas du premier degré"
Crevards de célibataires
Anonyme
521410
6738 Posté le 03/08/2007 à 15:54:37
Il y a aussi des bases vraies mais avec des proportions complètement bidons.
Par exemple, toutes des salopes qui s'intéressent au pouvoir et tous des cons assoifés de pouvoir. On peut pas dire que ça n'existe pas et qu'on ne rencontre jamais ces gens là dans nos vies, directement ou dans notre entourage. C'est bien symptomatique d'un phénomène massif, non ?
Perso je maintiens qu'une majorité de gens sont superficiels, ça découle de l'absurdité de certains aspects de notre mode vie en 2007. Interprétez ça comme vous voulez, pour moi c'est juste une façon de se concentrer sur des personnes différentes, plus spontanées et moins analytiques.
Evidemment, tout le monde (ou presque) tient un discours élogieux des relations. Tout le monde aspire à vivre heureux, à rencontrer la bonne personne, etc etc. En réalité, une grosse partie des gens ne font pas ce qu'ils disent ou pensent. Consciemment ou non d'ailleurs, peu importe. C'est juste de la bienséance. Mais ça on s'en rend compte que plus tard.
Entre les égoïstes, les vécus chargés, les détraqués, les contextes inadéquats et autres perles en toc, il reste plus grand monde qui veut ou sait avancer.
Tout ça reste des généralités, mais c'est à l'image de ce qui est évoqué, un truc général en 2007 : consomme et jette, c'est moins risqué.
Par exemple, toutes des salopes qui s'intéressent au pouvoir et tous des cons assoifés de pouvoir. On peut pas dire que ça n'existe pas et qu'on ne rencontre jamais ces gens là dans nos vies, directement ou dans notre entourage. C'est bien symptomatique d'un phénomène massif, non ?
Perso je maintiens qu'une majorité de gens sont superficiels, ça découle de l'absurdité de certains aspects de notre mode vie en 2007. Interprétez ça comme vous voulez, pour moi c'est juste une façon de se concentrer sur des personnes différentes, plus spontanées et moins analytiques.
Evidemment, tout le monde (ou presque) tient un discours élogieux des relations. Tout le monde aspire à vivre heureux, à rencontrer la bonne personne, etc etc. En réalité, une grosse partie des gens ne font pas ce qu'ils disent ou pensent. Consciemment ou non d'ailleurs, peu importe. C'est juste de la bienséance. Mais ça on s'en rend compte que plus tard.
Entre les égoïstes, les vécus chargés, les détraqués, les contextes inadéquats et autres perles en toc, il reste plus grand monde qui veut ou sait avancer.
Tout ça reste des généralités, mais c'est à l'image de ce qui est évoqué, un truc général en 2007 : consomme et jette, c'est moins risqué.
Head Minerve
9832
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
6740 Posté le 03/08/2007 à 16:06:42
Je trouve pas que cette théorie soit biaisée tant que ça, et d'ailleurs on s'en fout. Ce que je constate, c'est qu'on est presque forcément dans notre vie, jeune ou vieux, face à ce qui est traité comme une vérité dans le lien.
A un moment on agit dans nos relations avec le sexe opposé d'une manière qui nous déplait, donc par notre discours comme le dit Zap, ou par des actes, on essaie de sortir de ce cliché dévalorisant à souhait.
Quand je lis la théorie de l'échelle, je trouve ça intéressant parce que si j'avais renié ce qui est dit et arrêté la lecture en disant que c'est de la chiotte en boite son délire, j'aurais été forcé de m'avouer que je suis pas à l'aise avec qui je suis, que je suis pas capable de tout lire parce-que ça fait trop mal de lire ce qui n'est rien d'autre qu'un constat.
L'erreur (l'une des erreurs) serait de se dire que cette théorie représente une fatalité, l'état final de nos relations. Alors que non, cette théorie explicite une phase d'une relation, un réflexe humain, un automatisme. Le mec affirme haut et fort qu'être ami avec une nana est horrible, que c'ets la place à ne pas avoir. C'est dans ce genre de propos qu'il devient subjectif et que son discours se casse la gueule.
A chaque paragraphe où il émet un jugement de valeur (et y'en a !), il perd de la crédibilité.
C'est aussi dans ce genre de passage où on peut se dire "tiens ce texte est une grosse blague", mais je pense qu'il a fait ça très sérieusement.
A un moment on agit dans nos relations avec le sexe opposé d'une manière qui nous déplait, donc par notre discours comme le dit Zap, ou par des actes, on essaie de sortir de ce cliché dévalorisant à souhait.
Quand je lis la théorie de l'échelle, je trouve ça intéressant parce que si j'avais renié ce qui est dit et arrêté la lecture en disant que c'est de la chiotte en boite son délire, j'aurais été forcé de m'avouer que je suis pas à l'aise avec qui je suis, que je suis pas capable de tout lire parce-que ça fait trop mal de lire ce qui n'est rien d'autre qu'un constat.
L'erreur (l'une des erreurs) serait de se dire que cette théorie représente une fatalité, l'état final de nos relations. Alors que non, cette théorie explicite une phase d'une relation, un réflexe humain, un automatisme. Le mec affirme haut et fort qu'être ami avec une nana est horrible, que c'ets la place à ne pas avoir. C'est dans ce genre de propos qu'il devient subjectif et que son discours se casse la gueule.
A chaque paragraphe où il émet un jugement de valeur (et y'en a !), il perd de la crédibilité.
C'est aussi dans ce genre de passage où on peut se dire "tiens ce texte est une grosse blague", mais je pense qu'il a fait ça très sérieusement.
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