Le Club des Célibataires
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![[jj]](https://img.audiofanzine.com/img/user/avatar/3/1/31875.png?w=40&h=40&fm=pjpg&s=d71b718254d937215f8a209b6505a2a5 "[jj]")
Anonyme
521410
G²
13459
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Ha mince, je croyais que tu voulais connaitre le grand amuuuur 
.
.G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo
Vends ampli sono haute puissance ici.
Anonyme
521410
Le grand amour je le cherche plus, il est introuvable 
(enfin on sais jamais !!!
on espère !!)
(enfin on sais jamais !!!
on espère !!)Anonyme
2594
Tagadobudoire
2692
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
On va manger... DES CHIPS! T'entends, des CHIPS!
khaledo
9403
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Anonyme
521410
DJ N sarkozy mais c'est que tu doit être un grand séducteur dis donc... 
je vais rester loin de toi alors !! ça ira niveau déprim là...
la suite !! la suite !! la suite !! (tous en cœur) la suite !! la suite !!
et tu te débines pas cette fois ci !
je vais rester loin de toi alors !! ça ira niveau déprim là... la suite !! la suite !! la suite !! (tous en cœur) la suite !! la suite !! et tu te débines pas cette fois ci !
Anonyme
2594
[jj]
5912
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Anonyme
2594
Démasqué...
Bon, ben vous saurez ce qu'il m'est arrivé à la fin des récits alors, pour finir sur une touche de vraiment vrai. En plus, c'est dans le sujet
J'en étais donc à F2B, je vais essayé d'etre plus clair, et de parler à la 1ere
Soir 2
Ayant blessé à la tete un ami la veille, je décide de rester le plus longtemps possible accompagné. C'est ainsi que nous partons vers la ville. Nous croisons 2 femmes que nous reverrons toute la semaine. Parisiennes, nous sympathisons. Je ne suis pas intéressé, mais sociable, alors on discute.
Cette fabuleuse aventure s'arretera là pour ce soir, nous décidons de continuer notre chemin vers le centre ville, vers les rives de la Nive.
Nous passons outre les reflexions sur nos chaussettes de rugby catalanes, ne nous battons pas quant on nous traite de lensois, et la densité de femelles potables commence à se faire grande. Nous passons coté petit bayonne, coté "jeunes", arrivons à une "bodega" completement ouverte (un bar qui diffuse sa musique dans la rue).
Nous rentrons dans un de ces bars. Etrangement, le fond du bar est presque vide, hormis un groupe de 4 jeunes filles (plus vieilles que nous néanmoins). Nous ne disons rien, je m'approche discretement, feignant la fatigue, et m'appuie sur le mur pres de l'une d'entre elles, qui ne manque pas de m'adresser la parole
"-Kess tu fais la?
-maaiiiiiiiiiiiiis"
Cette derniere partie étant fausse (vous n'y avez pas cru j'espere hahaha), voici à peu pres ce qu'il s'est réellement passé (les smileys traduisent parfaitement l'état d'esprit, et sont la representation la plus précise de la conversation, je m'en excuse d'avance)
"-Ouaaah sympa les chaussettes ^^
-
Oui, on n'arrete pas de nous le dire
-Mais vous venez de loin non
-Un peu quand meme, oui, on est arrivés en minibus, hier
-En minibus, de Lens
- Ca va pas ? On est catalans (rire)
-Aaaaah je savais paaa"
La conversation étant bien engagée, je sentais qu'il y avait moyen de moyenner, et sur ce arrive un copain, saoul, bien entendu
"-Eeeeeerg ca va? (petit air de lover)"
La demoiselle s'en va. Fin de l'histoire. A peu de choses pres (le dialogue précis en fait), il s'est passé ça. Autant dire que j'étais dégouté, parce qu'elle et ses copines étaient jolies
Nous partons de ce bar, avec, je crois une bouteille de sirop de grenadine et des demis que nous n'avons pas commandé, pas payés, et continuons notre chemin.
Nous rencontrons un autre groupe de demoiselles, discutons, échangeons à boire, puis finalement partons. Nous recroiserons ce groupe de demoiselles quelques autres jours.
Arrive un moment ou un ami et moi devons aller uriner. Grave erreur, nous avons perdu le reste du groupe. Nous décidons d'aller acheter à manger, mais n'avons pas de sous. Je ne raconterai pas comment mon ami s'est retrouvé avec des steacks à la main, mais ils seront importants pour la suite de la soirée.
Nous partons donc vite, je mange un steack sur les 2 qu'il m'a donné, et c'est là que, du coin de l'oeil, j'aperçois 2 demoiselles seules qui ont l'air de s'ennuyer.
Ni une ni deux, j'appelle mon copain pour lui dire que je vais les voir. Il ne m'a pas entendu, et je l'ai perdu.
Soit. Sur de moi, je vais voir les demoiselles, d'un pas chaloupé et sexy en diable
"Bonsoir... Vous avez faim? J'ai 1 steack (lever de sourcil, et regard suggestif)
-Non merci, ca va
-Vous etes sûres? (posture franck dubosc)
-Oui...
-Tant pis pour vous"
Et je m'en suis allé comme un Prince.
J'ai finalement jeté ce steack maudit dans la Nive. A défaut de nourir des thons, il aura nourrit des mulets.
Pour le restant de la soirée, je me suis balladé je ne sais trop où, saoul. J'ai croisé pleins de gens, hommes, femmes. Je pense avoir tenté de draguer des femmes de la 40aine, ou alors c'étaient d'autres soirs, et finalement, j'ai décidé de rentrer.
Evidemment, je me suis trompé de chemin, et, dans un éclair de lucidité, j'ai décidé de tourner à droite.
Bien vu garçon ! A droite, coup de bol, je tombe sur 2 copains qui rentraient aussi !
En chemin devant nous marchent un groupe de jeunes, hommes et femmes, dont une avec particulierement un air de prostituée espagnole trop ramonée.
Nous discutons, tous ensemble en rentrant au camping, quand tout à coup, soudainement, j'emets l'idée de se mettre à poil.
La prostituée me met au défi, ce que je fais, mais gentleman que j'ai toujours été, je cache le paquet.
Elle me traite de loser, mais je ne me laisse pas avoir. Non, je ne voulais pas le sida. Alea jacta est. Nous nous séparons quand nous arrivons à notre minibus.
En rentrant dans le camping, nous allons aux toilettes. Celles des filles, sans faire attention. J'urine peinard, et attend la sortie des toilettes de mon copaing quand un"bloc" arrive. Magnifique jeune demoiselles aux formes généreuses.
Nous la draguons allegrement. Elle semble mi-mordre à l'hameçon, puis, ce devait etre à cause du contexte, s'en va.
Le vendredi "soir 3", je ferais une rencontre merveilleuse...
Bon, ben vous saurez ce qu'il m'est arrivé à la fin des récits alors, pour finir sur une touche de vraiment vrai. En plus, c'est dans le sujet
J'en étais donc à F2B, je vais essayé d'etre plus clair, et de parler à la 1ere
Soir 2
Ayant blessé à la tete un ami la veille, je décide de rester le plus longtemps possible accompagné. C'est ainsi que nous partons vers la ville. Nous croisons 2 femmes que nous reverrons toute la semaine. Parisiennes, nous sympathisons. Je ne suis pas intéressé, mais sociable, alors on discute.
Cette fabuleuse aventure s'arretera là pour ce soir, nous décidons de continuer notre chemin vers le centre ville, vers les rives de la Nive.
Nous passons outre les reflexions sur nos chaussettes de rugby catalanes, ne nous battons pas quant on nous traite de lensois, et la densité de femelles potables commence à se faire grande. Nous passons coté petit bayonne, coté "jeunes", arrivons à une "bodega" completement ouverte (un bar qui diffuse sa musique dans la rue).
Nous rentrons dans un de ces bars. Etrangement, le fond du bar est presque vide, hormis un groupe de 4 jeunes filles (plus vieilles que nous néanmoins). Nous ne disons rien, je m'approche discretement, feignant la fatigue, et m'appuie sur le mur pres de l'une d'entre elles, qui ne manque pas de m'adresser la parole
"-Kess tu fais la?
-maaiiiiiiiiiiiiis"
Cette derniere partie étant fausse (vous n'y avez pas cru j'espere hahaha), voici à peu pres ce qu'il s'est réellement passé (les smileys traduisent parfaitement l'état d'esprit, et sont la representation la plus précise de la conversation, je m'en excuse d'avance)
"-Ouaaah sympa les chaussettes ^^
-
Oui, on n'arrete pas de nous le dire-Mais vous venez de loin non
-Un peu quand meme, oui, on est arrivés en minibus, hier
-En minibus, de Lens
-
Ca va pas ? On est catalans (rire)-Aaaaah je savais paaa"
La conversation étant bien engagée, je sentais qu'il y avait moyen de moyenner, et sur ce arrive un copain, saoul, bien entendu
"-Eeeeeerg ca va? (petit air de lover)"
La demoiselle s'en va. Fin de l'histoire. A peu de choses pres (le dialogue précis en fait), il s'est passé ça. Autant dire que j'étais dégouté, parce qu'elle et ses copines étaient jolies
Nous partons de ce bar, avec, je crois une bouteille de sirop de grenadine et des demis que nous n'avons pas commandé, pas payés, et continuons notre chemin.
Nous rencontrons un autre groupe de demoiselles, discutons, échangeons à boire, puis finalement partons. Nous recroiserons ce groupe de demoiselles quelques autres jours.
Arrive un moment ou un ami et moi devons aller uriner. Grave erreur, nous avons perdu le reste du groupe. Nous décidons d'aller acheter à manger, mais n'avons pas de sous. Je ne raconterai pas comment mon ami s'est retrouvé avec des steacks à la main, mais ils seront importants pour la suite de la soirée.
Nous partons donc vite, je mange un steack sur les 2 qu'il m'a donné, et c'est là que, du coin de l'oeil, j'aperçois 2 demoiselles seules qui ont l'air de s'ennuyer.
Ni une ni deux, j'appelle mon copain pour lui dire que je vais les voir. Il ne m'a pas entendu, et je l'ai perdu.
Soit. Sur de moi, je vais voir les demoiselles, d'un pas chaloupé et sexy en diable
"Bonsoir... Vous avez faim? J'ai 1 steack (lever de sourcil, et regard suggestif)
-Non merci, ca va
-Vous etes sûres? (posture franck dubosc)
-Oui...
-Tant pis pour vous"
Et je m'en suis allé comme un Prince.
J'ai finalement jeté ce steack maudit dans la Nive. A défaut de nourir des thons, il aura nourrit des mulets.
Pour le restant de la soirée, je me suis balladé je ne sais trop où, saoul. J'ai croisé pleins de gens, hommes, femmes. Je pense avoir tenté de draguer des femmes de la 40aine, ou alors c'étaient d'autres soirs, et finalement, j'ai décidé de rentrer.
Evidemment, je me suis trompé de chemin, et, dans un éclair de lucidité, j'ai décidé de tourner à droite.
Bien vu garçon ! A droite, coup de bol, je tombe sur 2 copains qui rentraient aussi !
En chemin devant nous marchent un groupe de jeunes, hommes et femmes, dont une avec particulierement un air de prostituée espagnole trop ramonée.
Nous discutons, tous ensemble en rentrant au camping, quand tout à coup, soudainement, j'emets l'idée de se mettre à poil.
La prostituée me met au défi, ce que je fais, mais gentleman que j'ai toujours été, je cache le paquet.
Elle me traite de loser, mais je ne me laisse pas avoir. Non, je ne voulais pas le sida. Alea jacta est. Nous nous séparons quand nous arrivons à notre minibus.
En rentrant dans le camping, nous allons aux toilettes. Celles des filles, sans faire attention. J'urine peinard, et attend la sortie des toilettes de mon copaing quand un"bloc" arrive. Magnifique jeune demoiselles aux formes généreuses.
Nous la draguons allegrement. Elle semble mi-mordre à l'hameçon, puis, ce devait etre à cause du contexte, s'en va.
Le vendredi "soir 3", je ferais une rencontre merveilleuse...
Ce post était tres certainement une mauvaise blague
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