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Sujet Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?

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Sujet de la discussion Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?
Délir les spots, vive arlette qui bientot fera son discours ds un fauteuil, la vieille arrive plus a parler. :mdr:

Une mesa recto, une gibson, c'est pas compliqué, vous êtes un chef

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9431

Citation : Ça sert aussi à informer les Françaises et les Français de ce que j'ai vu du candidat Sarkozy, de ce que j'ai ressenti de lui, l'être humain, en tous les cas de ce qu'il en reste.


ça bache sévère

Django :
l'énonciateur : Azouz Begag
Ou : sur le bondy blog
Quand : aujourd'hui
ça parle de quoi : de Sarkozy
9432
Ceux qui sont opposants aux opinions de Jules Joffrin et qui en profitent pour lui rappeler son role de moderateur sous prétexte qu'il hausse un peu le ton sont des connards finis.

A leur place je pourrais plus me regarder dans une glace.

Comme de par hasard ce sont ceux qui sont de tendance "(extreme) droite objective".

Ca ne m'étonne pas trop.
9433
Vous ne trouvez pas qu'en général, on trouve chez les libéraux "progressistes" et les droitistes extremes un coté sournois, faux-cul et lâche ? (cf. Sarko entre autres)

Histoire de recadrer le débat dans ses basiques.
9434
9435
+1 les vrais gens sont a gauches
9436
Franchement, je ne sais pas qui votera Sarkozy, je ne connais pas une seule personne autour de moi prête à le faire. Même si une fois dans l'isoloir on fait ce que l'on veut, je reste perplexe sur les scores pharaoniques que les instituts de sondages lui prédisent au premier tour (plus de 25% ça commence à faire beaucoup).

Ouais, il est où ce quart des électeurs qui va voter Sarkozy ? Entre les indécis et les menteurs, on se demande vraiment...
9437

Citation : +1 les vrais gens sont a gauches



faut pas pousser non plus!!! :8O:


Citation : Aujourd’hui, c’est un fait, Nicolas Sarkozy est un candidat plus crédible que Ségolène Royal. Ce qui était strictement impossible à deviner deux mois plus tôt…

Le positionnement du candidat, avec son programme ou ses propositions, est un élément fondamental. On a d’abord vu la présidente de la région Poitou-Charentes très hésitante à employer le terme même de socialisme. C’était l’époque, il y a encore six mois, où elle allait à Londres prendre des leçons de blairisme. Mais il lui fallait, avant de se présenter devant le peuple, l’emporter sur ses concurrents du parti, et en particulier, sur Laurent Fabius. À ce moment-là, elle a été comme récupérée par le parti socialiste. Puis elle s’est laissée convaincre qu’il lui fallait aussi séduire les camarades, les troupes vieillies mais incontournables des syndicats de la fonction publique et du corps enseignant plus particulièrement. Finie la nouvelle gauche. Retour à la case du socialisme ringard, ce modèle collectiviste qui a échoué partout.

On peut aussi situer les candidats sur l’axe classique droite-gauche. En déplaçant le curseur de son positionnement sur la gauche, afin de plaire à ses amis, aux hiérarques du parti, aux médias… Ségolène Royal a pris le risque, sans doute fatal, de laisser le champ libre du centre gauche à François Bayrou et même à Nicolas Sarkozy. Car l’immense majorité des électeurs socialistes sont sans doute des gens raisonnables, plus nombreux à pencher au centre gauche qu’à l’extrême gauche.

En effet, comme nous le disons souvent dans ces colonnes, le corps électoral français est très majoritairement à droite. Tout simplement parce qu’il ne croit plus aux billevesées collectivistes ou même simplement étatistes. Même des intellectuels qui furent en leur temps de bons compagnons de route de telle ou telle variante du marxisme-léninisme virent leur cuti et l’affichent. André Glucksmann, ex-maoïste, vote Sarkozy. Idem pour Pascal Bruckner, ex-guévariste. Autant pour Max Gallo, ancien porte-parole du gouvernement de Pierre Mauroy. Même l’ancien critique littéraire de l’hebdomadaire culturel branché « Les inrockuptibles », Marc Weitzmann, acclame le discours du Président de l’UMP. Comme les hommes politiques, les intellectuels doivent savoir s’adapter à leur marché. Et l’avenir n’est plus à gauche…

Sur l’axe droite-gauche, Nicolas Sarkozy laisse, sur sa droite, une place d’autant plus importante à Jean-Marie Le Pen que ce dernier capitalise également la quasi-totalité des intentions de vote qui résultent du discrédit général qui affecte l’ensemble de la classe politique française, et qui fut encore vérifié à l’occasion du référendum qui s’est soldé par le rejet de la Constitution européenne à laquelle étaient favorables aussi bien Nicolas Sarkozy que Ségolène Royal et François Bayrou. C’est pourquoi, ce dernier, s’il a jusqu’à maintenant, profité de l’espace politique laissé vacant par la candidate socialiste, peut difficilement entrer en compétition avec le leader du Front national pour capter les voix des électeurs mécontents.


Alain Dumait, rédacteur en chef des 4 vérités

ça me parait objectif ça. non?
Trop trop bon!
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Enfin si c'est objectif, mais ça ne démontre pas grand chose.
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Ouf... :fou:
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours.... :oo: