Sujet Les conneries. publiques !
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Anonyme
521410
J'éspère que t'as fait expres pour faire un image de si mauvaise qualitée 
Hit !
22171
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
ang3lou
81
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 17 ans
Un jour la petite huguette...
Will Zégal
74589
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
ang3lou
81
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 17 ans
Anonyme
3027
ang3lou
81
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 17 ans
Mdr non en fait je prends un appareil jetable puis je fais développer puis je scan et je retravaille avec un logiciel hyper pro que l'on appelle heuuuuu... paint je crois...
Un jour la petite huguette...
ibraz
2221
AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Tout le W-E: maçonnerie! 
Madame veut remplacer une vieille grande porte-fenêtre (qu'elle trouve) moche par une autre flambant neuve, mais plus étroite...
Argh!
Faut déplacer les jolies pierres d'angle...
Euh....Jamais fait ça, moi.
Bon, on invite le Tonton qui connaît la musique (et qui trouve à son goût l'horreur répudiée par Madame), et déjà on se fait chier 2 heures pour retirer l'autre incrustée, là...
Deux autres heures pour sortir la pierre du haut, ultra coincée par quelques siècles de tassement sous le linteau en chêne d'avant-hier (quasi fossilisé, l'ancêtre, impossible de l'attaquer au ciseau à bois...)...
ENFIN, elle sort (en trois morceaux... chuis vaguement dépité, comme si ça puait pour la suite!), et retirer les autres est un jeu d'enfant...enfin d'enfant costaud quand même, elles sont lourdes, les garces!
Puis c'est le soir, alors choucroute avec Tonton et Tata, pour remercier...
Brèfle...
Le lendemain matin voilà-t-y pas qu'il s'agit de remonter lesdites magnifiques pierres d'angle 60 cm plus loin (pour rétrécir l'ouverture, vous suivez?), alors on cale deux solives verticalement pour servir d'appui et de guide (que ce soit droit, quand même), et hop, on commence à remonter tout ça au mortier, comme les anciens à ce qu'il paraît!
Mais c'est que les murs ici mesurent le mètre vingt en épaisseur, alors il faut prolonger aussi à l'intérieur...Faut trouver du caillou (granite ici, louuuurd!), le trimballer, le choisir et bien l'emboîter, etc...
Bref, tout doucettement, ça monte, au-dehors les jolies pierres d'angle grâce à l'art du Tonton, et au-dedans malgré moi qui n'y connais pas lourd...
Vient l'avant-dernière petiote si jolie, la plus lourde de toutes histoire de rigoler. Faut la percher aux alentours d'un mètre soixante-dix de hauteur...
Elle pèse pas loin de 60 Kg...
On essaie comme ça, pèpère les mecs, d'en bas: Plus haut que la poitrine, les bras ne veulent plus.
Bon, on la pose, on s'en va quérir une sorte d'escabeau, on monte une marche ou deux (à deux sur l'escabeau quand même, et on tâche de monter le caillou en même temps que les marches, à deux vous dis-je, en tâchant de ne pas basculer (le carrelage est JOLI en dessous, voyez...).
mais c'est trop dur, une fois en haut, il manquerait deux centimètres, on n'en peut plus, on va lâcher, il ne faut surtout pas!!!!
Alors on a la bonne idée de soulager le poids sur l'angle interne du mur remonté...INTERNE...mon côté, quoi...le côté du clampin si vous avez suivi:
Bin voilà, tout l'interne du mur dégringole tandis qu'on reprend la pierre et la pose in extremis à sa place, tout dégringole sur le joli carrelage...
Tiens, c'est la nuit...
Faut s'arrêter.
J'ai mal dormi, tout le corps endolori.
Je me lève ce matin, et je contemple, derrière la bâche installée à la diable pour, paraît-il, empêcher le froid d'entrer par l'ouverture, le désastre, le boulot pas fini et qui aurait dû l'être (le menuisier vient poser la porte demain), la promesse d'un prochain excellent WE...
Tiens, j'ai comme la gueule de bois ce matin...
Madame veut remplacer une vieille grande porte-fenêtre (qu'elle trouve) moche par une autre flambant neuve, mais plus étroite...Argh!
Faut déplacer les jolies pierres d'angle...
Euh....Jamais fait ça, moi.
Bon, on invite le Tonton qui connaît la musique (et qui trouve à son goût l'horreur répudiée par Madame), et déjà on se fait chier 2 heures pour retirer l'autre incrustée, là...
Deux autres heures pour sortir la pierre du haut, ultra coincée par quelques siècles de tassement sous le linteau en chêne d'avant-hier (quasi fossilisé, l'ancêtre, impossible de l'attaquer au ciseau à bois...)...
ENFIN, elle sort (en trois morceaux... chuis vaguement dépité, comme si ça puait pour la suite!), et retirer les autres est un jeu d'enfant...enfin d'enfant costaud quand même, elles sont lourdes, les garces!
Puis c'est le soir, alors choucroute avec Tonton et Tata, pour remercier...
Brèfle...
Le lendemain matin voilà-t-y pas qu'il s'agit de remonter lesdites magnifiques pierres d'angle 60 cm plus loin (pour rétrécir l'ouverture, vous suivez?), alors on cale deux solives verticalement pour servir d'appui et de guide (que ce soit droit, quand même), et hop, on commence à remonter tout ça au mortier, comme les anciens à ce qu'il paraît!
Mais c'est que les murs ici mesurent le mètre vingt en épaisseur, alors il faut prolonger aussi à l'intérieur...Faut trouver du caillou (granite ici, louuuurd!), le trimballer, le choisir et bien l'emboîter, etc...
Bref, tout doucettement, ça monte, au-dehors les jolies pierres d'angle grâce à l'art du Tonton, et au-dedans malgré moi qui n'y connais pas lourd...
Vient l'avant-dernière petiote si jolie, la plus lourde de toutes histoire de rigoler. Faut la percher aux alentours d'un mètre soixante-dix de hauteur...
Elle pèse pas loin de 60 Kg...
On essaie comme ça, pèpère les mecs, d'en bas: Plus haut que la poitrine, les bras ne veulent plus.
Bon, on la pose, on s'en va quérir une sorte d'escabeau, on monte une marche ou deux (à deux sur l'escabeau quand même, et on tâche de monter le caillou en même temps que les marches, à deux vous dis-je, en tâchant de ne pas basculer (le carrelage est JOLI en dessous, voyez...).
mais c'est trop dur, une fois en haut, il manquerait deux centimètres, on n'en peut plus, on va lâcher, il ne faut surtout pas!!!!
Alors on a la bonne idée de soulager le poids sur l'angle interne du mur remonté...INTERNE...mon côté, quoi...le côté du clampin si vous avez suivi:
Bin voilà, tout l'interne du mur dégringole tandis qu'on reprend la pierre et la pose in extremis à sa place, tout dégringole sur le joli carrelage...
Tiens, c'est la nuit...
Faut s'arrêter.
J'ai mal dormi, tout le corps endolori.
Je me lève ce matin, et je contemple, derrière la bâche installée à la diable pour, paraît-il, empêcher le froid d'entrer par l'ouverture, le désastre, le boulot pas fini et qui aurait dû l'être (le menuisier vient poser la porte demain), la promesse d'un prochain excellent WE...
Tiens, j'ai comme la gueule de bois ce matin...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
a.k.a
18739
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Hors sujet : Rhô, je suis désolé pour toi... 
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