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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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1781
Oui :mrg:

Du reste je ne les jamais vus reportés, ces chatons.
Elle aura dû les semer quelque part (graaaaaaaaande spécialiste de l'affaire, qui explique je crois la haute fréquence des menus achats réguliers).



Et ça me faire repenser qu'un jour, je sentais bien qu'elle me faisais la gueule.

Je ne sais pas trop pourquoi... Mais on aurait dit qu'elle attendait son moment pour envoyer une salve...
Bah ! je m'en accommode : autre chose à fiche...

Et puis...

Au détour d'une conversation mi-ombrageuse (j'aime pas trop être emmerdé quand je bosse), v'là qu'elle file dans sa piaule et en revient une culotte à la main en me la foutant carrément sous le nez !

- "... Et c'est quoi, ça !?

- :?!: J'en sais rien, moi !

- "Ben moi je sais : tu peux te taper toutes les gonzesses que tu veux mais PAS ici, PAS dans ce lit !... j'ai HORREUR d'être prise pour une bille !

- :?!::?!: "Mais... je t'assure que ...

Mais il n'y eut rien à faire.


L'histoire, c'est qu'elle avait rapporté du week-end précédent ce linge d'une de chez ses copines, probablement en se servant par inadvertance dans le tiroir à slips de l'amie et en l'enfilant le + simplement du monde...
Du reste, "personne" ne lui en veut de ses bourdes dans l'entourage... on la connaît pour ce genre de gaffes, qui font même d'elle "la" bonne copine !

Mais franchement, déjà qu'une nénette ne reconnaisse pas son propre linge me dépasse, le + fort reste encore à mes yeux non seulement qu'elle ne s'en aperçoive pas lorsqu'elle le retire mais, encore, qu'elle semble ne découvrir "l'intruse" qu'après toutes ces manip's !

Moi, ça m'estomaque.
Au surcroît de passer pour un menteur lorsque son état "normal" retombe un peu sur terre alors là, c'est le bouquet final !


Épilogue :

Heureusement -non pas pour "les infidélités" (on a dépassé ce stade depuis long)- et "Heureusement !" re-dis-je, que sa propre amie dégomma toute suspicion en ayant l'excellente idée de lui téléphoner ces jours-là...

- "Allo, Miss Hit ! ?

- "Oui, comment vas-tu ?

- (bla bla et, 3 bonnes heures d'Emmanuelkanteries + tard) : "Ah au fait : t'as oublié une culotte chez moi, je te l'ai mise de côté !

- => [excuses à elle; explications qu'elle aura dû lui en emprunter une, une bleue, Victoria Secrets; etc.].

- "Ah je n'avais pas remarqué mais oui : en tout cas j'en ai bien une comme ça...

- "Bah cherche pas, elle est ici !

- [barres de lol]...


=> Évidemment, pas un mot à ladite copine de ce que j'avais pris, moi, sur les épaules -et pour rien !- quelques jours avant.

Mais spa grave.
L'honneur est sauf :oops2:

[ Dernière édition du message le 02/06/2023 à 21:09:05 ]

1782
Ben franchement elle aurait du s'excuser de cette accusation non fondée et totalement injuste. À ta place j'aurais été en colère.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

1783
x
Hors sujet :
Ah mais je lui ai replacé, heinG : tu peux m'accorder ta confiance.

Mais pas à chaud.
Jamais, au grand jamais, avec les filles-losophes :oops2:
1784
Citation :
Mais franchement, déjà qu'une nénette ne reconnaisse pas son propre linge me dépasse, le + fort reste encore à mes yeux non seulement qu'elle ne s'en aperçoive pas lorsqu'elle le retire mais, encore, qu'elle semble ne découvrir "l'intruse" qu'après toutes ces manip's !

Moi, ça m'estomaque.

:mrg: :bravo:

(-;  Be Funky  ;-)

Soundcloud

1785
Voilà trois mois que j’ai découvert ce thread. Et me voilà arrivé à la fin. Quel périple !
Et me voilà hors sujet Hit, mais c’est l’occasion de remettre une pièce dans la machine. Une anecdote ?
Bon, je cherche de mon côté mais après tout ce que j’ai lu, je me sens bien incapable d’être au niveau.
1786
Laissez-moi vous conter ma plus belle et plus triste histoire d’amour…
Rentrée scolaire, classe de troisième. J’ai déjà redoublé 2 fois, ce qui me confère une stature d’ado avancé par rapport aux autres garçons de ma classe, quand j’aperçois cette fille au corps frêle, longs cheveux châtains et bouclés tombant en cascade sur ses épaules, un regard magnifique, une bouche à la moue légèrement boudeuse. Mon Dieu qu’elle est belle ! J’en rêve le soir, j’en ai mal au bide, il faut que Caroline soit mienne.
Fort heureusement Caro n’est pas bonne en maths et en sciences et je profite de l’occasion pour m’assoir à côté d’elle, l’aider, et opérer ainsi un rapprochement stratégique. Le lien d’amitié étant tissé, Caro se livre et me dit qu’elle a un petit ami. Le ciel me tombe alors sur la tête. Puis un lundi je vois Caro d’humeur sombre. Elle me raconte que son copain, profitant d’une permission (le bougre fait son service national) est venu la voir le week-end précédent, et lui a avoué avoir rencontré une fille et qu’il est indécis sur son avenir avec Caro. Pendant que Caro me raconte son malheur les larmes aux yeux, je ne peut m’empêcher de jubiler intérieurement. Mon horizon s’éclaircit de nouveau et dès lors j’use du plus perfide machiavélisme que je peux pour arriver à mes fins. Je la travaille à la tête, instille le doute, la colère, le dégoût, la vengeance (je sais c’est moche). Arrive le moment où je sens Caro mûre à point, prête à franchir le pas. Maintenant il me faut le lieux, l’endroit propice, qui se présente par une invitation chez une fille de la classe pour son anniversaire. Un pavillon, un jardin, il fait beau et chaud, je ne pouvais rêver mieux. Le père de la fille (appelons le Jean) travaille dans l’audiovisuel et dispose chez lui d’une caméra portable à cassette vhs. Il prend une cassette dans un meuble, la met en place et nous confie l’appareil pour que l’on se filme pour immortaliser ce moment convivial. On mange, on parle, on rit, rien que de très banal, mais Caro et moi on ne se quitte pas des yeux, c’est le moment, c’est maintenant ou jamais, on le ressent mutuellement. On s’éclipse du jardin en direction de la maison, on traverse la salle à manger pour arriver dans un petit salon et on s’installe sur le canapé en cuir. Enfin seuls, on peut s’embrasser vigoureusement, laisse aller nos mains dans les cheveux, la nuque, le dos. Caro respire fort, je sens la chaleur de son corps, je bande comme un fou. Notre absence s’étant faite remarquée, on nous appelle, on nous cherche, alors nous décidons de rejoindre les autres. Ce n’était pas le lieu pour aller plus loin mais comme le premier pas a été franchis, on trouvera une occasion d’être enfin seuls tous les deux.
La fête arrivant à son terme, Jean nous propose de visionner la cassette ce que nous acceptons tous avec plaisir. Alors apparaissent sur la télé les visages des uns et des autres, la teuf dans le jardin, puis la caméra qui se retourne, entre dans la maison, traverse la salle à manger, entre dans la pénombre du petit salon… et Caro et moi… Un petit salopard nous a trouvé, caméra à l’épaule, et nous a filmé depuis l’embrasure de la porte du salon, sans que l’on ne s’en aperçoive. Je vois des regards qui se tournent vers nous, et Caro qui se recroqueville sur elle même quand… sans transition aucune l’image passe sur le gros plan d’un braquemart faisant de vigoureux aller-retour dans une croupe féminine. Silence et consternation. Je vois Jean bondir de son fauteuil et arrêter la cassette. On comprends que la cassette n’était pas vierge et qu’on a enregistré par dessus un film de Q, mais la liaison est si parfaite que chacun se bidonne de rire et lance des moqueries salaces envers moi et la pauvre Caro qui cache son visage dans ses cheveux.
Le mal est fait, les enfants sont cruels et l’anecdote fait le tour du collège. Caro, désireuse de ne plus subir ces plaisanteries débiles, me signifie que c’est définitivement finit entre nous.
Il me reste une photo d’identité de Caro, et le souvenir d’avoir effleuré un rêve qui restera à jamais inaccessible.

[ Dernière édition du message le 23/05/2024 à 00:49:32 ]

1787
Mais c'est énorme ton histoire, je sentais le coup foireux venir avec la caméra. Ça a du être terrible pour toi.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

1788
:bravo: :facepalm: et bien raconté.
En somme tu es resté sur le ...
Caro.:oops2:

(-;  Be Funky  ;-)

Soundcloud

[ Dernière édition du message le 23/05/2024 à 07:30:16 ]

1789
Pas de chance, vraiment.. Dans mon bahut, en troisième, c'était plutôt la classe d'avoir une relation avec une fille.. Mais il y a toujours quelques jaloux, et encore plus des jalouses.
1790
Citation :
Dans mon bahut, en troisième, c'était plutôt la classe d'avoir une relation avec une fille...

Ah, les années 60 :lol:

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

J'ai enregistré un peu de tout et n'importe quoi