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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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Je crois l'avoir déjà raconté, peut être sur un autre thread, mais quand j'ai fait mon armée, j'étais le secrétaire du sous-off responsable du tir et, à ce titre, j'assistais à 1 ou 2 séances hebdomadaires de tir. Il y avait un gus, à chaque fois qu'il se pointait, on savait qu'on allait se tordre de rire! Le margoulin était un mélange entre Mr Bean et Pierre Richard, avec un gabarit de hobbit. Toutes les conneries possibles à ne pas faire sur un pas de tir, il les a faites.

 

 

[ Dernière édition du message le 28/02/2018 à 14:16:15 ]

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Il s'appelait Dana et venait de l'Aveyron ?

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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Non, a mon avis, c'est pas le même gabarit et moi je suis plus jeune, 98/10! :oops2:

 

 

1686
Issu d'un peloton PMS (Préparation Militaire Supérieure où l'on garde son statut de civil avec nos cheveux longs si ça nous plait) on a eu, une fois qu'il fut intégré pour son vrai "service", un gars tellement stressé qu'aux simples "cours" de base qui consistent en l'occurrence à seulement marcher au pas, qu'il avançait le bras gauche en même temps que le pied gauche :noidea:.

Dès le premier jour, on y a passé des heures...
On est témoin qu'il ne le faisait absolument pas exprès : civilement, aux yeux de tous il marchait parfaitement normalement ...

Bon, ben... "ils" l'ont de suite réformé.

A son + grand regret...
1687
Quand je pense que j'ai un pote qui a dû passer passer plusieurs nuits blanches, ingérer beaucoup de whisky et du valium pour être réformé... (Bon, nerveux de toute façon le gars, déjà sobre il peut faire flipper, alors dans cet état...).
1688
M'en rappelle un autre, chaque fois qu'il sortait de prison, il cherchait le capitaine pour lui casser la gueule, le trouvait, exécutait la sentence, et retournait en prison.
Il était déjà là quand je suis arrivé... Personne ne savait au juste depuis quand.
Par contre j'étais là quand ils l'ont foutu dehors pour de bon (le capitaine n'avait plus un endroit intact sur la figure, j'exagère à peine): Le type est arrivé en civil, escorté par deux gorilles pendant l'appel du matin. Ils l'ont fait pénétrer dans le casernement pour récupérer ses affaires, ils sont ressortis tous les trois, et là le gars, abandonnant son paquetage a échappé aux gardes pour venir se placer entre le capitaine et nous... On craignait le pire... mais... il est arrivé encore pire: Le type s'est mis au garde-à-vous, a salué militairement le capitaine d'un air goguenard, a fait volte-face vers nous et nous a gratifié d'un simulacre de salut extrêmement ironique qui en disait long sur l'idée qu'il se faisait du troupeau de crétins que nous représentions.
Ensuite il est sagement retourné se placer entre ses deux pandores, a ramassé ses affaires et ils se sont tirés.

Impressionnant.
je me demande encore s'il est parti pour être rendu à la vie civile (foutu dehors) ou pour purger une autre peine dans une prison civile (foutu dedans en quelque sorte)icon_facepalm.gif

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

1689
:8O::8O::8O:

Jme demande si on connait pas la même personne, en tout cas je connais quelqu'un qui a fait exactement ça (pas entendu parler du salut militaire final, mais par contre il a bien tapé sur la gueule du capitaine plusieurs fosi de suite, et systématiquement en sortant de taule militaire). C'était une armoire à glace de la cité, qui en avait rien à foutre de rien.
1690
Le mien était un type maigre de taille moyenne à la démarche de coyote.
C'était en 1987 à Canjuers (Var).

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.