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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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1771
1772
La doctoresse moi je dis (c'est mieux que la docteuse).

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

1773
Dans ce cas tu dirais "je fus chez le médecin" :mrg::mrg::mrg:

Enfin, au docteur quoi !
1774
Chacun utilise le temps qui traduit le mieux sa pensée. Mais dans le langage courant on utilise plus le passé composé que le passé simple. D'ailleurs tu dis toi même "je suis allé chez le médecin" et pas "j'allai chez le médecin".
Reste que tu es un cas rare si tu ne dis jamais "j'ai été à tel ou tel endroit". C'est vraiment se priver d'une expression courante et explicite. :clin:

Reste que "la médecin", ça sonne très bizarre à mes oreilles.

[ Dernière édition du message le 01/06/2023 à 23:29:16 ]

1775
La médecine est une putain, son maquereau... (air connu) :mrg:

De tout façons tant qu'on dit qu'on est allé chez le médecin alors qu'on va aux putes tout va bien.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 01/06/2023 à 22:58:35 ]

1776
x
Hors sujet :
Ho, les gars : vous avez encore beaucoup de courses comme ça dans le quartier ? :oops2:

Nous, on veut des anecdotes. Ou alors, ah que faites vos balises :mrg:



Hier, ma philosophe au salon :

- "C'est quoi ce machin contre le mur" ?
- "Ben c'est mon étui de basse (ndr : il est là en attente de déménager, avec sa capote neuve en plastique pour éviter la poussière)... Tu sais, ça fait une bonne dizaine de jours qu'il est là, heinG...
- !?...

Mais ça c'est juste la routine :mrg:




- - - - - - -
Anecdote promise :

Les chats ont disparu !

Si vous suivez ces lignes depuis quelques années, vous avez lu l'épisode de la même nana, m'ayant raconté s'être trompée de maison pour faire ses devoirs lorsqu'elle était gamine.
Eh bien c'est encore à l'authentique et même personnage de Comédie (que sonicsnap qualifie fort justement de "sacré numéro") que l'on doit les prochaines lignes.

Jugez-en.

Après quelques emplettes réalisées après un n-ième ratage de train -mais, cette fois arrivée sur le bon quai-, voici notre héroïne qui rentre un soir. Dans le lot des achats : des trucs de maquillage et une paire de collants. Je "revois" mentalement ces collants en écrivant ceci. Ils étaient totalement noirs, à la particularité-près qu'ils fussent décorés de petits chats blancs tout au long de la "couture arrière", du talon jusqu'à la fesse.

Quelques temps après, elle les porte pour la première fois. Elle qui n'en possède que des unis, je remarque forcément ceux-ci avec leurs chats imprimés; je la complimente.
"Bises, à ce soir ! / Smack.

Quelques semaines encore après, elle porte à nouveau ces bas.
"Bizoux, à toute ! / Smack.

Mais le retour du soir est un grand soir.
Elle m'expose en rentrant l'anecdote de la journée en se riant dessus à gorge déployée.
Elle avait pourtant plutôt démarré d'humeur chagrine.
S'étant aperçue le matin que les chats avaient disparu au premier lavage (!), elle s'était rendue dans la boutique pour en informer, discrètement toutefois, la vendeuse. Après tout, celle-ci n'est pour rien dans cette mystérieuse disparition.
Mais la vendeuse trouvant l'information plutôt bizarre (aurait-elle affaire à une cliente tentant de se faire rembourser abusivement un achat ?), elle questionne la disciple d'Aristote, excavatrice d'Hegel bien qu'élève de Badiou :

- "Pouvez-vous me ramener l'article qu'on regarde ça ensemble ?
- "Pas même besoin, regardez : je les porte sur moi !" dit-elle en désignant son mollet.

La vendeuse rosit alors.. mais rosit de la confusion de devoir annoncer à sa cliente... qu'elle les porte à l'envers ! Je précise : non pas à l'envers genre retournés sur eux-mêmes mais "à l'envers" de façon que les matous soient tous passés "côté genou" !
En se retournant machinalement devant la glace ce matin, la freudienne toubib ne pouvait évidemment pas les avoir vus à l'endroit où... ils auraient dû se trouver !

J'ignore comment Friedrich, Baruch, Blaise ou René auraient réagit au récit de Miss S.P.A.
1777
Très drôle encore une fois... cependant bas ou collants il faut choisir, ce n'est pas la même chose :clin:

 

 

 

"La musique c'est de l'émotion dans l'espace et le temps" Nicolas G.

"Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière." Michel Audiard.

MrBlue on air : illustrasons

1778
Citation :
Oui, bah j'ai utilisé le mot : "bas" pour ne pas répéter "collants" :mrg:

Mais il s'agit bien d'une paire de collants. Lesquels, contrairement aux "hauts" des filles, entrent bien dans le vocable des "bas" :clin:
1779
Hit !, étant moi même un distrait, je salue fraternellement ta philosophe!
1780
Un peu à l'ouest ta camarade quand-même. Enfin de toutes façons c'était un bas achat.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?